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Vote historique au Népal
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Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Coup de tonnerre au Népal, où les maoïstes annoncent ce jour leur retrait du gouvernement provisoire. Après le parti du Congrès népalais (Nepali Congress), le premier parti du pays qui s'est prononcé en faveur de l'instauration d'une République, les maoïstes menaçaient de se retirer du gouvernement si le Premier ministre ne déclarait pas immédiatement la République du Népal. Le pays restant pour le moment une monarchie. Hier, lundi 17 septembre, les anciens rebelles ont mené des pourparlers avec l'ensemble des partis politiques du royaume. Aucun compromis n'a été trouvé, et aujourd'hui 18 septembre les quatre ministres maoïstes du gouvernement ont présenté leur démission au premier ministre Koirala. Le parti maoïste organise en ce moment même une manifestation à Katmandou. Rappelons que les élections pour élire une Assemblée Constituante (qui doit décider du sort de la monarchie) doivent se tenir en novembre prochain. L'objectif de Prachanda, le leader des maoïstes semble d'obtenir certes la fin de la monarchie dès maintenant, mais surtout des élections anticipées avec un scrutin à la proportionnelle pour amplifier une éventuelle victoire électorale. C'est une nouvelle crise politique majeure qui se profile et met en péril le processus de paix.Source : www.nepalnews.com
La monarchie devrait être abolie au Népal le mercredi 28 mai prochain. C'est en effet la date de la première réunion de l'Assemblée constituante, convoquée par le Premier ministre, Girija Prasad Koirala, selon une déclaration à l'AFP de l'un de ses conseillers, Aditya Baral. Les Maoïstes, vainqueurs de l'élection du 10 avril, avec 220 sièges sur 601, s'étaient engagés à mettre l'abolition de la monarchie à l'ordre du jour de cette première session."Ce sera une journée historique. Cette date sera connue à l'avenir comme le Jour de la République", a annoncé le dirigeant maoïste Dinanath Sharma. "Le Népal sera formellement déclaré un pays démocratique fédéral et nous allons nous débarrasser d'une monarchie vieille de 240 ans", a-t-il ajouté. Les dirigeants maoïstes continuent par ailleurs à consulter les autres groupes politiques pour constituer une nouvelle coalition gouvernementale, qui pourrait être opérationelle dans les jours à venir ou juste après cette première session de l'Assemblée.
Les ex-rebelles maoïstes ont obtenu ce dimanche de la part du gouvernement népalais l'abolition de la monarchie après les prochaines élections de l'assemblée constituante, prévues d'ici mi-avril. « Les maoïstes ont accepté d'entrer au gouvernement car nous sommes parvenus aujourd'hui à un accord en 23 points sur les principaux problèmes politiques », a déclaré à l'AFP le ministre népalais des Finances, Ram Sharan Mahat. « Le pays sera déclaré république fédérale démocratique dans une constitution provisoire, mais nous n?appliquerons cette décision qu'après l'élection de l'assemblée constituante », a ajouté M. Mahat, qui est membre du Parti du congrès népalais. Cet accord signe une victoire maoïste, même si, dans un même temps, les ex-rebelles lâchent du lest sur leurs revendications électorales à la proportionnelle intégrale. L'accord instaure en effet un système électoral qui mêle scrutin à la proportionnelle et à la majorité. « Nous aurons une assemblée qui comptera 601 membres, dont 335 seront élus à la proportionnelle, 240 au scrutin majoritaire à un tour et 26 nommés par les partis politiques », a expliqué M. Mahat. « Si le roi conspire pour empêcher les élections, alors le parlement intérimaire pourra décider à la majorité des deux tiers de ses membres de déclarer la République avant le scrutin », a-t-il précisé.Après dix années de guerre civile, les Maoïstes avaient accepté d'entrer dans un gouvernement de coalition en 2006 après plusieurs semaines de manifestations. M...
Le Népal devrait mettre fin aujourd'hui à 239 années de monarchie lors d'un vote de l'assemblée constituante élue en avril. On s'attend à ce que le roi Gyanendra quitte son palais royal de Katmandou peu après le vote, bien qu'il n'ait pas fait part de ses intentions réelles. La sécurité a été renforcée dans plusieurs endroits stratégiques de la capitale, notamment après l'explosion, en début de semaine, de plusieurs bombes qui n'ont pas fait de victimes."Un événement historique"Interrogé mardi, à l'issue de la première réunion de l'assemblée constituante, durant laquelle les nouveaux élus ont prêté serment, le leader maoïste Prachanda s'est félicité de "cet événement historique rendu possible après un long combat du peuple népalais. Pour la première fois, a-t-il ajouté, "le Népal va être déclaré comme république. Ce n'est une chose ordinaire". Le gouvernement népalais a interdit toute manifestation aux abords du parlement mais des milliers de militants anti-royalistes ont annoncé leur intention de célébrer cet événement dans les rues de Katmandou.
