Interviewé sur Europe 1 par Dominique Souchier pour l'émission C'est arrivé demain, diffusée ce matin à 9 heures, Pierre Giacometti, directeur génaral d'Ipsos France, comment les dernières mesures d'intentions de vote publiées. Si l'actualité économique et sociale a porté le Non ces jours-ci, l'incertitude, encore très présente sur l'ensemble du corps électoral, et chez les sympathisants de gauche en particulier, incite à la prudence. La mobilisation des électeurs partisans du Non le jour du scrutin apparaît désormais centrale pour l'issue du vote.
Dans une interview publiée dans le Figaro que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, commente la dernière intention de vote pour le référendum sur la constitution européenne.
Dans une interview publiée dans le Figaro que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, commente la dernière intention de vote pour le référendum sur la constitution européenne. Selon lui, ce sondage met définitivement fin à une campagne du oui tranquille.
Nouvelle poussée du non, mobilisation inférieure à 50% : Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, commente les résultats de la dernière vague de l'observatoire du référendum sur la constitution européenne, réalisée par Ipsos pour Le Figaro et Europe 1.
Les sondages d'intentions de vote publiés actuellement n'ont aucune valeur prédictive. Pour faire le point sur le climat électoral relatif au référendum sur le projet constitutionnel européen, nous vous proposons aujourd'hui la retranscription intégrale de la douzième édition des forum d'Ipsos : en compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et de François Hollande, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, scrute la ligne de départ et dresse l'inventaire des forces et des faiblesses du oui et du non. En laissant de côté les sondages dans une première partie, pour s'intéresser aux ressemblances et aux différences par rapport à la situation de 1992, au moment du référendum de Maastricht ; en analysant ensuite dans le détail la première vague de l'observatoire du référendum sur la constitution européenne Ipsos-Le Figaro.
A 55% d'intentions de vote pour le Non, contre 45% au Oui, la dernière vague de l'Observatoire du référendum sur la constitution européenne réalisée par Ipsos pour Le Figaro et Europe 1 confirme la dynamique favorable au Non enregistrée depuis fin avril. Les trois inversions de tendances déjà relevées pendant cette campagne et le niveau élevé de l'indécision, particulièrement dans l'électorat de gauche, invitent tout de même à la précaution quant à l'issue finale. Près d'une personne sur quatre, certaine d'aller voter, n'a pas exprimé d'intention de vote, et 11% déclarent pouvoir encore changer d'avis. Le renversement du rapport de force d'ici à dimanche constituerait malgré tout une surprise.
L'instabilité du rapport de force dans la série d'intentions de vote Ipsos-Le Figaro est exceptionnelle. On est passé de 60% pour le Oui début mars à 55% pour le Non le 15 avril. En deux semaines, le Oui repasse en tête, à 53% chez les électeurs certains d'aller voter. Pierre Giacometti, directeur d'Ipsos, analyse la dynamique.
61% des personnes interrogées souhaitent pouvoir se prononcer. Le oui l'emporterait avec 68% des intentions de vote.
Pierre Giacometti a présenté à l'occasion du 19ème forum d'Ipsos la dernière projection en sièges des mesures d'intentions de vote réalisées quotidiennement par Ipsos : en termes de rapport de force, on est plus proche de la vague bleue de 2002 que du raz-de-marée de 1993. Par ailleurs, l'actualisation des indicateurs de climat d'opinion montre l'ampleur de l'état de grâce dont bénéficie le nouveau gouvernement, qui rappelle l'optimisme britannique pendant le premier mandat de Tony Blair.
Epinglé pour son contrat avec Patrick Buisson, l'Elysée n'est pas plus transparent sur ses relations avec l'ancien patron d'Ipsos.
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Les travailleurs de Volkswagen Forest ont entamé mardi matin le vote dans le cadre du referendum sur l'avenir de l'usine bruxelloise du constructeur automobile, a-t-on appris de source syndicale. Le référendum est organisé dans l'entrepôt de l'usine, le seul local suffisamment spacieux pour accueillir trois bureaux de vote.
Pour faire le point sur le climat électoral relatif au référendum sur le projet constitutionnel européen, nous vous proposons la retranscription de la treizième édition des forum d'Ipsos : en compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et de Valéry Giscard d'Estaing, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, analyse la campagne sous l'angle des enquêtes d'opinion : la spectaculaire poussée du Non en mars, le portrait robot du Oui et du Non, les forces et faiblesses de chaque camp, et les perspectives d'évolution pour la dernière ligne droite.
En 2002, François Bayrou avait été élu au second tour avec 55,58% des suffrages.
Le leader du MoDem, avec 46% des intentions de vote, devancerait au second tour la candidate du Parti socialiste, Marie-Pierre Cabanne (28%), et le représentant de l'UMP, Jean-Pierre Marine (26%), selon cette étude.
Au premier tour, M. Bayrou arriverait en tête avec 45% des intentions de vote, devant Mme Cabanne (21%) et M. Marine (20%).
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La première vague de l'observatoire du référendum sur la constitution européenne réalisée par Ipsos pour Le Figaro et Europe 1 confirme l'avance du oui dans les intentions de vote (60% contre 40% pour le non). Mais le détail des motivations des abstentionnistes potentiels et des certains d'aller voter, et la relative sérénité des électeurs quant aux conséquences d'une éventuelle victoire du non, montrent que le jeu reste ouvert.
Si des élections avaient lieu aujourd'hui, le PLC serait en tête au Québec avec 37% des intentions de vote, suivi du Bloc québécois avec... (LCN)