Bien que le prix du brut ait dégringolé de 15$ le baril en trois jours, le prix à la pompe ne semble toujours pas suivre la même tendance. (ARGENT)
Les automobilistes et autres ménagères du pays ne cachent pas leur surprise. Cela fait plus d'un mois que le prix du pétrole brut [dont la transformation permet d'obtenir le pétrole, le gasoil et le super] ne fait que baisser sur le marché international. Je ne comprends pas pourquoi le prix du carburant n'a pas encore baissé à la pompe jusqu'ici.
Les automobilistes et autres ménagères du pays ne cachent pas leur surprise. Cela fait plus d'un mois que le prix du pétrole brut [dont la transformation permet d'obtenir le pétrole, le gasoil et le super] ne fait que baisser sur le marché international. Je ne comprends pas pourquoi le prix du carburant n'a pas encore baissé à la pompe jusqu'ici.
A l'approche de la saison estivale, les opérateurs continuent de craindre un approvisionnement insuffisant du marché américain. En France, les prix à la pompe atteignent de nouveau des sommets.
Alors que le pétrole est tombé mercredi à son plus bas niveau depuis le début 2007, le chef de l'État souhaiterait une baisse des tarifs à la pompe plus rapide et va convoquer les pétroliers. » INFOGRAPHIE - Evolution des prix du pétrole et des carburants » Le pétrole poursuit sa chute et affecte les bourses de Koweit et Moscou
La flambée du pétrole brut sur les marchés mondiaux (75,35 dollars en clôture à New York vendredi) provoque un nouvel enchérissement des prix à la pompe. Dès ce mardi, il en coûtera 1,9 cent de plus à l'automobiliste en prix maxima pour un litre de diesel à 1,1410 € en tenant compte du «cliquet négatif» officiel (0,004 cent de réduction par litre).
L'euro fort et le poids élevé de la fiscalité ont beau amortir en partie la flambée du cours du brut, les prix à la pompe se rapprochent des niveaux record atteints durant l'été 2006. Alors que se profile la saison de chauffe, le prix du fioul domestique connaît lui aussi une progression sensible.
Au moment où le baril de pétrole brut franchit les 59 dollars à New York, les prix à la pompe s'approchent de leurs records. Mais les compagnies pétrolières se veulent plutôt rassurantes.
MONTREAL -- Même si le prix du baril de pétrole brut recule depuis quelques semaines, les automobilistes subissent encore d'importantes hausses de prix à la pompe. (ARGENT)
Prix du baril de brut en chute libre, marge de raffinage au plus bas: les automobilistes ne devraient pas revoir de sitôt le litre d'essence à 1,50$ comme l'été dernier.
Pourquoi ça ne baisse pas à la pompe (ARGENT)
Si les prix du pétrole baissent, je suis bien évidemment prêt à les baisser à la pompe, a déclaré le directeur général de Total, premier distributeur de carburants en France, en entrant dans la salle.
Il y a beaucoup d'explications à donner, a ajouté M. de Margerie, interrogé sur les marges de manoeuvre des pétroliers pour freiner l'envolée des prix des carburants en France, alors que le prix du baril de brut à New-York s'approche des 100 dollars.
Etaient également présents à cette réunion les représentants des filiales pétrolières des grandes surfaces, dont les plus gros vendeurs Leclerc et Carrefour.
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La révision des tarifs tombant désormais normalement tous les mois, une nouvelle hausse des prix des carburants à la pompe devrait intervenir dans les prochains jours. A moins que le préfet ne soit pas trop pressé de rouvrir le dossier.
L'essence à la pompe va baisser légèrement de prix à compter de ce mercredi. Suite au récent repli des cours du pétrole brut sur les marchés internationaux, le litre de 95 sans plomb cédera 2,56 cents à 1,380 € (prix maximum, hors remises) et celui de 98, 1,98 cent à 1,406 €.
Avec un prix du baril de pétrole à presque 60 dollars et un euro qui a perdu 10% face au dollar cette année, le prix de l'essence à la pompe a augmenté de 20% depuis un an. Comme je demandais...
L'UFC-Que Choisir s'inquiète de la brusque poussée en France de la marge de distribution du carburant qui se répercute à la pompe. Celle-ci s'est appréciée de 2 centimes en un mois, alors qu'elle n'avait pas bougé depuis des années. Le risque est cependant ailleurs, dans la flambée durable des cours du brut.