Sous le titre Administration centrale : 225 chantiers ouverts, 01.net consacre un long et très intéressant article à la modernisation des systèmes informatiques de l'administration française.
L'article souligne en particulier la place de plus en plus croissantes que devraient occuper les logiciels libres au seins de ces systèmes.
Les divers responsables interviewés mettent en avant la fiabilité des logiciels à code source ouvert et leur souplesse d'adaptation, le coût nettement plus faible à fonctionnalités équivalentes (90% moins cher qu'une solution propriétaire) et l'indépendance vis à vis des fournisseurs (sans compter les problèmes de gestion des licences).
Pour l'anecdote, on apprend même au fil de l'article que les services du Premier Ministre vont passer à OpenOffice.org ! Comme quoi tout arrive...
L'administration s'appuie doucement mais sûrement sur les logiciels libres. La majorité des nouveautés du site de l'ADAE a fait appel à une communauté de contributeurs élargie) (sous licence CeCILL v2)Une « Open Source Academy » en Grande-BretagneLogiciels libres et collectivités territorialesEn passant, ceux qui pensent que les administrations basculent vers le libre parce qu'elles y trouvent des applications gratuites, ne manqueront pas de remarquer que ces administrations s'investissent et produisent à leur tour des ressources libres.
Cette vidéo montre l'adoption des logiciels libres dans les écoles publique de Genève en Suisse ainsi qu'à l'hopital de la tour à Meyrin. Un pas de plus pour se débarrasser des logiciels propriétaires.
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Linux et logiciels libres
L'association LoLiTa (logiciels libres à Tahiti et dans les îles) se réunit tous les derniers jeudis du mois pour un Last thursday dans un lieu différent. Au mois de février c'est à l'Université de la Polynésie française. Trois conférenciers développeront jeudi 24 à 18h00 dans l'amphi E les thèmes suivants : Les logiciels libres, qu'est-ce que c'est ? OpenOffice.org, une suite bureautique libre. Asterisk : une solution de téléphonie libre. D'autres démonstrations, des installations sur votre propre machine, des distributions de logiciels libres auront lieu en même temps.
LoLiTa a pour objet la promotion, l'aide au déploiement et le développement en Polynésie française des logiciels libres.
Cette année, l'administration française devrait consacrer 9% de son budget informatique à l'open source et aux logiciels libres, prédit une étude (*) du cabinet Markess International.
Richard Stallman, le créateur de la licence GPL et président de la Free Software Foundation (FSF), poursuit sa tournée française de promotion des logiciels libres.
Un baromètre des logiciels libres vient d'être lancé conjointement par Anaska et ib-formation. Ces deux sociétés se spécialisent dans les formations en logiciels libres, et livrent dans un document succinct...
Le gouvernement japonais envisage de migrer une partie de son parc informatique vers des programmes libres.
Ce 17 mars dernier, le Parlement de la Communauté française et l'Association francophone des Informaticiens des Services publics ont organisé le colloque Logiciels libres, services publics indépendants ?.
Au cours de la journée, plusieurs intervenants se sont succédés, notamment M. Jean-Pierre Gilson, président de l’Association francophone des Informaticiens des Services Publics (AfrISP), M. Nicolas Pettiaux, ancien président de l’Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels libres (AFUL), mais aussi M. Patrice-Emmanuel Schmitz, Directeur des Études pour l’Union Européenne (Unisys) qui a évoqué l'enjeu européen par rapport aux logiciels libres.
Toutes ces personnes ont démontré que l'utilisation des logiciels libres dans nos administrations pouvait apporter énormément, pas seulement du point de vue financier. Les présentations et exposés des différents intervenants peuvent être téléchargés sur le site du Parlement de la Communauté Française de Belgique.
Une information reprise de l'article Les logiciels du CNRS ont quartier libre publié par le journal du CNRS Avec les 1 800 permanents en informatique du CNRS, ou les quelque 10 000 informaticiens des organismes de recherche la recherche française dispose d'une force de conseil en usages de logiciels libres qu'il était jusque là difficile de solliciter en dehors du bouche à oreille. Le projet Plume « Promouvoir les logiciels utiles maîtrisés et économiques » , porté par l'Urec et dirigé par (...)
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Logiciels libres
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Autre...
On savait que la Gendarmerie Nationale ainsi que d'autres pans de l'administration française utilisaient des logiciels libres, mais de là à ce qu'ils y participent' il n?y avait apparemment qu'un pas !
Le site ecrans.fr explique que l’administration française utilise de plus en plus les logiciels libres et open source. La part du budget que les administrations consacrent à l’équipement en logiciels non-propriétaires est en constante augmentation depuis plusieurs années (selon une étude du cabinet Markess International, menée auprès d'une centaine d'unités administratives locales et nationales), ce [...]
L'espace culture multimédia de la Médiathèque de Lorient , vous propose sur le thème de l'univers des logiciels libres et de Linux une conférence et un atelier. Cette animation a lieu le samedi 22 septembre 2007 à la Médiathèque François Mitterrand de Lorient. Cette journée du libre est présentée par l'association Tuxbihan, Groupe Morbihannais d'Utilisateurs de Logiciels Libres. L'entrée est gratuite. La conférence : 10 h - 12 h --- L'univers des logiciels libres et Linux. Une première partie (...)
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Logiciels libres, société
Le groupe Microsoft est reparti en guerre contre les logiciels libres, en accusant le système d'exploitation Linux et d'autres logiciels libres de violer 235 de ses brevets, et jugé que ses éditeurs devraient lui verser des royalties.
« Le logiciel libre: une forte implication des acteurs en TIC » est le thème de la 4ème édition du séminaire annuel sur les logiciels libres, organisé par l'unité des logiciels libres relevant du ministère des technologies de la communication en vue de faire connaitre les politiques, stratégies et initiatives que les industriels d'ordinateurs, les éditeurs de logiciels et les sociétés de services dans le domaine informatique adoptent.
