BEYROUTH, 4 septembre - RIA Novosti. La cour d'appel irakienne a confirmé mardi la peine capitale proférée par le haut tribunal pénal irakien à l'encontre du cousin de Saddam Hussein, Ali Hassan al-Madjid, mieux connu sous le sobriquet d'Ali le chimique, a annoncé la chaîne de télévision "Al-Irakia".
La Haute cour pénale d'Irak a condamné dimanche l'ancien premier-ministre du pays Tarek Aziz et le cousin de Saddam Hussein Ali Hassan al-Majid à sept ans de prison chacun, annonce lundi la télévision irakienne. Les deux accusés ont été condamnés pour leur rôle dans la violence contre les Kurdes dans les années 80. En mars dernier, Tarek Aziz avait déjà été condamné à 15 ans de prison « pour crimes contre l'humanité ». Auparavant, la justice irakienne avait condamné à (...)
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RIA NOVOSTI
Bagdad - Ali Hassan al-Majid, surnommé « Ali le Chimique » pour avoir ordonné le gazage des Kurdes, a été condamné une nouvelle fois à la peine capitale à Bagdad. Il était jugé cette fois pour la répression de l'insurrection chiite en 1991. Le bourreau des révoltés chiites s'est contenté d'un « Merci mon Dieu », en apprenant sa condamnation à mort par le Haut Tribunal pénal irakien, qui siège dans la « zone verte », le secteur fortement sécurisé de la capitale irakienne. Cousin de l'ex-dictateur (...)
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Saddam Hussein, les yeux écarquillés hurle et hurle encore : Vive l’Irak ! Dieu est grand ! tandis que le haut tribunal irakien lit impassiblement le verdict d’un procès longuement attendu. Ce dimanche, toute la capitale, Bagdad, retenait son souffle alors que la peine de mort était requise contre l’ancien président ainsi que trois de ses huit complices.
A peine quelques mois après sa mort, la télévision s'empare de sa vie pour en faire une mini-série.Between Two Rivers, tel sera le titre de cette série sur Saddam Hussein, et ses 24 années de règne absolu sur l'Irak (1979-2003). L'histoir... Lire la suite
La Cour suprême libyenne a confirmé, mercredi 11 juillet, les peines de mort pour les cinq infirmières bulgares et le médecin palestinien, condamnés pour propagation du virus du sida
Une mère a affirmé hier devant le tribunal qui juge à Bagdad les responsables des massacres de mars 1991 dans le sud de l'Irak, qu'Ali Hassan Al-Majid, cousin de Saddam et plus connu comme « Ali le..
Le procureur de la cour militaire du Burundi a requis la peine de mort contre quatre militaires, dont deux officiers, accusés du massacre d'une trentaine de civils en 2006 dans un camp militaire, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
Tripoli. Le procureur de la cour suprême libyenne a requis hier en appel la confirmation de la peine de mort à l'encontre des 5 infirmières et du médecin bulgares condamnés dans l'affaire de..
Ali Hassan al-Majid est condamné à la mort par pendaison pour avoir ordonné en 1988 le bombardement au gaz du village kurde de Halabja, tuant environ 5 000 personnes.
Bagdad - L'ancien vice-premier ministre de Saddam Hussein, Tarek Aziz, et Ali Hassan al-Majid, alias « Ali le Chimique », ont été condamnés à quinze ans de prison pour « crimes contre l'humanité ». Ils étaient jugés pour leur responsabilité dans l'exécution de 42 commerçants irakiens en 1992. Le juge a déclaré les deux anciens responsables du régime irakien coupables de « meurtres prémédités » et de « crimes contre l'humanité ». MM. Aziz et Majid, cousin de Saddam (...)
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swissinfo/Radio Suisse Internationale
La Cour suprême des Etats-Unis a tranché ce mercredi 25 juin 2008 en ce qui concerne la condamnation à mort d’un violeur en Louisiane. Par cinq voix contre quatre, la jurisprudence américaine s’est en effet prononcée contre la peine capitale en cas de viol sur mineur de moins de 13 ans....
La peine de mort n'a rien de dissuasif et n'est ni un remède à la délinquance pour autant que partout au monde où la peine de mort reste une réalité, la criminalité est toujours galopante.
La peine de mort n'a rien de dissuasif et n'est ni un remède à la délinquance pour autant que partout au monde où la peine de mort reste une réalité, la criminalité est toujours galopante.
Le procureur de la cour suprême de Libye a requis mercredi la confirmation de la peine de mort à l'encontre de cinq infirmières et d'un médecin bulgares condamnés pour contamination d'enfants par le sida, et qui avaient fait appel.