Au cœur de l'actualité, le mandat d'arrêt de la Cour Pénale Internationale à l'encontre d'Omar El-Bechir, le président soudanais. Il est accusé de crime de guerre et crime contre l'humanité durant la guerre civile au Darfour.
Mais cette action a t-elle un sens ?
Va t-elle améliorer ou aggraver la situation déjà alarmante des
Darfouris ?
La justice internationale a lancé un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, mercredi. La Cour pénale internationale l'accuse de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour. Selon l'ONU, l'homme serait à l'origine du...
La Cour pénale internationale (CPI) annoncera demain si elle lance ou non un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, accusé de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de génocide au Darfour par le procureur. La décision de la CPI sera rendue publique à 14h00, lors d'une conférence de presse de la greffière de la Cour Sylvana Arbia et de la porte-parole Laurence Blairon dans les locaux du tribunal à La Haye.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
Le Soudan affirme qu'il va user de «toutes les options possibles» si la Cour pénale internationale (CPI) lançait un mandat d'arrêt contre le président El Bashir, a rapporté l'agence Pana. Le président soudanais est accusé par la CPI de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, la région de l'Ouest du Soudan en proie à une guerre civile depuis 4 ans.
Le Soudan affirme qu'il va user de «toutes les options possibles» si la Cour pénale internationale (CPI) lançait un mandat d'arrêt contre le président El Bashir, a rapporté l'agence Pana. Le président soudanais est accusé par la CPI de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, la région de l'Ouest du Soudan en proie à une guerre civile depuis 4 ans.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, pour crimes de guerre...
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a appelé vendredi le gouvernement du Soudan à arrêter le président soudanais Omar el-Béchir, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, pour...
La Cour Pénale Internationale a lancé le mandat d’arrêt pour crimes de guerre et crime contre l’humanité contre Omar el-Bachir le 4 mars 2009. Le tribunal de La Haye l’a jugé responsable des exactions perpétrées par les milices gouvernementales dans la région du Darfour, plongée dans la guerre civile. Depuis la publication de cet arrêt, Omar el-Bachir veut prouver que la CPI n’a aucun pouvoir et qu’il est toujours libre d’exercer son plein pouvoir de chef d’état.
Le président soudanais, Omar Al-Bashir, le premier chef d'Etat en exercice à être accusé par la Cour pénale internationale (CPI) basée à La Haye, est maintenant confronté à un mandat d'arrêt émis le 4 mars par la Chambre préliminaire de la CPI sur les accusations de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre au Darfour.
Les organes judiciaires et le gouvernement du Soudan doivent assurer l'application de la décision de la Cour pénale internationale (CPI) concernant le président Omar el-Béchir, a déclaré jeudi le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon. Le 4 mars dernier, la Cour pénale internationale a délivré un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour, province séparatiste dans l'ouest du (...)
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RIA NOVOSTI
REACTIONS - Alors que la Cour pénale internationale demande l'arrestation du président soudanais, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, Pékin exige que le Conseil de sécurité de l'ONU suspende cette procédure. » Un mandat d'arrêt contre le président soudanais » INTERVIEW - «Le moment de vérité de la CPI commence maintenant»
REACTIONS - Alors que la Cour pénale internationale demande l'arrestation du président soudanais, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, Pékin exige que le Conseil de sécurité de l'ONU suspende cette procédure. » Un mandat d'arrêt contre le président soudanais » INTERVIEW - «Le moment de vérité de la CPI commence maintenant»