La troisième banque britannique Barclays a proposé à la banque néerlandaise ABN Amro d'être son chevalier blanc face aux récents assauts de plusieurs sociétés d'investissements, lui offrant un mariage à 80 milliards de livres qui en ferait la plus importante fusion bancaire transfrontière en Europe, selon plusieurs journaux britanniques.
ABN Amro retire sa recommandation pour l'offre de reprise de la banque britannique Barclays. La banque néerlandaise déclare ne pas être en position pour pouvoir conseiller l'une des deux offres aux actionnaires, a indiqué ABN Amro lundi. Barclays et un consortium de trois banques (Fortis, Royal Bank of Scotland et l'espagnole Santander) luttent pour acquérir ABN Amro.
La banque néerlandaise ABN Amro, au centre de la plus grande opération de fusion jamais effectuée dans le monde financier, a confirmé dimanche sa neutralité face aux offres rivales de rachat de la britannique Barclays et du consortium conduit par Royal Bank of Scotland.La Conseil de direction d'ABN Amro et le Conseil de surveillance s'abstiennent de recommander l'une ou l'autre des offres aux actionnaires, a indiqué la banque dans un communiqué à quatre jours d'une assemblée générale consacrée à ce rachat.ABN Amro va continuer à discuter avec Barclays et avec le consortium pour faciliter la levée de certaines incertitudes, a ajouté l'institut néerlandais.En juillet, ABN Amro avait déjà professé la même neutralité.L'offre du consortium de banques (Royal Bank of Scotland, la belgo néerlandaise Fortis, et l'espagnole Banco Santander) valorise ABN Amro à 71,1 milliards d'euros, un montant sans précédent dans le secteur.Une offre concurrente émane de Barclays, à 37% en numéraire, évaluée par la banque britannique à 67,5 milliards d'euros lors de l'annonce le 23 juillet. Elle a depuis perdu plusieurs milliards d'euros en raison du recul du titre Barclays en bourse.
Le mariage à 67 milliards d'euros entre les banques britannique et néerlandaise formera sur le papier le n°2 européen et n°5 mondial. D'éventuelles surenchères d'autres concurrents restent possibles.
La Commission européenne a donné son feu vert lundi à la banque
britannique Barclays pour acquérir la Néerlandaise ABN Amro, ce qui ne constituerait pas un obstacle significatif à la concurrence en
Europe. (ARGENT)
Et pour quelques milliards de plus ? La banque britannique Barclays tente de séduire les actionnaires d'ABN Amro en améliorant les conditions de son offre publique d'acquisition (OPA) sur la banque néerlandaise. Dans un communiqué publié lundi, Barclays a annoncé qu'elle proposait désormais d'acquérir ABN Amro pour 67,5 milliards d'euros, dont 42,7 milliards en actions Barclays et 24,8 milliards en cash.
La banque britannique Barclays veut s'emparer de sa concurrente néerlandaise ABN Amro pour quelque 67 milliards d'euros et ainsi donner naissance au deuxième établissement bancaire européen, dans le cadre de la plus grande acquisition jamais réalisée au monde dans le secteur.
La banque britannique Barclays a annoncé lundi avoir reçu l'aide de la banque chinoise China Development Bank et du bras d'investissement du gouvernement de Singapour, Temasek, pour racheter la néerlandaise ABN Amro. Elle ...
Voilà, l'incroyable saga ABN Amro qui avait commencé en février est quasi terminée. Barclays, l'un des deux prétendants à la reprise de la banque néerlandaise, a admis vendredi sa défaite et retiré son offre. La banque britannique a reçu à peine 4,41 millions d'actions ABN Amro, soit moins de 1 pc du capital. Ce résultat ne fait que confirmer ce à quoi tout le monde s'attendait.
La banque britannique Barclays et la néerlandaise ABN Amro espèrent conclure rapidement leur mariage, alors que l'annonce de leurs discussions exclusives continue de soutenir leurs titres en Bourse.
La banque néerlandaise ABN Amro, au centre de la plus grande opération de fusion jamais effectuée dans le monde financier, a confirmé dimanche sa neutralité face aux offres rivales de la britannique Barclays et du consortium conduit par Royal Bank of Scotland.
La Conseil de direction d'ABN Amro et le Conseil de surveillance s'abstiennent de recommander l'une ou l'autre des offres aux...
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La banque néerlandaise ABN Amro va-t-elle être rachetée par la Britannique Barclays ? Voilà la question que tout le monde se posait hier sur les marchés après les informations parues dans la presse. Et un début de réponse est tombé en cours de soirée.
La banque néerlandaise ABN Amro, au centre de la plus grande opération de fusion jamais effectuée dans le monde financier, a confirmé dimanche sa neutralité face aux offres rivales de la britannique Barclays et du consortium conduit par Royal Bank of Scotland.La Conseil de direction d'ABN Amro et le Conseil de surveillance s'abstiennent de recommander l'une ou l'autre des offres aux actionnaires, a indiqué la banque dans un communiqué à quatre jours d'une assemblée générale consacrée à ce rachat.ABN Amro va continuer à discuter avec Barclays et avec le consortium pour faciliter la levée de certaines incertitudes, a ajouté l'institut néerlandais.C'est assez conforme à ce à quoi nous nous attendions, a commenté une porte-parole de RBS à Londres, dans une première réaction à chaud. Barclays s'est refusée à tout commentaire.La neutralité d'ABN Amro était attendue par les analystes. En juillet, la banque néerlandaise avait adopté la même position.Une assemblée générale extraordinaire des actionnaires était prévue jeudi à Rotterdam (sud-ouest), qui devrait vraisemblablement soutenir l'offre du consortium, selon les analystes.Barclays avait proposé au printemps de racheter ABN Amro, avec l'accord initial de cette dernière, mais la banque néerlandaise a ensuite fait l'objet d'une surenchère d'un consortium composé d'une autre banque britannique, Royal Bank of Scotland (RBS), de la belgo-néerlandaise Fortis et de l'espagnole Santander.ABN Amro avait du coup retiré son soutien à Barcla...
La banque britannique Barclays (BSC) a décidé vendredi de retirer son offre d'achat sur la Néerlandaise ABN Amro (ABN). (ARGENT)
La bataille autour d'ABN Amro, première banque néerlandaise, qui met en ébullition le monde financier européen, est montée d'un cran mercredi avec l'intervention de la banque centrale des Pays-Bas. En pourparlers exclusifs avec la banque britannique Barclays, mais acceptant de rencontrer un consortium de trois banques européennes ayant également manifesté leur intérêt, ABN Amro est au coeur d'une bataille de reprise initiée par le fonds spéculatif TCI, décidé à retirer un maximum de sa vente ou de son démantèlement.