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Face au pouvoir, l'opinion en ébullition

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 Actualités

Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :

Face au pouvoir, l'opinion en ébullition... ()

L'enquête Ipsos-Le Monde réalisée suite à la nomination de Dominique de Villepin à la tête du gouvernement révèle surtout une défiance de l'opinion face au pouvoir politique. 80% de ceux qui ont vu ou entendu parler de l'intervention de Jacques Chirac lundi soir n'ont pas été convaincu. La nomination du Premier ministre est majoritairement désapprouvée, et l'échec dans sa capacité à redonner confiance aux Français est anticipé par 57% sondés, et 49% des proches de l'UMP. Pour la gauche, la majorité des Français, des électeurs du Non, des sympathisants socialistes, et même des sympathisants socialistes qui ont voté Non ne souhaitent pas que Laurent Fabius remplace François Hollande comme premier secrétaire du PS.

François Fillon face à une crise de régime... ()

François Fillon vit une crise de régime et non pas une crise dans le régime. Cette nouvelle dimension ouvre la quali-totalité des issues. L'opinion est au bord de l'explosion. La coupure avec le pouvoir est profonde et grave. Moins le pouvoir reconnaît cette coupure, plus l'opinion monte en pression. C'est la totalité d'un exercice du pouvoir qui est désormais contestée. Pendant la présidentielle 2007, Nicolas Sarkozy a eu en permanence un train d'avance. Maintenant, il a presque toujours un train de retard. L'opinion veut l'union. Le pouvoir s'exprime en diviseur permanent. L'opinion veut l'union des compétences. Le pouvoir lui présente l'union des ex qui, pour respectueux qu'ils soient, semblent bénéficier de l'ouverture comme cimetière des éléphants. L'opinion veut l'exemple au sommet. Le pouvoir lui montre qu'il ne vit pas la crise, voire pire qu'il pourrait même ne pas la connaître du tout pour s'émanciper à ce point là de certaines contraintes élémentaires d'économies. L'opinion veut des résultats et le pouvoir ne donne aucune visibilité sur les enjeux concrets prioritaires liés au quotidien. La liste est longue. Une crise de régime est là. Nicolas Sarkozy en avait repoussé l'expression par sa campagne 2007 très atypique au cours de laquelle il fut d'abord le rebelle face au pouvoir. Il n'a plus de rebelle dans sa majorité. Les manifestations vont exprimer cette rebellion sans encadrement donc avec les pires dangers.

La vie politique se résume à un face-à-face entre l'Elysée et l'opinion... ()

Le député de Paris UMP, Claude Goasguen, regrette que "la vie politique se résume à un face-à-face entre l'Elysée et l'opinion" : c'est ce qu'il déclare dans un entretien au Journal du Dimanche, aujourd'hui. Selon lui, cela ...

Jean-François Copé face à une vague d'anti-parlementarisme... ()

Les parlementaires entrent dans le cyclone de l'opinion en mal de revanche. La crise éprouve toujours les démocraties. Les crises économiques fragilisent toujours les instances parlementaires parce que la crise impose l'action et que le Parlement ... parle. Qu'il incarne le verbe et non pas le faire. En réalité, la vie politique Française connaît une nouvelle étape de concentration des pouvoirs. L'opinion a le sentiment qu'en dehors de l'Elysée aucun pouvoir n'existe. Le Parlement n'échappe pas à cette vision réductrice porteuse de très lourds dangers pour ... l'Elysée d'abord.

Sarkozy et les syndicats entament leur bras de fer devant l'opinion... ()

Nicolas Sarkozy mise sur le soutien de l'opinion publique que les instituts de sondage disent majoritairement favorable à la réforme. Néanmoins, il court le risque de voir se fédérer aux opposants à la réforme tous les déçus de sa politique en matière de pouvoir d'achat.

Sarkozy et les syndicats entament leur bras de fer devant l'opinion... ()

Nicolas Sarkozy mise sur le soutien de l'opinion publique que les instituts de sondage disent majoritairement favorable à la réforme. Néanmoins, il court le risque de voir se fédérer aux opposants à la réforme tous les déçus de sa politique en matière de pouvoir d'achat.

Sarkozy et les syndicats entament leur bras de fer devant l'opinion... ()

Nicolas Sarkozy mise sur le soutien de l'opinion publique que les instituts de sondage disent majoritairement favorable à la réforme. Néanmoins, il court le risque de voir se fédérer aux opposants à la réforme tous les déçus de sa politique en matière de pouvoir d'achat.

Sarkozy et les syndicats entament leur bras de fer devant l'opinion... ()

Nicolas Sarkozy mise sur le soutien de l'opinion publique que les instituts de sondage disent majoritairement favorable à la réforme. Néanmoins, il court le risque de voir se fédérer aux opposants à la réforme tous les déçus de sa politique en matière de pouvoir d'achat.

François Fillon face à la grogne sociale... ()

La grève de jeudi est très populaire : 73 % de soutien dans l'opinion (enquête Ifop). Le printemps s'annonce chaud, une fois de plus. La grève de jeudi est très populaire. Elle bénéficie d'un soutien auprès de 73 % de l'opinion. Ce soutien est même de 55 % au sein de l'électorat de droite. L'esprit de fronde commence à prendre corps face à un avenir qui préoccupe et des mesures gouvernementales en perte de lisibilité.

