En revanche, plus le temps passe et plus ces piques, qui se croisent, deviennent acerbes.
Lors de la campagne pour l'élection présidentielle, celui qui, entre temps, est devenu chef de l'Etat, n'a jamais mâché ses mots sur le rôle de l'euro comme outil monétaire sans pour autant remettre en cause l'indépendance de la Banque Centrale Européenne mais invitant cette dernière à écouter davantage les opinions avisées sur les stratégies défendues ici ou là.
C'est donc, sans grandes précautions oratoires, que Nicolas Sarkozy a émis l'hypothèse et donc le souhait que le « temple européen de l'argent » puisse prendre des mesures permettant d'empêcher ...