Mesures complémentaires apportées à l''accord conclu à l''automne 2005
Le groupe français d'énergie et d'environnement Suez a finalisé l'achat du groupe belge d'énergie Electrabel, qu'il détient désormais à 100% à l'issue d'une offre publique de reprise des actions restantes Electrabel, a annoncé Suez mercredi dans un communiqué.Suez, qui détenait déjà 98,62% du...
Electrabel, filiale à 100% du géant français de l'énergie GDF Suez, a introduit un recours auprès de la Cour constitutionnelle belge contre la taxe de 250 millions d'euros imposée par le gouvernement belge sur les producteurs d'énergie nucléaire. Suez chez Van Rompuy
Le gouvernement belge aurait exigé de GDF Suez, au lendemain des déclarations de Gérard Mestrallet, patron du groupe français, un accord signé sur les engagements pris de manière informelle par la maison mère d'Electrabel, pour jeudi prochain. Pourquoi Suez est intouchable ?
Le groupe français Suez a acquis près de 99 pc des parts d'Electrabel dans le cadre de l'offre publique lancée le 9 août dernier sur le groupe énergétique belge, a-t-il annoncé dans un communiqué diffusé mardi. Suez détenait en effet, au 6 décembre dernier, 54.122.494 actions d'Electrabel, soit 98,62 pc de son capital, a-t-il précisé.
Les négociations entre le gouvernement belge et le groupe Suez (maison mère d'Electrabel) sont dans une phase finale. Le Premier ministre Guy Verhofstadt rencontre normalement ce mardi Jean-Pierre Hansen, administrateur délégué d'Electrabel et mercredi les ministres régionaux.
Les négociations entre le gouvernement belge et Suez (maison-mère d'Electrabel) sur la "Pax electrica II" censée améliorer la concurrence sur le marché belge de l'énergie auront visiblement duré jusqu'à la dernière minute. C'est vendredi, sur le coup de 17 h 30, que Gérard Mestrallet, patron de Suez, et Jean-Pierre Hansen, administrateur délégué d'Electrabel, ont présenté l'accord.
Bras de fer en perspective entre le gouvernement belge et le groupe français Suez? Il est encore beaucoup trop tôt pour le dire mais les déclarations de Jean-Pierre Hansen, patron d'Electrabel et numéro deux de Suez ce week-end à nos confrères du «Soir» et du «Standaard», laissent en tout cas présager de négociations très serrées.
Plusieurs fonds actionnaires d'Electrabel ont assigné Suez devant la justice belge afin de contester le prix proposé par le groupe lors de son offre publique de reprise d'Electrabel, a indiqué à l'AFP le cabinet Deminor, confirmant des informations parues dans le journal belge « Le Soir ». Deminor...
Electrabel, filiale belge du groupe d'énergie français GDF Suez, est de nouveau au centre d'une polémique en Belgique, accusée d'avoir gonflé les prix de son électricité.
ELECTRABEL
GDF Suez
L'Etat belge et Suez, maison mère du groupe belge Electrabel, ont trouvé un accord sur les concessions que le groupe français devra faire pour obtenir le soutien des autorités du Royaume à sa fusion avec Gaz de France, a annoncé vendredi le gouvernement belge. "Les conversations entre l'Etat belge et Suez ont aujourd'hui mené à une conclusion positive", a déclaré le gouvernement dans un communiqué. <li><b> Le <a href="http://www.lalibre.be/article.phtml?id=904&subid=1087&art_id=308277" class="lien"> sommaire</a> de la Libre Entreprise.</b></li>
La décision d'un futur gouvernement Leterme I de permettre à cinq des sept centrales nucléaires belges de fonctionner plus longtemps que prévu offre au groupe français Suez, propriétaire d'Electrabel, la perspective de plusieurs milliards d'euros de bénéfice supplémentaire. Il est dès lors clair que Suez a payé trop peu pour l'acquisition d'Electrabel, affirme le bureau de conseils Deminor et plusieurs petits actionnaires, rapporte vendredi De Tijd. Les centrales nucléaires belges sont le moteur à bénéfice d'Electrabel, la filiale la plus importante du groupe français Suez. La fermeture programmée des centrales impliquait pour Suez la fin de la manne nucléaire belge d'ici quelques années. La Commission de Régulation de l'Electricité et du Gaz (CREG) avait chiffré l'an dernier qu'un prolongement de l'exploitation des centrales nucléaires rapporterait à Electrabel entre 7,6 et 8,6 milliards d'euros de bénéfice complémentaire. Un certain nombre d'anciens actionnaires minoritaires d'Electrabel estiment que Suez doit les dédommager pour ce bénéfice complémentaire.
Il est moins une pour les actionnaires d'Electrabel qui veulent apporter leurs titres à l'offre publique d'achat et d'échange de Suez. L'opération, qui a démarré le lundi 10 octobre, se clôture ce lundi 7 novembre. Pour chaque titre Electrabel, le groupe français propose, rappelons-le, 323,56 euros et 4 actions Suez.
Le gouvernement belge et Suez (maison-mère d'Electrabel) sont parvenus mercredi à un "accord de principe" sur les mesures à prendre dans le cadre du projet de fusion entre Suez et Gaz de France. La "Pax electrica II", négociée depuis des mois avec quelques ruptures de dialogue, est donc sur le point de se concrétiser.
Augmenter la pression sur les conseils d'administration de Suez et d'Electrabel. Tel est le sens de la nouvelle étape franchie hier par Eric Knight dans le cadre de l'offensive menée contre la structure financière d'Electrabel. Une structure qu'il juge avant tout au service de sa maison-mère Suez au détriment des intérêts des actionnaires minoritaires de l'électricien belge.
