Lors de sa dernière assemblée générale, la Société Civile des producteurs de phonogrammes en France n'a pu que constater la « chute dramatique » des ventes de disque : -47% entre la…
La CNIL vient de donner son accord à la Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) pour traquer les internautes envoyant illégalement du contenu piraté sur les réseaux de peer to peer.
Cet accord fait suite à celui donné à la Sacem dans le but de réduire de moitié, d’ici un an, la piraterie [...]
v align=center>Internet: les producteurs de musique indépendants attaquent trois sociétés de P2P
PARIS (AP) - La Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) a annoncé mardi qu'elle allait engager des poursuites contre trois sociétés qui éditent ou exploitent des logiciels de partage de fichiers en P2P (peer to peer), dans le cadre de sa lutte contre le téléchargement illégal.
La SPPF, qui regroupe 970 producteurs indépendants et dit représenter plus de 20% du chiffre d'affaires de l'industrie du disque en France, demande que les sociétés Morpheus/Streamcast, Azureus et prochainement Shareaza cessent leurs activités illicites. Elle réclame 16,6 millions d'euros de dommages et intérêts à l'encontre d'Azureus et 3,7 millions d'euros contre Morpheus.
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Dans son combat contre les adeptes du peer-to-peer, l'industrie du disque attaque tous azimuts.
Les maisons de disques françaises repartent à l'assaut du peer-to-peer.
Branle-bas de combat sur les éditeurs de logiciels de P2P ! La SPPF, Société civile des producteurs de phonogrammes en France, vient d'annoncer le lancement de poursuites à l'encontre des sociétés qui [...]
La commission nationale de l'informatique et des libertés a autorisé la « société des producteurs de phonogrammes en France » a progressivement mettre en place un système de surveillance des réseaux de Peer to Peer. Cette décision n'est pas surprenante étant donné qu'un tel dispositif avait déjà fait l'objet, en décembre dernier, d'une autorisation accordée par la CNIL à des sociétés de répartition des droits d'auteurs, notamment la SACEM. Ce système de surveillance permettra donc de relever les infractions des (...)
La Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France (SPPF) n'est pas du tout satisfaite que Free offre à ses abonnés la possibilité de partager des fichiers de grande taille sur son service de téléchargement, « dl.free.fr ».
La Cnil autorise les producteurs indépendants (SPPF) à traquer les adeptes des réseaux peer-to-peer. Ils envisagent d'ici quelques mois de mutualiser leurs efforts de surveillance avec les majors et les auteurs.
Une mauvaise nouvelle pour les adeptes du peer to peer :- WinMX, plateforme d'échange pesant environ 10% du trafic peer to peer, ne répond plus. Suite à la décision de la Cour Suprême des Etats Unis (voir cette note),...
La société MuviBoxx a annoncé le lancement d'un appareil donnant accès à une plate-forme de peer to peer sur la télévision mais incluant un système de sécurisation.
En portant plainte contre les éditeurs de logiciels P2P, le représentant des labels indépendants est conscient qu'il sera difficile pour le juge d'empêcher leur distribution en France. La SPPF veut surtout attirer l'attention des pouvoirs publics.
Le Conseil d'État Donne raison aux sociétés d'auteurs et de producteurs de musique qui pourront relancer une traque automatisée des téléchargements illégaux le peer-to-peer
Dailymotion écarte un peu plus la menace de procès. Le site de partage de vidéos a annoncé jeudi la signature d'un accord-cadre avec la Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) pour diffuser les clips ...
L'impact du peer-to-peer sur les ventes de CDs continue de faire polémique. La dernière friction en date provient de cette étude,...
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