Environ 5.000 civils ont fui mardi matin des affrontements qui ont opposé deux factions des rebelles des Forces nationales de libération (FNL) dans un quartier nord de Bujumburat.
Tous les représentants de la rébellion burundaise des Forces nationales de libération (FNL) qui se trouvaient dans la capitale Bujumbura dans le cadre du processus de paix, sont retournés dans le maquis, faisant craindre une reprise éventuelle des hostilités dans ce pays.
Bujumbura, Burundi (PANA) - Le pouvoir de Bujumbura ne trouverait pas de raisons suffisantes de changer dans l’immédiat de médiateur...
Le chef de la rébellion burundaise des Forces nationales de libération (FNL), Agathon Rwasa, est rentré vendredi à Bujumbura lors d'une visite historique pour les Burundais qui espèrent qu'elle contribuera à mettre fin à une guerre civile débutée en 1993.
Le cessez-le-feu entre le gouvernement burundais et les rebelles des Forces nationales de libération (FNL) a été rompu dans la nuit de jeudi à vendredi par des tirs sur la capitale Bujumbura.
Le gouvernement burundais et la rébellion des Forces nationales de libération (FNL) ont signé lundi à Bujumbura une déclaration de cessation immédiate des hostilités dans le pays où les combats avaient repris le 17 avril.
Bastion de la rébellion, la province de Bujumbura Rural, qui englobe Bujumbura, la capitale burundaise, a pendant des années été inaccessible aux travailleurs humanitaires et ses habitants ont été isolés de la vie économique de la ville.
Bastion de la rébellion, la province de Bujumbura Rural, qui englobe Bujumbura, la capitale burundaise, a pendant des années été inaccessible aux travailleurs humanitaires et ses habitants ont été isolés de la vie économique de la ville.
Au moins sept dissidents présumés des rebelles burundais des Forces nationales de libération (FNL) ont été tués dimanche soir dans l'attaque par des combattants FNL de leur camp au sud de Bujumbura, a annoncé lundi à l'AFP le ministre de l'Intérieur du Burundi.
Les rebelles burundais ont lancé une nouvelle attaque près de Bujumbura dans la nuit de vendredi à samedi, tandis que le bilan des combats depuis l'offensive jeudi des Forces nationales de libération (FNL) s'est alourdi à 26 morts, ont indiqué des sources militaires.
Jean-Bosco Sindayigaya, chef d'une aile dissidente des rebelles des Forces nationales de libération (FNL), dernière rébellion du Burundi, a été arrêté dans la nuit de jeudi à vendredi à Bujumbura, a annoncé dimanche la police burundaise.
L'armée burundaise a annoncé vendredi l'interdiction de toute circulation entre 18H00 (16H00 GMT) et 07H00 (05H00 GMT) en dehors ou à destination de la capitale Bujumbura, en raison d'une insécurité croissante sur les axes routiers.
Le président burundais Pierre Nkurunziza et le leader des rebelles des Forces nationales de libération (FNL) Agathon Rwasa se sont entretenus lundi à Bujumbura pour la première fois depuis un an, a-t-on appris de sources rebelle et officielle.
Pour la première fois depuis bien longtemps, Bujumbura a connu des scènes d'exode que l'on croyait révolues, où l'on a vu des milliers d'habitants quitter les quartiers de Kinama et de Buterere, munis de leurs bagages par crainte d'être pris entre deux feux, suite aux combats très violents entre les éléments du Palipehutu-Fnl d'Agathon Rwasa et ceux d'une faction dissidente.
Pour la première fois depuis bien longtemps, Bujumbura a connu des scènes d'exode que l'on croyait révolues, où l'on a vu des milliers d'habitants quitter les quartiers de Kinama et de Buterere, munis de leurs bagages par crainte d'être pris entre deux feux, suite aux combats très violents entre les éléments du Palipehutu-Fnl d'Agathon Rwasa et ceux d'une faction dissidente.