Le fabricant de produits de beauté Garnier (L'Oréal), l'agence d'intérim Adecco et une de ses filiales, Ajilon, ont été condamnés en appel, vendredi 6 juillet, pour discrimination raciale
Le groupe Adecco, une de ses filiales, et la firme Garnier du groupe L'Oréal, ont été condamnés en appel à une amende de 30.000 euros chacune pour discrimination raciale à l'embauche. En 1ère instance, ils avaient été pourtant relaxés. Une première en France.
Le groupe Adecco, une de ses filiales, et la firme Garnier du groupe L'Oréal, ont été condamnés en appel à une amende de 30.000 euros chacune pour discrimination raciale à l'embauche. En 1ère instance, ils avaient été pourtant relaxés. Une première en France.
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LEMONDE.FR avec AFP | 06.07.07 | 15h31 • Mis à jour le 06.07.07 | 15h47
Le fabricant de produits de beauté Garnier, filiale de L'Oréal, Adecco, spécialiste du travail intérimaire, et Ajilon, l'une de ses filiales, ont été condamnés en appel, vendredi 6 juillet, pour avoir subordonné une embauche à des critères discriminatoires.
Les trois sociétés ont été condamnées en tant que personnes morales à 30 000 euros d'amende, ainsi qu'à payer solidairement 30 000 euros supplémentaires de dommages et intérêts et 10 000 euros au titre des frais de procédure à l'association SOS-Racisme, partie civile.Thérèse Coulange, cadre de la filiale d'Adecco, a été, pour sa part, condamnée à trois mois d'emprisonnement avec sursis pour les mêmes faits.
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Les entreprises Garnier (shampoings) et Adecco (travail temporaire) ont été condamnées en appel, le 6 juillet, pour discrimination raciale à l'embauche. Il s'agissait de jeunes filles faisant la promotion d'un nouveau produit dans les supermarchés. C'était en 2000, et ces deux sociétés avaient été relaxées en première instance. Pour Jean-François Amadieu, directeur de l'Observatoire des discriminations, il est regrettable que la « justice soit aussi longue car il y a un décalage entre les faits reprochés et ce qu'est aujourd'hui le groupe L'Oréal ». En effet, souligne-t-il, « lorsque l'on a un prénom susceptible d'être discriminant, les chances d'embauche sont 10 % supérieures par rapport à celui qui porte un prénom français ». Cela confirme ce que dit le PDG de L'Oréal, Jean-Paul Agon, dans une interview au Monde « La loi nous interdit de compter le nombre de personnes issues de la diversité soit par le nom, soit par le lieu de résidence. Mais aujourd'hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d'origine étrangère, il a plus de chance d'être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. » Cela s'appelle la discrimination. Mais positive. Donc louable, quand l'autre est pénalement condamnable. Inutile pour le brave Marcel d'aller se plaindre à la Halde qu'on ait choisi Mohammed. Ce grand naïf pourrait même se voir poursuivi pour propos racistes... Et pour bien montrer sa détermination, L'Oréal soutient la chaire « Di...
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