mais la valse des milliards.
Ce G 20 dont on attendait beaucoup sans trop savoir quoi, il faut dire que ces sommets nous passent par dessus la tête ne connaissant pas exactement la situation financière mondiale en dehors de celle que la presse et les médias nous délivrent, qui eu égard à leur obédience sont plutôt à droite. Mais de grands bruits ont été faits sur les propos de Sarkozy qui menaçait de claquer la porte, une manière comme une autre de se faire valoir, un enfant qui se fâche, comme si nous allions croire un seul instant ce capricieux. Alors dans ce cadre on peut nous raconter ce que l’on veut, comment se rendre compte si ce qu’il en est sorti est bon pour nous ? Ce que l’on sait c’est que les dirigeants des pays développés et émergents, j’aime bien ces termes qui à eux seuls contiennent la misère du monde, les autres pays n’ont rien à dire, ils pensent pour eux, ont mis sur la table une somme représentant 1.100 milliards de dollars, mais ou vont-ils chercher cette somme après avoir vidé caisses, le plan de sauvetage de Washington a déjà coûté 3.000 milliards de dollars ?
Nicolas Sarkozy a clamé haut et fort,
«il faut qu’on obtienne des résultats. La crise est trop grave pour qu’on se permette de faire un sommet pour rien»,
et Christine Lagarde de surenchérir, il ira jusqu’à quitter le sommet si des résultats ne sont pas au rendez-vous notamment sur les paradis fiscaux, ne riez pas c’est vrai.
Alors, ...