Le célèbre fabricant de vaisselle en verre trempé a été placé en redressement judiciaire. 500 emplois sont en jeu.
La menace d’une liquidation judiciaire plane très sérieusement sur la verrerie Duralex à La Chapelle-Saint-Mesmin dans le Loiret. Le tribunal de commerce d’Orléans se prononcera demain, au vu des garanties financières qu’a promis de lui apporter le P-DG de l’entreprise chapelloise. La verrerie Duralex est placée en état de cessation de paiement depuis le 1er avril en raison de graves difficultés financières. Au début du mois, un passif évalué à 20 millions d’euros a été présenté, dont plus d’un tiers est composé de créances immédiatement exigibles. Sinan Solmaz, le chef d’entreprise, devait impérativement injecter 5 millions d’euros d’argent frais dans sa trésorerie avant le 22 avril. Faute de quoi, le tribunal de commerce prononcerait la liquidation judiciaire de la verrerie. Les trois cents employés de la verrerie sont dans l’expectative.
La verrerie Duralex sera fixée sur son avenir lundi. La société est en liquidation judiciaire avec poursuite d’activité depuis quelques semaines. Le tribunal de commerce d'Orléans fera connaître lundi sa décision sur le choix du repreneur de la verrerie qui emploie 240 salariés à La Chapelle Saint-Mesmin dans le Loiret. Il reste deux candidats sérieux parmi les dix-sept postulants au départ. Le premier candidat, maintient seulement 135 emplois et apporte un million d'euros. Le second propose de conserver 200 emplois et apporte 3,6 millions d'euros. C’est celui-ci qui semble le mieux placé. Il s’agit d’un groupe de quatre actionnaires français (un industriel, un spécialiste de reprise d'entreprises et deux cadres de Duralex).
Pour Duralex, la faillite semble imminente, après que le tribunal de commerce d'Orléans eut rejeté hier mardi en toute fin d'après-midi son plan de continuation. Autrement dit, le groupe français reste en état de cessation ...
Duralex a été déclaré bon pour le service. Le tribunal de commerce d'Orléans a en effet accepté jeudi le plan de sauvetage présenté par l'unique actionnaire du mythique fabricant de verres réputés incassables. Le projet ...
Hier au tribunal de commerce, il a été question de la reprise de la verrerie Duralex. Les salariés devront encore patienter quelques semaines avant de connaître le nom du repreneur de l’usine de La Chapelle-Saint-Mesmin. Les magistrats ont décidé de repousser la date buttoir, au-delà de laquelle aucune offre ne pourra plus être déposée, au 27 juin. À ce jour, sept repreneurs ont fait connaître l’intérêt qu’ils portaient au rachat de la verrerie Duralex, dont la liquidation judiciaire a été prononcée le 25 avril.
La situation de la verrerie Duralex de Rive-de-Gier (Loire), où une centaine de salariés sont désoeuvrés depuis l'arrêt du four neuf de l'entreprise, il y a dix mois, tire à sa fin. Le tribunal de commerce d'Orléans devrait vraisemblablement accepter aujourd'hui la demande de l'actionnaire et...
Les ennuis de l'entreprise Duralex International France, fabricant de verrerie continuent. L'entreprise s'est déclarée hier en cessation de paiement en raison d'un endettement important. Duralex, qui emploie environ 240 personnes à La Chapelle-Saint-Mesmin dans le Loiret, affiche une dette exigible immédiatement de plus de 7 millions d'euros. Le tribunal a donné trois semaines au propriétaire turc pour en régler une partie. "Nous rencontrons aujourd'hui des difficultés pour régler la dette mais nous n'avons pas de dettes supplémentaires", a expliqué le propriétaire. Pour les syndicats, l'entreprise est viable mais la gestion actuelle ne permet pas d'assurer sa pérennité. Notons que le verre Duralex, transparent et résistant aux chocs, a été créé en 1939 par Saint-Gobain.
La vente des biens mobiliers de l'ex-verrerie Duralex de Rive-de-Gier (Loire) a rapporté 1,5 million d'euros. La structure métallique de l'usine, de l'ordre de 15.000 tonnes, a été vendue à elle seule 1,05 million à l'entreprise Recyclage Déchets Service (RDS), de L'Horme (Loire). Le reste était...
La verrerie Duralex International France a été placée aujourd'hui en liquidation judiciaire avec poursuite d'activité par le tribunal de commerce d'Orléans. "Les informations recueillies montrent que la société est dans l'impossibilité de faire face à son passif et se trouve en état de cessation de paiement. Il convient donc d'ouvrir une liquidation judiciaire avec poursuite d'activité jusqu'au 25 juillet", a indiqué le tribunal.Duralex, qui emploie 240 personnes à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), s'était déclaré le 1er avril en cessation de paiement en raison d'un endettement important.
Ils sont trois à pouvoir potentiellement prétendre à la reprise de la verrerie Duralex à La Chapelle-Saint-Mesmin. La société a été placée en liquidation judiciaire. Le tribunal de commerce d'Orléans a reçu trois propositions de reprise intéressantes. Parmi les candidats, dont les noms n'ont pas été communiqués, figurent deux industriels et un fonds d'investissement. L’examen des offres par les juges aura lieu le 18 juillet. On devrait alors connaître le nom du repreneur.
Le tribunal de commerce d’Orléans se prononcera en début d’après-midi aujourd’hui sur les offres de reprise de la verrerie Duralex. Trois candidats postuleraient au rachat de l’usine de La Chapelle-Saint-Mesmin. Celle-ci emploie actuellement 260 salariés. La verrerie de La Chapelle a été placée en liquidation judiciaire avec poursuite d’activité, le 25 avril dernier, par le tribunal de commerce d’Orléans.
Le chiffre a été avancé lors de la dernière réunion du comité d’entreprise de Duralex, qui s’est tenue mercredi. Dix-huit candidats à la reprise de la verrerie de La Chapelle-Saint-Mesmin se sont déjà fait connaître. Une quinzaine d’entre eux a pris directement contact avec l’administrateur judiciaire. Mais la prudence reste de mise dans ce dossier.
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