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Que savait Villepin ?
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Le premier ministre a été mis au courant dès février 2006 de la vente de titres EADS à la CDC.
Les services du Premier ministre ont été informés à l'avance de l'intention du groupe Lagardère de vendre des actions EADS à la banque IXIS CIB en 2006 et de la possibilité qu'une partie de ces actions soit rachetée par la Caisse des dépôts, affirme Arnaud Lagardère dans une interview à paraître dans le Journal du Dimanche.A la question: le Premier ministre Dominique de Villepin était-il au courant de l'opération?, le patron du groupe Lagardère répond: oui, bien sûr.M. Lagardère confirme qu'une note a été transmise à Matignon début 2006 au sujet de la vente d'une partie des actions EADS détenues par Lagardère, en avril 2006.Cette note était un descriptif de l'opération, que nous avons envoyée aux services du Premier ministre, parce qu'ils nous l'avaient demandé. Elle contenait une liste d'investisseurs susceptibles d'être intéressés à long terme, dont, parmi d'autres, la CDC, explique M. Lagardère.M. Villepin avait déclaré mercredi n'avoir jamais été saisi du rachat de titres EADS par la CDC.M. Lagardère précise toutefois que l'achat d'actions EADS par la Caisse des dépôts n'a pas été organisé par Lagardère et l'Etat: Thierry Breton l'a dit, l'Etat n'a rien à voir là-dedans. C'est une grande banque, IXIS CIB, qui en a été chargée.Concernant nos relations avec l'Etat, je voudrais que les choses soient claires. Dès janvier 2006, mes collaborateurs ont eu des réunions répétées et à haut niveau concernant l'opération avec les services du Premier ministre. Elles portaient sur le s...
Les services du Premier ministre ont été informés à l'avance de l'intention du groupe Lagardère de vendre des actions EADS à la banque IXIS CIB en 2006 et de la possibilité qu'une partie de ces actions soit rachetée par la Caisse des dépôts, affirme Arnaud Lagardère dans une interview à paraître dans le Journal du Dimanche.A la question: le Premier ministre Dominique de Villepin était-il au courant de l'opération?, le patron du groupe Lagardère répond: oui, bien sûr.M. Lagardère confirme qu'une note a été transmise à Matignon début 2006 au sujet de la vente d'une partie des actions EADS détenues par Lagardère, en avril 2006.Cette note était un descriptif de l'opération, que nous avons envoyée aux services du Premier ministre, parce qu'ils nous l'avaient demandé. Elle contenait une liste d'investisseurs susceptibles d'être intéressés à long terme, dont, parmi d'autres, la CDC, explique M. Lagardère.M. Villepin avait déclaré mercredi n'avoir jamais été saisi du rachat de titres EADS par la CDC.M. Lagardère précise toutefois que l'achat d'actions EADS par la Caisse des dépôts n'a pas été organisé par Lagardère et l'Etat: Thierry Breton l'a dit, l'Etat n'a rien à voir là-dedans. C'est une grande banque, IXIS CIB, qui en a été chargée.Concernant nos relations avec l'Etat, je voudrais que les choses soient claires. Dès janvier 2006, mes collaborateurs ont eu des réunions répétées et à haut niveau concernant l'opération avec les services du Premier ministre. Elles portaient sur le s...
