Les internautes français seraient prêts à payer le téléchargement de musique et de films en ligne. C’est en tout cas la conclusion d’une étude Ipsos faite auprès de 1000 internautes, sur proposition de l’Adami (société de ...
D'après une enquête Ipsos menée auprès de 1000 internautes français, 83% d'entre eux préfèrent payer une redevance mensuelle sur l'abonnement à Internet plutôt que l'interdiction (assorties de poursuites) des échanges gratuits de fichiers (type musique et films). Chez les moins de 35 ans, le taux monte même jusqu'à 88%. Et pour pouvoir télécharger de la musique, les internautes sont prêts à payer en moyenne 5,20 € de plus par mois. Si on y inclue le téléchargement de films, on atteint même (...)
A choisir entre empêcher les internautes d'effectuer des échanges gratuits, y compris en les poursuivant en justice et autoriser les échanges de fichiers musicaux sur Internet en contrepartie d'une redevance sur l'abonnement payé aux fournisseurs d'accès, les internautes n'hésitent pas. Selon l'enquête Ipsos-ADAMI, ils sont prêts à payer en moyenne 5€ par mois pour télécharger des fichiers musicaux, et jusqu'à 10€ pour des films.
Le cabinet statistiques comScore a récemment publié une étude sur l'opération de téléchargement menée par le groupe de pop-rock Radiohead afin de déterminer combien d'internautes étaient prêts à payer pour leur dernier album : In Rainbows.
Les Français plébiscitent les sites Internet consacrés à l'actualité mais seuls 21 % accepteraient de payer pour ce service, selon une étude des instituts Lightspeed Research et Trendstream.
Inciter les pirates à payer quand même leurs téléchargement illégaux. C'est l'idée de MooZar, un service prévu pour le 26 février prochain. Prenant acte du fait que 60 % des internautes adeptes du téléchargement illégal sont prêts à rémunérer les artistes, MooZar souhaite donc déployer une plate-forme entre ces deux univers. Une sorte de légalisation a posteriori du piratage ? [Lire la suite]
«Autoriser les échanges de fichiers musicaux sur internet en contrepartie d'une redevance sur l'abonnement payé aux fournisseurs d'accès, plutôt que poursuivre en justice les contrevenants, telle est l'opinion d'une écrasante majorité (83%) d'internautes français», conclut un récent sondage Ipsos.
Selon une enquête de la Commission européenne, les jeunes internautes européens sont conscients que le téléchargement de fichiers gratuits peut-être illégal. Mais ils ne sont pas prêts pour autant à renoncer à cette pratique.
Forrester vient de donner les résultats d'une étude sur les modes de consommation actuels et futurs des contenus en ligne. Le gratuit domine encore largement la toile, et les signes d'engouement des internautes pour les contenus numériques payants se font toujours attendre.
Rémunération des ayants droit, politique de prix, utilisation de DRM, droits des internautes: les plates-formes légales de téléchargement sont confrontées à des enjeux complexes dont l'équilibre économique et juridique est périlleux.
Marc Le Fur et Alain Suguenot ont préparé une proposition de loi visant à amnistier les internautes condamnés pour téléchargement illégal. Ils souhaitent supprimer le flou et l'insécurité juridique créés par l'adoption de la loi Dadvsi.
Si de nombreux internautes militent pour le téléchargement libre et gratuit sur Internet, cette position est farouchement combattue par les ayants droit, les industries culturelles et les différents intérêts de ce secteur. Or, la société spécialisée dans la lutte contre le piratage DigiPritect a une autre approche de la question. Pour elle aussi, le téléchargement illégal a un grand intérêt. Mais ce n'est pas tout à fait le même. [Lire la suite]
Si l'on en croit une étude de l'institut GFK et du magazine SVM publiée aujourd'hui et réalisée auprès de 1.069 foyers en décembre, une petite moitié des internautes se disent prêts quitter
Selon un sondage publié par nos confrères d'Auto Plus, 4 Français sur 10 se disent "prêts à payer plus cher" leur voiture fabriquée dans l'Hexagone "pour sauver des emplois en France".
En effet, selon [...]
Les réseaux sociaux Viadeo et Netlog misent sur la plate-forme OpenSocial de Google pour permettre aux développeurs d'être rémunérés en proposant leurs applications sur ces sites. Mais les internautes sont-ils prêts à payer ?