Le gouvernement burundais et la rébellion des Forces nationales de libération (FNL) ont signé lundi à Bujumbura une déclaration de cessation immédiate des hostilités dans le pays où les combats avaient repris le 17 avril.
Au moins sept dissidents présumés des rebelles burundais des Forces nationales de libération (FNL) ont été tués dimanche soir dans l'attaque par des combattants FNL de leur camp au sud de Bujumbura, a annoncé lundi à l'AFP le ministre de l'Intérieur du Burundi.
Jean-Bosco Sindayigaya, chef d'une aile dissidente des rebelles des Forces nationales de libération (FNL), dernière rébellion du Burundi, a été arrêté dans la nuit de jeudi à vendredi à Bujumbura, a annoncé dimanche la police burundaise.
Environ 5.000 civils ont fui mardi matin des affrontements qui ont opposé deux factions des rebelles des Forces nationales de libération (FNL) dans un quartier nord de Bujumburat.
Les Forces nationales de libération (FNL), unique mouvement rebelle encore actif au Burundi, exige le remplacement de l'équipe de médiation sud-africaine dirigée par le ministre de la Surêté Charles Nqakula.
Epargnés par les violences depuis un an, les habitants de Gakungwe, dans le sud du Burundi, sont exaspérés après un raid des rebelles des Forces nationales de libération contre un camp de dissidents, et fustigent l'installation de ce camp sur leur colline.
L'Union
africaine (UA), qui entretient une force de maintien de paix
au Burundi, s'est dite dimanche inquiète face
à la recrudescence des affrontements entre l'armée
burundaise et les rebelles des Forces nationales de
libération (FNL), appelant à un maximum de retenue.
Le Conseil de sécurité a exprimé hier sa « grave préoccupation » à l'égard des affrontements récents entre les Forces nationales de libération (Palipehutu-FNL) et les Forces de défense nationales du Burundi, à la suite d'attaques du Palipehutu-FNL, et des pertes en vies humaines qui en ont résulté.
Le cessez-le-feu entre le gouvernement burundais et les rebelles des Forces nationales de libération (FNL) a été rompu dans la nuit de jeudi à vendredi par des tirs sur la capitale Bujumbura.
Les chefs d'Etat africains vont se réunir durant le prochain week-end à Dar es-Salaam en Tanzanie pour se pencher sur le sort de derniers rebelles actifs du Burundi dont les activités ont mis au point mort l'application d'une trêve entre eux et le gouvernement dirigé par les anciens rebelles, selon une dépêche de l'APA datée du 15 octobre 2007.
Les rebelles burundais ont lancé une nouvelle attaque près de Bujumbura dans la nuit de vendredi à samedi, tandis que le bilan des combats depuis l'offensive jeudi des Forces nationales de libération (FNL) s'est alourdi à 26 morts, ont indiqué des sources militaires.
Près de 700 familles - représentant environ 4 000 personnes - de la province de Bubanza, au nord-ouest du Burundi, ont fui leurs maisons à la suite d'attaques perpétrées par des membres présumés du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays, ont affirmé les autorités burundaises.
Près de 700 familles - représentant environ 4 000 personnes - de la province de Bubanza, au nord-ouest du Burundi, ont fui leurs maisons à la suite d'attaques perpétrées par des membres présumés du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays, ont affirmé les autorités burundaises.
Le Burundi cherche à être membre du Commonwealth. Le gouvernement du Burundi n'a pas officiellement demandé son admission mais elle a l'intention de commencer à en débattre bientôt.
Le Burundi cherche à être membre du Commonwealth. Le gouvernement du Burundi n'a pas officiellement demandé son admission mais elle a l'intention de commencer à en débattre bientôt.