Les services du Premier ministre ont été informés à l'avance de l'intention du groupe Lagardère de vendre des actions EADS à la banque IXIS CIB en 2006 et de la possibilité qu'une partie de ces actions soit rachetée par la Caisse des dépôts, affirme Arnaud Lagardère dans une interview parue dans Le Journal du Dimanche.A la question: le Premier ministre Dominique de Villepin était-il au courant de l'opération?, le patron du groupe Lagardère répond: oui, bien sûr.M. Lagardère confirme qu'une note a été transmise à Matignon début 2006 au sujet de la vente d'une partie des actions EADS détenues par Lagardère, en avril 2006.Cette note était un descriptif de l'opération, que nous avons envoyée aux services du Premier ministre, parce qu'ils nous l'avaient demandé. Elle contenait une liste d'investisseurs susceptibles d'être intéressés à long terme, dont, parmi d'autres, la CDC, explique M. Lagardère.M. Villepin avait déclaré mercredi n'avoir jamais été saisi du rachat de titres EADS par la CDC.Le député PS Arnaud Montebourg a dénoncé dimanche sur Canal + les protections accordées à Arnaud Lagardère dans l'affaire EADS, rappelant qu'à l'époque où celui-ci affirme avoir informé Matignon de sa décision de vendre une partie de ses actions dans le groupe aéronautique, Nicolas Sarkozy était membre du gouvernement.Il y a des chances qu'un certain nombre de responsabilités soient engagées, a affirmé M. Montebourg, quant à savoir si Dominique de Villepin, alors Premier ministre, avait été ef...
Le « devoir de protéger mes salariés et mes actionnaires ». C'est avec cette idée en tête qu'Arnaud Lagardère répond aux accusations dont fait l'objet son groupe dans le scandale EADS...
Dans un entretien au "JDD", il affirme que son groupe n'a "pas commis de délit d'initié" et qu'à "titre personnel", il n'a "pas vendu la moindre action". Selon lui, Dominique de Villepin a été informé de son intention de se désengager d'EADS dès janvier 2006.
Arnaud Lagardère était auditionné ce jeudi par la commission des Finances de l'Assemblée nationale qui cherche à éclaircir le rôle de l'Etat actionnaire dans l'affaire EADS. Ce que je savais, ce que je sais, l'Etat le savait, l'Etat le sait, a affirmé le président du groupe Lagardère, actionnaire d'EADS.
Reuters 2007 Benoît Tessier
S'exprimant pour la première fois dimanche sur l'affaire EADS, Arnaud Lagardère a affirmé que Matignon avait suivi depuis le début la vente de sa participation dans le groupe européen d'aéronautique et de défense, entretenant le doute sur le rôle de l'Etat.Selon le patron du groupe éponyme et coprésident du conseil d'administration d'EADS, Matignon a été informé à l'avance de son intention de vendre des titres EADS à la banque IXIS CIB en 2006 et de la possibilité qu'une partie soit rachetée par la Caisse des dépôts et consignations (CDC), organisme public.A la question: le Premier ministre Dominique de Villepin était-il au courant de l'opération?, M. Lagardère, proche du président de la République Nicolas Sarkozy, l'ancien rival de M. de Villepin, répond: oui, bien sûr, dans un entretien au Journal du Dimanche, dont son groupe est propriétaire.L'ancien Premier ministre avait pourtant affirmé mercredi n'avoir jamais été saisi de ce dossier ni par M. Lagardère, ni par le directeur de la Caisse des Dépôts.De leur côté, les responsables de la CDC avaient assuré mardi que le gouvernement n'avait pas été informé de cette opération.Lagardère a vendu en avril 2006 la moitié de sa participation dans EADS à terme, 2,25% étant rachetés par la CDC.Deux mois après, EADS annonçait des retards de livraison pour l'A380, provoquant un effondrement de son cours de Bourse. Dans cette affaire, M. Lagardère se défend de tout délit d'initié alors que l'Autorité des marchés financiers soupçonne de...
Dominique de Villepin sera auditionné le mardi 30 octobre à 12H00 en compagnie de son directeur de cabinet de l'époque, Pierre Mongin, et de son conseiller aux affaires industrielles, Alain Demarolle, a indiqué à l'AFP le sénateur UDF Jean Arthuis, président de la commission des Finances.
Le but de cette audition est d'éclairer le Sénat sur la gouvernance publique dans l'opération de vente d'EADS, a indiqué M. Arthuis.
Dominique de Villepin a reconnu dimanche que Bercy et Matignon avaient été informés à l'avance par Arnaud Lagardère de son intention de céder des titres EADS mais a affirmé qu'il ne s'agissait que d'une information préalable et qu'il ignorait qu'une partie de ces titres allaient être achetés par la Caisse des dépôts (CDC).
