Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a appelé vendredi le gouvernement du Soudan à arrêter le président soudanais Omar el-Béchir, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) annoncera demain si elle lance ou non un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, accusé de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de génocide au Darfour par le procureur. La décision de la CPI sera rendue publique à 14h00, lors d'une conférence de presse de la greffière de la Cour Sylvana Arbia et de la porte-parole Laurence Blairon dans les locaux du tribunal à La Haye.
La Haye - Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo va demander ce lundi l'inculpation du président soudanais Omar el-Béchir pour des crimes contre des civils commis ces cinq dernières années au Darfour (ouest du Soudan), selon des sources concordantes. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, s'est dit très préoccupé par cette mesure. M. Moreno-Ocampo a annoncé jeudi qu'il allait présenter lundi de nouvelles « preuves » de crimes commis dans cette région (...)
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Actualité
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swissinfo/Radio Suisse Internationale
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La justice internationale a lancé un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, mercredi. La Cour pénale internationale l'accuse de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour. Selon l'ONU, l'homme serait à l'origine du...
Le président soudanais Omar al-Béchir a appelé les rebelles du Darfour à déposer les armes, lors d'une visite mercredi dans cette région de l'ouest du Soudan ravagée par un conflit sanglant et où il est accusé de crimes de guerre.
L'émission d'un mandat d'arrêt international visant le président soudanais, Omar El Béchir, pourrait avoir «un impact très négatif» sur le processus de paix au Darfour, province de l'ouest du Soudan en conflit armé depuis 2003, a affirmé mardi le commissaire à la paix et à la sécurité de l'Union africaine (UA), Ramtane Lamamra.
La possible délivrance d'un mandat d'arrêt international contre le président soudanais Omar el-Béchir ne réglerait par le problème du Darfour, estime le premier ministre qatari, le cheikh Hamed Ben Khalifa Al Thani. En juillet dernier, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo a accusé le président soudanais d'avoir commis des crimes contre l'humanité lors de la guerre civile du Darfour et a demandé son arrestation. La CPI doit se (...)
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RIA NOVOSTI
Le Soudan affirme qu'il va user de «toutes les options possibles» si la Cour pénale internationale (CPI) lançait un mandat d'arrêt contre le président El Bashir, a rapporté l'agence Pana. Le président soudanais est accusé par la CPI de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, la région de l'Ouest du Soudan en proie à une guerre civile depuis 4 ans.
Le Soudan affirme qu'il va user de «toutes les options possibles» si la Cour pénale internationale (CPI) lançait un mandat d'arrêt contre le président El Bashir, a rapporté l'agence Pana. Le président soudanais est accusé par la CPI de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, la région de l'Ouest du Soudan en proie à une guerre civile depuis 4 ans.
Le président soudanais Omar el-Béchir est accusé de génocide au Darfour: le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a réclamé lundi aux juges de la CPI d'émettre un mandat d'arrêt contre lui.© TSR, 2008
Le Soudan a rejeté lundi la demande d'inculpation du procureur de la Cour pénale internationale contre le président Omar el-Béchir pour génocide et a menacé d'une réaction si l'affaire était portée devant les Nations unies.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, pour crimes de guerre...
Le président soudanais Omar al-Béchir a annoncé mercredi un cessez-le-feu immédiat au Darfour et appelé au désarmement des milices dans cette région de l'ouest du pays ravagée par la guerre civile depuis 2003.