La SSII comptera 2 fois plus d'ingénieurs en Inde qu'en France en 2010. Une tendance lourde dans la high-tech et les services informatiques.
Fujitsu n'est ni le premier ni le dernier de la high-tech à « s'indianiser » à marche forcée. A l'instar de nombreuses SSII, telles IBM, Accenture ou CapGemini, qui ont déjà franchi le pas en délocalisant massivement ...
Fujitsu n'est ni le premier ni le dernier de la high-tech à « s'indianiser » à marche forcée. A l'instar de nombreuses SSII, telles IBM, Accenture ou CapGemini, qui ont déjà franchi le pas en délocalisant massivement ...
L'Inde devient le premier pays de la société de services informatiques française Capgemini, en termes d'effectifs. La SSII compte plus de 20.100 salariés sur le sous-continent, c'est-à-dire une centaine de plus qu'en France.
Les ingénieurs débutants ne se pressent plus à la porte des SSII. Selon la dernière étude menée par le Conseil national des ingénieurs et scientifiques de France (CNISF) auprès de 40.000 salariés, les sociétés de services en informatique ont recruté 12,5 % des ingénieurs débutants en 2006 contre 20...
Le départ de Martin Read sanctionne les difficultés de la SSII britannique sur son marché local, où elle souffre de la concurrence des acteurs indiens. La plupart des autres SSII ont basculé plus de la moitié de leurs effectifs en Inde.
Fort de plus de 445 collaborateurs dans la région Ouest, Sogeti, membre du Groupe Capgemini, renforce ses effectifs de 40 ingénieurs en 2007 pour ses agences de Rennes. La SSII, leader...
Le groupe de services informatiques Sogeti, filiale de Capgemini, poursuit sa vaste campagne de recrutement. D'ici à la fin de l'année, il prévoit d'embaucher 800 ingénieurs dans l'Hexagone.
Traduisez : Capgemini déplace son centre de gravité en Inde. Les effectifs indiens de la SSII dépassent désormais ceux de la France. Un basculement qui était attendu à lorigine au printemps dernier.
Capgemini et Steria, deux grands noms des services informatiques français, vont bientôt compter plus d'employés en Inde que dans l'Hexagone, à l'image de beaucoup d'entreprises du secteur, une mutation qui inquiète les salariés et ne convainc pas forcément les analystes.
Les valeurs high-tech ont vu, elles aussi, leurs cours s'effondrer. Mais éditeurs et SSII comptent toujours sur une bonne année 2008.