Personne ne peut douter des nobles intentions de Paul Gross dans son désir de rendre hommage aux vétérans canadiens de la Première Guerre mondiale avec La bataille de Passchendaele (v.f. de Passchendaele). Sauf que son film patauge ma- ladroitement dans les tranchées, mais aussi dans une...
À partir d'une conversation avec son grand-père, lors d'une partie de pêche, il y a plus de 30 ans, Paul Gross a créé le film de guerre le plus ambitieux de l'histoire du cinéma canadien. La bataille de Passchendaele (Passchendaele dans sa version originale) est l'aboutissement...
Les meilleures intentions ne font pas toujours les meilleurs films. La fresque Passchendaele, film d'ouverture du 33e Festival de Toronto, en est la preuve éloquente.
Signé par l'acteur et réalisateur canadien Paul Gross, et mettant en vedette Caroline Dhavernas, La bataille de Passchendaele est une superbe histoire d'amour, se déroulant pendant la première guerre mondiale. (7 Jours)
Signé par l'acteur et réalisateur canadien Paul Gross, et mettant en vedette Caroline Dhavernas, La bataille de Passchendaele est une superbe histoire d'amour, se déroulant pendant la première guerre mondiale. (7 Jours)
Le Festival international du film de Toronto s'est ouvert jeudi avec un cortège de stars et la première de Passchendaele, un rare film sur les faits d'armes des soldats canadiens pendant la Première Guerre mondiale.
C'était une des batailles clés de la Première Guerre mondiale, et une période de deuil et de courage pour les soldats canadiens. Pour l'acteur et réalisateur canadien Paul Gross, sa reconstitution est aussi quelque chose de personnel - c'est l'occasion de remonter en 1917 et de vivre les événements qu'a vécu son grand-père.
Le 33e Festival international du film de Toronto a été lancé hier avec la présentation du drame de guerre canadien Passchendaele de Paul Gross.
Paul Gross est un acteur et un cinéaste populiste, et ne s'en excuse pas. (SUN)
La 33e édition s'ouvre ce soir avec la première mondiale de Passchendaele. (JDM)
C'était une des batailles clés de la Première Guerre mondiale, et une période de deuil et de courage pour les soldats canadiens. (PC)
Philippe Couillard n'a pas hésité une seconde hier à dégoupiller une grenade politique et à la lancer dans les tranchées péquistes. (Journal de Québec)
C’est à l’âge
de 111 ans qu’Harry Patch s’est éteint dans une maison de retraite.
Il est donc
le dernier survivant de la 1ere guerre mondiale où il avait servit pour l’armée
britannique au coté des français.
Née en 1898
dans le sud ouest de l’Angleterre , plombier de formation , c’est en 1916 à l’âge
de 18 ans qu’il est appelé à servir son pays .Il est alors envoyé dans les
tranchées comme mitrailleur .Quelques semaines plus tard lors de la bataille
sanglante à Passchendaele prés de Ypres en Belgique , qu’il est gravement
blessé et voit trois de ses amis tués lors d’un bombardement.
Il avouera : « Celui
qui te dit que dans les tranchés, il n’était pas effrayé, c’est un foutu
menteur ».
Plusieurs
personnalités lui ont rendue hommage, notamment le Prince Charles : « Harry a toujours chéri l'extraordinaire
camaraderie qu'engendrent ces conditions atroces dans le bataillon, et il y est
resté loyal jusqu'à la fin » ainsi que le premier ministre
Gordon Brown : « si la plus noble de toutes
les générations nous quitte, elle ne sera jamais oubliée ».
Notons qu’un autre survivant,
Henry Allingham est décédé à l’âge de 113 ans il y a une semaine . Il était
aussi l’homme le plus âgé au monde.
Le Québec est à 24 heures de devenir le théâtre d'une guerre de tranchées entre les conservateurs et le Bloc québécois, et Gilles Duceppe admet que la partie est loin d'être gagnée. (Journal de Montréal)
Poilus, va-t-en guerre, tranchées, ruines... Voici vos photos datant de la Première Guerre mondiale. » Voir