Le temps ou l’argent Lorsqu’on pense individuellement, le recul imposé de l’âge de la retraite raisonne comme une sorte de punition : tu gagneras ton pain à la sueur de ton front, même si tu n’en as plus la force, et attends ! Tu devras encore suer quelques années de plus… (...)
Après ‘’Mangecratie’’, ‘’Cours d’histoire’’, ‘’le Caméléon’’, ‘’Françafrique’’, ‘’Coup de gueule’’… l’enfant prodige du reggae africain, Tiken Jah Fakoly, de son...
En comparaison, celle d’un salarié du privé n’atteint que péniblement 60% du dernier revenu d'activité, grâce à la complémentaire. Une retraite qui dépend d’autant des aléas de carrière qu’elle est calculée sur les 25 meilleures années. En fait, la seule possibilité pour le salarié du privé (...)
Je ne vais pas faire un historique de l’évolution du monde du travail pas plus que celui des droits à la retraite. J’en suis incapable et surtout, la place du travail et les conditions de vie en situation de retraite pour les années 2030 – 2050 voire 2100 m’intéressent (...)
Nos rues ont vu défiler ces dernières semaines des cohortes de manifestants s’opposant au prolongement du nombre d’années de cotisation - passant de 40 à 41 annuités - pour toucher sa retraite à taux plein. Et pourtant, quand on interroge les français, la moitié d’entr’eux sont (...)
Les dessous d’une crise - Aujourd’hui au Mali, tout le monde se plaint qu’il n’y a pas d’argent. Pour les uns, le phénomène est mondial, pour d’autres les responsables de cette situation ne sont d’autres que le pouvoir politique. Pour d’autres encore, il y a de l’argent au Mali, mais seulement l’argent est utilisé à d’autres fins. En effet avant l’existence de la monnaie de pièce, toutes les activités économiques, commerciales s’effectuaient à travers les échanges avec les produits.
Metallica, c’est avant tout une rencontre musicale, la plus belle de ma vie. C’est à l’âge de 15 ans qu’un « pote » m’a judicieusement prêté une cassette de l’album … And Justice for All, le quatrième des surdoués californiens. A la fin de son écoute – ou (...)
« Ce n’est pas tant l’objet qui m’intéresse que l’atmosphère qu’il dégage ou les sensations qu’il procure. Je m’interroge sur cette étrange mécanique que prend le réel, le dissèque, en restitue une représentation personnelle et originale. […] L’acte de la main qui peint transmet l’énergie de l’aile en mouvement, la transparence des pétales, la lumière d’une écaille nacrée. […] Seule la tension du fil pourrait révéler ces forces. La marge imposée par la technique devient alors trop étroite pour cette expression et il faut avoir recours à un autre procédé : transposer les dessins, en prenant aiguillées et toil à la place du crayon et du papier. »»
Extrait de l’introduction de l’ouvrage
Je ne sais pas ce que les jardins du casino boursier nous réservent comme pourritures dissimulées, mais l’indignation ne me quitte pas. Quand on a que l’amour de la culbute financière, rien n’a prise que l’obsession de se refaire… L’âge idiot de l’humanité est (...)
Une évidence s’impose lorsque l’on regarde la disposition des députés sur les bancs de l’assemblée on ne peut que constater une anomalie flagrante avec le positionnement des Socialos. Alors que l’on devrait les trouver au centre droit, ils ont l’impudence d’occuper (...)
Bon, en cette rentrée, j’avais décidé de faire un effort. C’est qu’à force de me l’entendre dire il m’a fallu l’admettre : j’étais bien trop borné, beaucoup trop franco-franchouille pour passer inaperçu parmi les branchouilleux branchouilles, ces heureux habitants (...)
Tout d’abord, le manque d’adaptation aux institutions de la Ve République Le PS ne s’en cache pas, c’est d’abord un parti parlementaire. Le problème c’est que sa conception date et qu’il n’a jamais vraiment intégré dans son fonctionnement et ses (...)
« Pour l’usager, le routinier qui l’emprunte 5 jours sur 7, regarder le métro peut paraître incongru, ennuyeux, il faut dire qu’il s’est installé dans le célèbre : « métro-boulot-dodo », mais ce voyageur est bien pardonnable si l’on pense qu’il utilise pratiquement toujours la même ligne, aux mêmes horaires et probablement bien souvent accompagné des mêmes compagnons de route… on sombrerait presque dans la déprime…
Il existe cependant un curieux phénomène lorsque l’on évoque avec ces voyageurs la rame « sprague », vous savez, cette pas si lointaine ancêtre… On se rend compte que l’on éveille en eux une « métropolitaine nostalgie », une bouffée de souvenirs et d’émotions… »
Extrait du livre
Rester terré dès que la menace pèse. Pour nous, simples civils, ça ne va pas au-delà de cela. Soixante ans de tressaillements morbides… une vie d’homme, d’un côté comme de l’autre. Pourquoi devrait-on, en plus, s’obstruer l’esprit par la haine de l’autre, celui (...)
Mystère de l’être Qui naît Le droit de naître Qui n’est De n’être qu’en suspens… Dans un scénario cosmogonique foireux Moisson d’étoiles, le soleil comme banlieue. Tribulation de météores laissés pour compte Dans les préambules d’un temps que l’on remonte (...)