Fin brutale de la monarchie ou crise politique majeure : tous les scénarios sont possibles au Népal, où les maoïstes ont annoncé hier leur retrait du gouvernement provisoire. Après le parti du Congrès népalais (Nepali Congress), le premier parti du pays qui s'est prononcé en faveur de l'instauration d'une République, les maoïstes menaçaient depuis plusieurs semaines de se retirer du gouvernement si le Premier ministre ne déclarait pas immédiatement la République du Népal. Le pays étant, pour le moment, une monarchie. Lundi 17 septembre, les anciens rebelles ont mené des pourparlers avec l'ensemble des partis politiques du royaume. Aucun compromis n'a été trouvé, et hier 18 septembre les quatre ministres maoïstes du gouvernement ont présenté leur démission au premier ministre Koirala. A l'heure actuelle, les maoïstes réclament une session extraordinaire du parlement, et une motion de défiance à l'égard du premier ministre. Rappelons que les élections pour élire une Assemblée Constituante (qui doit décider du sort de la monarchie) doivent se tenir en novembre prochain. L'objectif de Prachanda, le leader des maoïstes semble d'obtenir certes la fin de la monarchie dès maintenant, mais surtout des élections anticipées avec un scrutin à la proportionnelle intégrale pour amplifier une éventuelle victoire électorale. En bousculant le processus de paix, le parti maoïste paraît vouloir répondre, d'une part, à une partie de sa base qui s'impatiente devant le calendrier électoral prévu, ...
Le chef des anciens rebelles maoïstes, Prachanda, a été chargé samedi de former le prochain gouvernement du Népal par le Premier ministre Girija Prasad Koirala. Depuis leur victoire aux élections de l'assemblée constituante du 10 avril dernier, les Maoïstes ont entamé des consultations avec les autres partis pour établir un gouvernement de coalition. Avec 220 sièges sur 601, le CPN-M (Communist Party of Nepal (Maoist) est devenu le premier parti mais ne pourra gouverner seul. "Il est essentiel d'avoir une coalition, car c'est le verdict du peuple, a déclaré l'un des dirigeants des ex-rebelles, C. P. Gajurel, avant d'ajouter "mais quelques dirigeants disent qu'ils ne vont pas rejoindre notre gouvernement. Si cela arrivait, nous pourrions avoir à former nous-mêmes le gouvernement".La nouvelle assemblée constituante se réunira pour la première fois mercredi avec un premier ordre du jour annoncé par les ex-rebelles : l'abolition de la monarchie.
L'assemblée constituante du Népal, issue des élections du 10 avril remportées par les ex-rebelles maoïstes, s'apprêtait mercredi à abolir la seule...
Le vendredi 15 août 2008, Pushpa Kamal Dahal, dit Prachanda, a été élu Premier ministre de la République, à Kathmandou par 464 voix sur 557. Prachanda, a été élu deux mois après l'abolition de la monarchie et le départ du roi, constituant ainsi une nouvelle étape historique du processus de paix. Au Népal, durant le printemps 2006, tous les partis s'étaient alliés aux maoïstes dans des manifestations démocratiques, obligeant le roi Gyanendra à renoncer au pouvoir absolu. Le 21 novembre 2006, les forces politiques avaient scellé un accord de paix historique. Nationalisme, le républicanisme et la transformation socio-économique La victoire de Prachanda, consacre donc une incroyable histoire politique de deux ans au cours de laquelle les Népalais ont mis fin à la guerre civile, porté au pouvoir l'ex-rébellion maoïste et enterré plus de deux siècles de monarchie hindouiste en la remplaçant par une République. "Sous la direction de Prachanda, le grand programme du nouveau gouvernement sera le nationalisme, le républicanisme et la transformation socio-économique" a annoncé Baburam Bhattaraï, le numéro deux maoïste. Toujours présents sur la liste noire des organisations terroristes "Je suis très heureux et très ému", a simplement lancé Prachanda en quittant l'assemblée. L'ancien chef de guerre, un temps recherché pour terrorisme, portait des dizaines de guirlandes de fleurs orange, de châles en soie, et son front était enduit de poudre rouge en signe de bénédictio...
Les anciens guérilleros maoïstes du Népal étaient jeudi aux portes du pouvoir, poussant le roi vers la sortie après leur triomphe à l'élection...
