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Trois mois pour légaliser ses logiciels
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
En 2005, 28 pc des logiciels installés sur des PC dans des entreprises belges pouvaient être considérés comme "pirates", c'est-à-dire qu'ils étaient utilisés sans licence valable. Un chiffre qui paraît élevé, mais qui place en réalité la Belgique parmi les meilleurs élèves au monde.
La Business Software Alliance, qui défend les intérêts des plus grands éditeurs de logiciels (Microsoft, Apple, Adobe, Symantec...) contre le piratage, assure que les PC où sont installés des logiciels piratés sont davantage infectés par des malwares. Or elle estime que plus de 40 % des logiciels installés chez les particuliers sont des logiciels piratés. [Lire la suite]
De plus en plus d'entreprises occidentales, y compris en Belgique, externalisent une partie de leur informatique en Inde. C'est ce qu'on appelle l'"offshoring". Dans le même temps, un nombre croissant d'entreprises font venir des informaticiens indiens en Europe ou aux Etats-Unis, généralement pour quelques mois. On parle alors de l'"insourcing".
Selon nos informations, les SMS pirates liés à une faille de sécurité chez les opérateurs GSM dans le monde, vont peut-être connaître une fin, programmée par un informaticien bruxellois. Rappel : "La Libre" a évoqué au début du mois de janvier dernier, les risques liés aux "SMS pirates".
Les entreprises belges sont bien placées dans la liste européennes de "Great Place to Work". Le résultat est même excellent puisque onze entreprises belges figurent dans le Top 100 européen, annonce la Vlerick Management School dans un communiqué diffusé jeudi.
La France détient le record de la plus grande valeur de logiciels piratés en Europe, et se classe en troisième position dans le monde. 45% des logiciels employés au pays sont utilisés illégalement, ce qui place la France en troisième position dans la liste plus gros consommateurs de logiciels pirates en Europe, derrière la Grèce (62%) et l’Italie (50%). ...
Il existe des logiciels qui semblent avoir été toujours là, qui, venus de l'époque "Classic", continuent d'être utilisés sous l'ère "Unix". Default Folder est l'un d'eux. Lorsque vous enregistrez votr...
Les études sur la compétitivité se suivent et ne se ressemblent pas toujours ! Alors que, selon le "Lisbon council", la Belgique se place en deuxième position parmi les neuf principales économies européennes, elle reste... quinzième sur vingt-sept à en croire le classement établi par la FEB (Fédération des entreprises de Belgique), qui présentait hier son traditionnel "Focus Lisbonne".
La Free Software Foundation publie la version finale d'une licence spécifique pour les logiciels basés sur la GPLv3 et utilisés depuis un réseau.
Sur les 900 collaborateurs de Fortis Banque qui ont quitté la société au premier trimestre 2009, 168 travaillaient en Belgique. "C'est un chiffre moins élevé que l'année passée à la même époque", a affirmé une porte-parole jeudi. "Le service de contrôle interne a fonctionné"Enquête relative à un possible délit d'initié Fortis dans l'oeil de la justiceRéagissez sur notre forum
Carefour veut "redynamiser" ses activités belges et revenir "sur le chemin de la croissance". Aucune autre piste n'est à l'ordre du jour, a affirmé jeudi Lars Vervoort, le porte-parole du groupe de distribution en Belgique.
La plupart des licences existantes sont plutôt contraignantes pour une personne non intégrée à une société commerciale "multi-services" lorsqu'il s'agit de vivre de sa passion, le développement de logiciels libres. Nous nous proposons d'imaginer un modèle différent, le plus proche possible des idées motrices du logiciel libre mais qui viabiliserait (un peu mieux) l'activité d'édition logicielle. Le logiciel "libérable" est un logiciel initialement propriétaire, fermé et commercial développé sur fond propre dont le coût de construction est mesuré et transparent. Puis en fonction du niveau de rentabilité, la licence adapte son modèle économique. N'hésitez pas à donner votre avis...
La plupart des licences existantes sont plutôt contraignantes pour une personne non intégrée à une société commerciale "multi-services" lorsqu'il s'agit de vivre de sa passion, le développement de logiciels libres. Nous nous proposons d'imaginer un modèle différent, le plus proche possible des idées motrices du logiciel libre mais qui viabiliserait (un peu mieux) l'activité d'édition logicielle. Le logiciel "libérable" est un logiciel initialement propriétaire, fermé et commercial développé sur fond propre dont le coût de construction est mesuré et transparent. Puis en fonction du niveau de rentabilité, la licence adapte son modèle économique. N'hésitez pas à donner votre avis...
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