La Cour Pénale Internationale a lancé le mandat d’arrêt pour crimes de guerre et crime contre l’humanité contre Omar el-Bachir le 4 mars 2009. Le tribunal de La Haye l’a jugé responsable des exactions perpétrées par les milices gouvernementales dans la région du Darfour, plongée dans la guerre civile. Depuis la publication de cet arrêt, Omar el-Bachir veut prouver que la CPI n’a aucun pouvoir et qu’il est toujours libre d’exercer son plein pouvoir de chef d’état.
L'arrestation de Radovan Karadzic va permettre sa comparution devant le Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie. Parallèlement, le procureur de la Cour Pénale Internationale réclame un mandat d'arrêt contre Omar el-Bachir, président du Soudan, pour génocide, crimes de guerre et crimes...
La Cour pénale internationale (CPI) annoncera demain si elle lance ou non un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, accusé de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de génocide au Darfour par le procureur. La décision de la CPI sera rendue publique à 14h00, lors d'une conférence de presse de la greffière de la Cour Sylvana Arbia et de la porte-parole Laurence Blairon dans les locaux du tribunal à La Haye.
Même si la Cour pénale internationale (CPI) décidait de lancer un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar al-Bachir mercredi, les casques bleus resteraient au Darfour, a déclaré lundi le responsable du maintien de la paix, Alain Le Roy.
Le président soudanais, Omar Al-Bashir, le premier chef d'Etat en exercice à être accusé par la Cour pénale internationale (CPI) basée à La Haye, est maintenant confronté à un mandat d'arrêt émis le 4 mars par la Chambre préliminaire de la CPI sur les accusations de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre au Darfour.
La justice internationale a lancé un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, mercredi. La Cour pénale internationale l'accuse de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour. Selon l'ONU, l'homme serait à l'origine du...
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, pour crimes de guerre...
REACTIONS - Alors que la Cour pénale internationale demande l'arrestation du président soudanais, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, Pékin exige que le Conseil de sécurité de l'ONU suspende cette procédure. » Un mandat d'arrêt contre le président soudanais » INTERVIEW - «Le moment de vérité de la CPI commence maintenant»
REACTIONS - Alors que la Cour pénale internationale demande l'arrestation du président soudanais, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour, Pékin exige que le Conseil de sécurité de l'ONU suspende cette procédure. » Un mandat d'arrêt contre le président soudanais » INTERVIEW - «Le moment de vérité de la CPI commence maintenant»
De quelque bord que l'on puisse être, le mandat d'arrêt prononcé par la Cour pénale internationale à l'encontre d'Omar El Béchir pour « crimes de guerre » et « crimes contre l'Humanité » au Darfour doit, avant tout, être accepté comme une réponse normale à un vaste ressentiment contre l'impunité de tous ceux qui abusent de leur puissance pour écraser les plus faibles, dans l'irrespect de leurs droits humains les plus élémentaires.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d'arrêt contre un chef d'Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, pour...
L'ONU a continué d'évacuer hier des membres de son personnel dit «non essentiel» au Darfour, dans l'ouest du Soudan, où les forces de paix étaient en état d'alerte après les accusations de crimes de guerre contre le président Omar El Bachir par le Tribunal pénal international (CPI). L'évacuation reportée mardi dernier pour des raisons techniques d'une cinquantaine de personnes d'El Fasher (Nord-Darfour), a été effectuée hier, selon une porte-parole de la mission conjointe ONU-UA au Darfour (Minuad).
Maintenant que la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d'arrêt à l'encontre du Président du Soudan, Omar el-Béchir, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour, les affirmations selon lesquelles la cour prend injustement pour cible les dirigeants africains atteignent un paroxysme. Mais les critiques ignorent les faits et rendent un mauvais service aux victimes de crimes haineux.