Les anciens guérilleros et six formations politiques sont convenus d'instaurer une république après l'élection, d'ici au 12 avril 2008, d'une assemblée constituante.
Le Népal entre aujourd'hui, peut-être, dans son dernier jour de monarchie. Demain se déroulent les élections tant attendues, qui transformeront vraisemblablement le pays en une république, à moins que les royalistes ne l'emportent ce qui paraît hautement improbable. Un processus de paix périlleuxAprès dix ans d'une guerre civile larvée, le Népal avait connu la paix depuis les manifestations d'avril 2006 qui ont conduit les rebelles maoïstes à déposer les armes, et le Roi proche de l'éviction. Une paix fragile qui a mis deux ans à conduire aux premières élections au Népal depuis 1999, et les premières aussi importantes puisque ce n'est rien moins que l'élection d'une assemblée constituante qui se joue demain. Prévues à l'automne dernier, les élections avaient été repoussées pour cause de désaccord entre maoïstes et les partis démocratiques, les premiers souhaitant un scrutin à la proportionnelle qu'ils ont fini par obtenir. Des élections sous pressionAujourd'hui, le climat pré-électoral est tendu : lundi, six à sept maoïstes ont été tués par la police dans des circonstances peu claires, tandis que plusieurs attentats à la bombe ont secoué la capitale népalaise et ses alentours, faisant une douzaine de blessés la semaine dernière. Espérons toutefois que ces élections marqueront, avec succès, la fin d'un périlleux processus de paix.A lire aussi : Les manifestants tibétains arrêtés par la police népalaiseLes maoïstes obtiennent la future abolition de la monarchie
Les maoïstes népalais accusent New Delhi de vouloir restaurer la monarchie
Un mois et demi après l'abolition de la monarchie, le premier Président de la République du Népal devrait être élu samedi. Cette annonce intervient après de nombreuses discussions, principalement axées sur le partage du pouvoir, entre les trois principaux partis politiques du pays. Pour l'instant, aucun accord n?a été trouvé sur le nom du futur Président.Une seule certitude, le poste de Premier ministre ira aux maoïstes, vainqueur des élections générales. Le poste de Président est donc en balance entre le parti du Congrès de l'ancien Premier ministre Koirala et les communistes. Ces derniers ont proposé le nom de Madhav Kumar Nepal, leur ancien chef battu aux dernières élections. Les maoïstes s'opposent à ces deux possibilités, préférant voir un membre de la société civile occuper ce poste avant tout symbolique. L'élection du Président est une étape fondamentale dans le processus démocratique engagé au Népal depuis deux ans. Il devra notamment faire prêter serment au Premier ministre et permettre ainsi la formation du futur gouvernement.
Un mois et demi après l'abolition de la monarchie, le premier Président de la République du Népal devrait être élu samedi. Cette annonce intervient après de nombreuses discussions, principalement axées sur le partage du pouvoir, entre les trois principaux partis politiques du pays. Pour l'instant, aucun accord n?a été trouvé sur le nom du futur Président.Une seule certitude, le poste de Premier ministre ira aux maoïstes, vainqueur des élections générales. Le poste de Président est donc en balance entre le parti du Congrès de l'ancien Premier ministre Koirala et les communistes. Ces derniers ont proposé le nom de Madhav Kumar Nepal, leur ancien chef battu aux dernières élections. Les maoïstes s'opposent à ces deux possibilités, préférant voir un membre de la société civile occuper ce poste avant tout symbolique. L'élection du Président est une étape fondamentale dans le processus démocratique engagé au Népal depuis deux ans. Il devra notamment faire prêter serment au Premier ministre et permettre ainsi la formation du futur gouvernement.
Les maoïstes ont annoncé vendredi dernier leur démission du gouvernement, les principaux partis népalais étant incapables de se mettre d'accord sur le partage du pouvoir. Le parti maoïste, première force politique du pays depuis les élections du 10 avril, n?arrive pas à trouver un terrain d'entente avec le parti du Congrès de l'actuel Premier ministre Koirala. Les divergences portent notamment sur la nomination du Président de la toute nouvelle République et celle du Premier ministre. Le lendemain, les maoïstes ont demandé la démission de Koirala pour accélérer la formation d'un nouveau gouvernement. Les responsables politiques se renvoient chacun la responsabilité de cette situation : les maoïstes affirment avoir renoncé définitivement à la violence alors que le parti du Congrès les accusent du contraire. Malgré les avancées importantes des dernières semaines, le plus dur reste à faire.
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