Le tribunal de commerce de Mons a prononcé jeudi la faillite de la Manufacture Royal Boch, à La Louvière, dernier fleuron de la faïencerie belge. Les deux commissaires au sursis ont été désignés curateurs.
Sous les applaudissements et les pleurs de joie de certains travailleurs, le tribunal de commerce de Mons a acté lundi la reprise de la manufacture Royal Boch de La Louvière par l'homme d'affaires Patrick De Maeyer.
Beau concours de circonstances que de s'offrir, à trois jours de son anniversaire, un fleuron de la faïencerie wallonne et belge de renommée internationale. Né le 22 mai 1952, Patrick De Maeyer a signé, le 19 mai, un accord de principe avec les curateurs de Royal Boch (La Louvière).
La célèbre faïencerie Royal Boch (La Louvière) déposera le bilan ce jeudi matin devant le tribunal de commerce de Mons, a indiqué mercredi son directeur général, Marc Pairon, aux syndicats à l'issue du conseil d'entreprise. La manufacture est confrontée depuis des mois à des problèmes de trésorerie et ses créanciers ont depuis longtemps perdu patience.
Un accord de reprise a été conclu mardi entre les curateurs de la Manufacture Royal Boch, la Région wallonne et le candidat-repreneur Patrick De Maeyer, a-t-on appris de source syndicale. Action à La Louvière avant celle prévue à Mons
Le tribunal de commerce de Mons a approuvé jeudi, devant une septantaine de travailleurs et de militants syndicaux, la nouvelle proposition de reprise négociée la veille entre la curatelle de la manufacture Royal Boch et le candidat repreneur Patrick De Maeyer.Le parquet de Mons demandera une enquête sur la gestion de Royal Boch
La faïencerie Royal Boch de La Louvière va déposer le bilan. Une petite cinquantaine de travailleurs sont employés par ce qui est le dernier fabricant belge de porcelaine. Le président a déclaré que "des possibilités existent".Les syndicats appellent à une mobilisation pour jeudi
Seul candidat en lice pour la reprise de la faïencerie Royal Boch (La Louvière), le Bruxellois Patrick De Maeyer a présenté, vendredi, son plan d'affaires à Jean-Sébastien Belle, le chef de cabinet du ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt (PS), ainsi qu'aux deux curateurs, les avocats Christine Delbart et Etienne Descamps.
Une manufacture belge de renom devra-t-elle bientôt mettre la clé sous le paillasson à cause de la crise? La faïencerie Royal Boch a besoin d'argent frais en urgence pour poursuivre son projet de relance.
Après des mois de négociations, le tribunal de commerce de Mons a homologué lundi la reprise de la faïencerie louviéroise Royal Boch par l'homme d'affaires bruxellois Patrick de Maeyer. Ce dernier, en partenariat avec la Région wallonne, deviendra sous peu propriétaire de la marque Royal Boch, des bâtiments et du stock de la Manufacture, faillie le 26 février dernier et occupée depuis plus de quatre mois par une quarantaine de ses derniers travailleurs. Le plan de reprise prévoit de…Article original publié sur RTL info.be | Si vous lisez cet article dans son intégralité sur un autre site que RTLinfo.be c'est qu'il a été reproduit illégalement et sans autorisation. Merci de le signaler à la rédaction en cliquant ici | © RTL Digital - 2008
La Région wallonne et la Ville de La Louvière ont accepté lundi, à Namur, de signer l'accord-cadre qu'exigeaient les syndicats à propos de l'éventuelle reprise de la Manufacture Royal Boch, ont indiqué lundi les syndicats et le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt.
L'accord bénéficie de l'aval du commissaire au sursis et des juges commissaires. Il sera présenté le 3 juin au tribunal de commerce de Mons, qui avait déclaré la faillite de la faïencerie le 26 février. Pour rappel, le projet de l'homme d'affaires bruxellois Patrick De Maeyer prévoit de réembaucher 39 des 44 travailleurs de la manufacture. Les travailleurs repris abandonneront leurs créances (préavis, indemnités de rupture), estimées à quelque 700.000 euros.Article original publié sur RTL info.be | Si vous lisez cet article dans son intégralité sur un autre site que RTLinfo.be c'est qu'il a été reproduit illégalement et sans autorisation. Merci de le signaler à la rédaction en cliquant ici | © RTL Digital - 2008
Une semaine après le prononcé de sa faillite, la Manufacture Royal Boch de La Louvière, dont les ventes ont connu récemment une forte hausse, a déjà attiré l'attention de quatre ou cinq repreneurs potentiels, indique le SETCa.Il s'agit maintenant de faire le tri entre les candidats sérieux et les farfelus. Nous allons les rencontrer un par un et nous ferons le point en début de semaine prochaine avec les curateurs, explique Manuel Morais, du SETCa Centre. Parmi ces candidats potentiels, outre le Bruxellois Patrick De Maeyer qui avait déjà marqué son intérêt fin février, le syndicaliste cite les noms de la papeterie malmédienne Intermills et de l'investisseur immobilier Euro Invest.Par ailleurs, alors que la faillite de l'entreprise dope depuis plusieurs jours les ventes de services en porcelaine Royal Boch, les curateurs ont décidé mercredi d'engager neuf personnes pour assurer les livraisons et la vente: trois pour le dépôt de Kontich (province d'Anvers) et six partagés entre le magasin bruxellois du Sablon et celui de La Louvière.La cinquantaine de travailleurs de la faïencerie (47 ou 49 selon les sources) poursuit quant à elle l'occupation de l'entreprise entamée le mercredi 18 février. Il n'est pas encore question de reprendre la production, précise Manuel Morais.Article original publié sur RTL info.be | Si vous lisez cet article dans son intégralité sur un autre site que RTLinfo.be c'est qu'il a été reproduit illégalement et sans autorisation. Merci de le signaler à la r...
Wilhelm & Co est le seul à avoir été jusqu'au bout du processus lancé il y a plusieurs années par la commune de La Louvière. Les premiers pas datent de 1998 lors du Mapic (Marché international de la distribution et de l'implantation commerciale dont la 14e édition se tient à Cannes jusqu'à vendredi). A l'origine? L'ancien site des faïenceries Boch (une quinzaine d'hectares) devenu chancre en plein cœur de la ville.
Vendredi matin, le tribunal de commerce de Tournai a prononcé la faillite de la filature De Poortere Frères à Mouscron. Quelque 220 personnes perdent leur emploi. En novembre 2006, la filature avait été reprise par Ecolys. A la suite d'un endettement excessif, la direction de l'entreprise a déposé son bilan jeudi.Le tribunal a désigné 2 curateurs