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Thierry Breton ment ou il est incompétent, a estimé dimanche François Chérèque (CFDT) après les propos de l'ancien ministre des Finances selon lesquels l'Etat n'a pas été informé des modalités de vente par le groupe Lagardère de 7,5% du capital d'EADS en avril 2006.Ou il ment ou il est incompétent, il est l'actionnaire principal de la Caisse des Dépôts en tant que ministre des Finances et il nous dit qu'il n'est pas au courant quand la Caisse des Dépôts rachète une partie des actions d'une entreprise dont l'Etat est central dans la gouvernance. Il y a quelque chose que je ne peux pas comprendre. Ou il a mal fait son travail ou il ment, mais il y a un problème, a déclaré le secrétaire général de la CFDT lors de l'émission le Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro.Le reproche que je fais à Breton, c'est de ne pas être intervenu dans une opération de rachat, dans laquelle il aurait dû intervenir, a ajouté M. Chérèque.Bien évidemment, il faut que les personnes remboursent, c'est la première chose, et ensuite il y a la démarche judiciaire, mais il faut aussi se poser la question du rôle de l'Etat, a ajouté M. Chérèque, après avoir rappelé qu'aux Etats-Unis les délits d'initiés sont passibles de 20 ans de prison, beaucoup plus qu'en France.L'ancien ministre des Finances Thierry Breton, entendu vendredi par la commission des Finances du Sénat, avait affirmé que l'Etat n'avait pas été informé des modalités de vente par le groupe Lagardère de 7,5% du capital d'EADS en avril 2006, et qu'il avait...
Arnaud Lagardère a indiqué jeudi 25 octobre que l'Etat, son partenaire français au sein du pacte d'actionnaires dirigeant le groupe EADS a toujours eu les mêmes informations que le groupe Lagardère, qu'il s'agisse des problèmes industriels d'Airbus ou de la vente de ses actions
Arnaud Lagardère, président du groupe français éponyme, actionnaire de référence d'EADS, affirme que son groupe n'a pas commis de délit d'initié et qu'à titre personnel, il n'a pas vendu la moindre action, dans une interview à paraître dimanche.J'irai partout où c'est nécessaire pour démontrer que le groupe Lagardère n'a pas commis de délit d'initié, déclare M. Lagardère au Journal du Dimanche, précisant qu'il ne détenait personnellement aucune stock option d'EADS.Il affirme par ailleurs avoir informé le gouvernement français début 2006 de la décison de vendre une partie des actions EADS détenues par son groupe en avril 2006.Cette note était un descriptif de l'opération, que nous avons envoyé aux services du Premier ministre (Dominique de Villepin), parce qu'ils nous l'avaient demandé. Elle contenait une liste d'investisseurs susceptibles d'être intéressés à long terme, dont, parmi d'autres, la CDC, explique M. Lagardère.M. Villepin avait déclaré mercredi n'avoir jamais été saisi du rachat de titres EADS par la CDC.Concernant nos relations avec l'Etat, je voudrais que les choses soient claires. Dès janvier 2006, mes collaborateurs ont eu des réunions répétées et à haut niveau concernant l'opération avec les services du Premier ministre. Elles portaient sur le schéma envisagé, le calendrier, etc. Matignon a suivi l'opération depuis le début, affirme le patron du groupe de défense et de médias.Lagardère a vendu une partie de ses titres EADS juste avant la chute du cours provoqu...
Mis en cause par Arnaud Lagardère, l'ancien Premier ministre se dit prêt à rendre compte de l'action de Matignon dans l'affaire des ventes de participations.
Arnaud Lagardère, président du groupe français éponyme, actionnaire de référence d'EADS, affirme que son groupe n'a pas commis de...
Lagardère a décidé de s'alléger d'EADS en cédant la moitié de sa participation, soit 7,5%. La Caisse des Dépôts est prête à en prendre le tiers, soit 2,25%. Pour sécuriser les intérêts français au sein du groupe aéronautique. Au nom du patriotisme économique voulu par Matignon...
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