Le Gros Robert n'est point si épais. Ils s'y mirent à deux, mais par un prompt renfort, ils se virent à quatre en arrivant sur presse. C'est un ana (merci de marquer les liaisons). Un projet d'édition un peu foldingue qui aboutit à un livre mi-graphique, mi-raisin – ou un format pas loin du raisin in 4º, normal, ils se sont mis en quatre.
Bref, comme le sous-titre l’indique, cent carrés, en pages (dés) fausses, que Michel Massi suggère de découper et assembler pour faire apparaître la disparition du chat du Cheshire – du pays de Guevara, donc. Et puis cent mots définis plaisamment en belles pages (de g., donc, mises au point « g », en quelque sorte), suivis d’autres « en vrac », comme les couvertures auxquelles nous échappâmes dans un hebdomadaire satyrique ayant précédé Siné Hebdo.