Absent pour des engagements en Europe, Yannick Nézet-Séguin avait aimablement invité Mario Bernardi au Métropolitain pour un programme donné en trois concerts dont un lundi soir, salle Maisonneuve.
Yannick Nézet-Séguin vient de passer quelques heures à Montréal, entre des concerts à Rotterdam et Newcastle, le temps de régler quelques «affaires personnelles» et d'assister à une partie de répétition de «son» Orchestre Métropolitain confié à un chef invité.
Rentré d'une tournée en Asie avec l'Orchestre Philharmonique de Rotterdam dont il est le nouveau titulaire, Yannick Nézet-Séguin dirigeait mercredi soir son seul concert de l'été au centre Pierre-Charbonneau; de même, il dirige ce soir et demain soir son unique programme de la 31e saison de Lanaudière.
Excellente idée, ce programme Tchaïkovsky de Nézet-Séguin et l'Orchestre Métropolitain. Cette musique regorgeant de thèmes irrésistibles et richement orchestrée parle au grand public plus directement encore que celle de Beethoven. Rien d'étonnant, donc, à trouver Maisonneuve absolument comble lundi soir. Et nul doute qu'il en sera de même toute la semaine aux différents endroits où ce programme est repris.
Après les Philharmoniques de Rotterdam et de Londres, où il entre en fonction l'an prochain, c'est le prestigieux Metropolitan Opera de New York qui s'ouvre maintenant à Yannick Nézet-Séguin.
Le chef d'orchestre montréalais Yannick Nézet-Séguin a été accueilli à Birmingham par un tonnerre d'applaudissements mercredi après-midi. Cette troisième visite du jeune chef d'orchestre dans la deuxième ville d'Angleterre avait des airs de retour de l'enfant prodige.
Pour la grande majorité des musiciens, une carrière entière ne suffit pas à réaliser autant de projets que ceux qu'il a déjà accomplis jusqu'ici. N'empêche. À 32 ans, Yannick Nézet-Séguin ne fait que commencer son ascension.
Le jeune chef montréalais Yannick Nézet-Séguin est à Lyon, en France. Il y dirige l'Orchestre national de Lyon, le temps de trois concerts, cette semaine.
L'Institut du cancer de Montréal marquait son 60e anniversaire lundi soir par un concert-bénéfice réunissant pour la première fois Yannick Nézet-Séguin et Louis Lortie.
Nouveau venu sur la scène du Festival de Salzbourg le jeune chef d'orchestre montréalais Yannick Nézet-Séguin a connu un beau succès tant critique que public.
L'entreprise semblait téméraire. La Mer de Debussy, l'un des sommets du répertoire symphonique, exige un orchestre à la fois très virtuose, très subtil et très coloré. Yannick Nézet-Séguin, on le sait, est un chef aux moyens considérables. Mais l'Orchestre Métropolitain du Grand Montréal allait-il suivre?
L'Orchestre Métropolitain retournait à Wilfrid-Pelletier lundi soir; il y complétera sa présente saison le 12 mai et y donnera la plupart de ses programmes la saison prochaine. Il s'agit certainement d'une bonne décision.
Des deux symphonies inachevées - huitième de Schubert et neuvième de Bruckner - que Yannick Nézet-Séguin avait choisies pour ouvrir la saison de l'Orchestre Métropolitain, c'est celle de Schubert qui a laissé la plus forte impression. Mais cela ne faisait que 27 minutes devant les 65 du Bruckner.
Le jeune chef d'orchestre a été accueilli à Birmingham par un tonnerre d'applaudissements. (PC)
Yannick Nézet- Séguin promet de faire voyager les spectateurs ce soir. (Journal de Montréal)