Nicolas Sarkozy victime du "style Obama"... ()

Actuellement, chaque communication sur Barack Obama est une pierre jetée dans le jardin de Nicolas Sarkozy tant les deux styles paraissent en opposition. Barack Obama installe un style de gouvernance marqué par quatre traits majeurs : * la cool attitude, * la tolérance, * le rassemblement face à la crise, * la modernité notamment grâce aux nouvelles technologies. Face à ce pouvoir d'évocation, le Président Français parait : * figé, * avide de manifestations d'autorité voire d'autoritarisme comme la récente décision de révocation du Préfet de la Manche, * diviseur avec un fossé entre le pouvoir et l'opposition qui se creuse chaque jour, * défenseur de la monarchie républicaine qu'il brocardait hier face à son successeur. L'opinion publique Française commence à percevoir cette différence qui va produire des effets négatifs sur la cote présidentielle Française. Embedded video from CNN Video

François Hollande croit à une crise politique majeure à court terme... ()

François Hollande croit qu'une crise politique majeure est incontournable dans les prochains mois. Elle changera la donne de la présidentielle 2012 y compris dans le processus de sélection des profils des candidats. Pouvoir politique et société ne sont pas face à face mais dos à dos. Après l'embellie de la participation présidentielle en mai 2007, les dernières élections locales ont fait naître un taux d'abstention historique. Que montre cette situation ? L'Etat, les collectivités locales, les partis politiques et l'opinion ne vivent plus la même société. L'Etat se tourne vers l'économie internationale. Les collectivités locales vivent les grands aménagements des territoires. Les partis politiques sont des vestiaires pour la présidentielle, ultime rendez-vous qui conditionne la survie même d'un parti politique. L'opinion s'affronte au quotidien immédiat. La naissance de ces différents rythmes épuise la vie politique Française, lui fait perdre sa vitalité, voire même son utilité tant chacun devient indifférent à l'autre. Il n'y a que les temps d'élection, où la réalité du marché impose de bâtir de nouveaux terrains de rencontres. Mais l'installation au pouvoir creuse de nouveaux fossés. C'est cette situation qui est le socle de l'actuelle impopularité du Président de la République à qui l'opinion reproche d'avoir tenu une parole d'élection sans effet sur les actes du pouvoir. En temps de crise économique, cette situation est explosive à court terme. Une crise poli...

Nicolas Sarkozy et le vivement demain... ()

Le grand oral du Chef de l'Etat a permis de dévoiler sa tactique interne en pleine crise : partager les choix et faire espérer pour demain. En temps de crise, les annonces solitaires sont mises au placard. Les mauvaises annonces doivent être discutées donc partagées. Ce type de soirée montre surtout combien il est plus aisé de répondre aux journalistes professionnels qui connaissent peu et pratiquent pas du tout le droit de relance que face à l'opinion. Face à l'opinion, il est certain que des témoignages porteurs de forte émotion auraient donné une toute autre connotation. Le choix du format a été très sécurisant pour le Président. Reste à savoir s'il ne l'a pas trop été aux yeux de l'opinion ?

Rachida Dati renoue le dialogue avec les magistrats... ()

Rachida Dati modère son attitude face à un magistrat qui s'était exprimé très volontairement contre une loi. Un exemple de la difficulté à réformer ce secteur de l'action publique. Rachida Dati fait les frais d'une réelle déviation des relations entre le politique et la justice. Pouvoir appliquer la loi de façon indépendante ne signifie pas pouvoir avoir l'indépendance de ne pas appliquer la loi. Cette précision montre toute la difficulté du contenu réel de certaines déclarations de magistrats qui donnent parfois le sentiment de vouloir décider seuls de l'application pure et simple de la loi et de la faculté éventuelle de s'émanciper de cette application. Le judiciaire est devenu allergique au responsable politique. L'opinion est devenue allergique au judiciaire depuis que des scandales ont défrayé la chronique. Le juge fut hier le vengeur des sans grades face aux puissants. Aujourd'hui, le juge est devenu pour l'opinion un puissant qui peut anéantir des sans grades et sans raison. La médiatisation de l'affaire Outreau a ponctué cette évolution des epsrits comme la judiciarisation de la vie a accéléré l'exposition des juges appelés à se faire 50 % de détracteurs par affaire ; ce qui est un taux énorme d'impopularité au quotidien. Il faudra toute la popularité de Rachida Dati pour mener une réforme de la justice. Elle devra la conduire en s'appuyant en permanence sur l'opinion qui est sa meilleure et peut-être sa seule alliée dans ce travail délicat.

Royal juge la mobilisation "légitime" face au pouvoir "méprisant, incompétent, obstiné"... ()

François Bayrou estime lui aussi qu'il s'agit d'un mouvement "profond de colère". Une opinion en partie partagée par Alain Juppé qui considère que "l'angoisse" de l'opinion publique "mérite écoute et considération". Plus de 200 manifestations sont prévues dans toute la France.

Nicolas Sarkozy face au bourbier afghan... ()

Nicolas Sarkozy pourrait payer cher à terme son engagement aussi fort comme Chef des Armées. Un récent sondage au Canada montre le décrochage de l'opinion face à de tels engagements. Le Canada vit l'engagement afghan avec de l'avance sur la France. Le sondage Harris Décima publié hier est très instructif. 61 % jugent inacceptables les coûts humains et financiers. 57 % souhaitent le retrait des troupes. L'opinion est très réactive face à de tels fronts. Jusqu'à ce jour, l'opinion Française ignorait la réalité de l'engagement militaire. Elle vient de découvrir le coût humain avec le décès de 10 soldats. Elle va découvrir ensuite le coût financier. Cette contribution risque d'avoir à terme un coût politique très élevé.

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