Les
négociations en vue de la libération des deux
otages autrichiens en Afrique du Nord devraient se
poursuivre après l'expiration de l'ultimatum fixé
à dimanche minuit par leurs ravisseurs, selon les
autorités autrichiennes.
Les
négociateurs cherchent un contact
sécurisé avec les ravisseurs des deux otages
autrichiens enlevés le 22 février en Tunisie par
la branche d'Al-Qaïda au Maghreb pour faire
avancer les choses, a-t-on appris mardi de source
proche du dossier.
Les
ravisseurs de deux touristes autrichiens enlevés le 22
février en Tunisie par un groupe d'Al-Qaïda
auraient rejoint le Mali avec leurs otages après avoir
traversé l'Algérie et la Libye, a annoncé
mardi le quotidien algérien Annahar sur son site internet.
La branche d'al-Qaïda au Maghreb, qui a pris en otages deux touristes autrichiens et menace de les exécuter, a prolongé jusqu'au 6 avril son ultimatum.
La
Fondation Kadhafi a nié dimanche tout contact
direct ou indirect avec les ravisseurs des deux
Autrichiens enlevés en février en Tunisie, dans un
communiqué publié à Tripoli.
Le quotidien algérien Annahar a annoncé sur son site internet que les ravisseurs autrichiens se trouvaient samedi à 150 km de Kidal, dans le nord du Mali.
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La branche
d'Al-Qaïda au Maghreb, qui tient en otages deux
Autrichiens, a annoncé avoir prolongé à
dimanche prochain son ultimatum, et menacé de tuer ses
captifs en cas d'une tentative de les libérer par la
force, dans un communiqué mis en ligne lundi.
La libération mardi de dix otages, dont 7 Français, enlevés le 31 octobre à Bakassi (sud-ouest du Cameroun) a été consentie en échange notamment de la libération de 13 prisonniers détenus dans les prisons camerounaises, ont affirmé mercredi les ravisseurs.
Les deux ex-otages autrichiens au Sahara n'ont eu que du pain et de l'eau pour s'alimenter pendant cinq des huit mois de leur détention, ont-ils raconté mercredi lors d'une conférence de presse à Salzbourg et dans un entretien à la télévision publique ORF.
L'Autriche continue de croire aux chances de faire libérer ses deux ressortissants enlevés en février en Tunisie par la branche d'Al-Qaïda au Maghreb, alors que les ravisseurs ont donné jusqu'à dimanche soir minuit à Vienne pour répondre à leurs exigences.
L'information sur la libération des 23 otages de Mbé par des gendarmes de la compagnie de gendarmerie de Ngaoundéré fait des gorges chaudes. Certes les otages goûtent désormais aux délices de la liberté et aucune rançon n'a été versée, mais de sources concordantes, tous se sont enfuis des lieux de captivité.
Les ravisseurs des 11 touristes européens et des huit Egyptiens enlevés il y a une semaine en Egypte ont ramené les otages de Libye au Soudan et semblent se diriger désormais vers la frontière égyptienne, a annoncé hier un haut responsable soudanais. «Les services de sécurité ont découvert samedi que les ravisseurs étaient revenus avec leurs otages en territoire soudanais», a déclaré Ali Youssouf, directeur du protocole au ministère soudanais des Affaires étrangères, selon l'agence officielle soudanaise Suna.