Grâce à un serveur informatique, les médecins peuvent connaître en temps réel les lits disponibles dans les hôpitaux. Un système testé en région parisienne.
Un avertissement de 24 heures. C'est ainsi que les médecins et praticiens des hôpitaux publics présentent leur grève déclenchée mardi. Ils veulent de meilleures conditions de vie et de travail. Le mouvement semble suivi au CHU de Lomé où seules les urgences sont assurées.
Un avertissement de 24 heures. C'est ainsi que les médecins et praticiens des hôpitaux publics présentent leur grève déclenchée mardi. Ils veulent de meilleures conditions de vie et de travail. Le mouvement semble suivi au CHU de Lomé où seules les urgences sont assurées.
Les urgences médicales dans nos hôpitaux fonctionnent à la vitesse de la tortue. Les patients et les blessés arrivent en masse aux portes d'un service peu outillé pour les prendre en charge. Le constat existe depuis des années sans espoir d'amélioration à l'avenir. A voir ou à vivre ce qui se passe dans les urgences médicales de nos hôpitaux, il y a lieu de s'alarmer.
Depuis peu, il est désormais possible de se renseigner sur les tarifs pratiqués par les professionnels de santé (médecins, dentistes, kinés...) www.ameli.fr
La Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) a décidé de jouer la transparence en informant les patients sur les tarifs pratiqués par les médecins et dentistes sur son site internet.
Le but avoué est de combattre les dépassements d'honoraires abusifs parfois pratiqués par certains professionnels de santé. En effet, les médecins ont le choix de pratiquer les tarifs de la sécurité sociale (secteur1), de pratiquer des honoraires libres (secteur 2) ou même, d'être « hors convention » (secteur 3). Rappelons que la sécurité sociale ne rembourse que sur la base des tarifs de secteur 1 (70% du montant de la consultation).
Dans les certaines villes, trouver un spécialiste au tarif de la sécu est devenu très difficile.
Au final, nous avons ainsi une médecine à deux vitesses en termes d'accès aux soins, où les personnes qui ne peuvent se permettre de payer une consultation trop chère vont s'entasser aux urgences des hôpitaux qui ne sont pas destinées à les accueillir. Selon un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) publié en 2007, les dépassements d'honoraires représentaient 2 milliards d'euros en 2005 !
Informer le patient afin de réduire les dépenses de santé, est assurément une bon...
Le gouvernement régional (Parti Populaire) de Madrid a autorisé les prêtres catholiques à aider les médecins à statuer sur le sort de malades en phase terminale hospitalisés dans la région. Les religieux présents dans tous les hôpitaux de la région...
Le polémique site Note2be décrié par l'Education Nationale avait ouvert la voie dans laquelle se sont engouffrées plusieurs déclinaisons appliquées aux professionnels de la santé avant de fermer boutique. Palmares.com reprend aujourd'hui le flambeau, proposant la notation des médecins et des hôpitaux sur Internet.
Les urgences des hôpitaux débordent. Le taux d'occupation des urgences est de 121 pour cent à Montréal, de 110 pour cent à Québec et...
Le reportage d'Yves Poirier. (LCN)
CLINIQUE PRIVEE EN REGION PARISIENNE recherche 1 quatrième ANESTHESISTE REANIMATEUR,