Le boom et la banalisation du commerce en ligne vont-ils amener les géants de la grande distribution à revenir en force sur le Web, après des premières tentatives peu convaincantes? C'est le pronostic d'Henri de Maublanc, le président de l'Acsel, qui cite notamment Carrefour.
Salon spécialisé consacré au commerce par voie électronique ('e-commerce'). En 2006, le commerce électronique par le biais des sites belges a dépassé les 2,8 millions de transactions pour un chiffre...(Du 14/11/2007 au 15/11/2007 - Bruxelles)
Salon spécialisé consacré au commerce par voie électronique ('e-commerce'). En 2006, le commerce électronique par le biais des sites belges a dépassé les 2,8 millions de transactions pour un chiffre...(Du 14/11/2007 au 15/11/2007 - Bruxelles)
La guerre entre les grandes surfaces continue de faire rage sur le terrain de la publicité. Après Leclerc, Carrefour passe à l'offensive en remboursant la TVA sur certains produits.
Le commerce électronique n'est pas touché par la baisse de la consommation annoncée : sur le premier trimestre 2008, le montant des ventes en ligne atteint 4,9 milliards d'euros en France, selon les estimations de la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance). Soit une progression de 30 % par rapport à la même période en 2007.
« Le maintien de la croissance s'explique par l'arrivée de nouveaux clients : plus 3,1 millions d'acheteurs sur un an », poursuit l'organisme.
Le commerce électronique n'est pas touché par la baisse de la consommation annoncée : sur le premier trimestre 2008, le montant des ventes en ligne atteint 4,9 milliards d'euros en France, selon les estimations de la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance). Soit une progression de 30 % par rapport à la même période en 2007.
« Le maintien de la croissance s'explique par l'arrivée de nouveaux clients : plus 3,1 millions d'acheteurs sur un an », poursuit l'organisme.
Le commerce électronique n'est pas touché par la baisse de la consommation annoncée : sur le premier trimestre 2008, le montant des ventes en ligne atteint 4,9 milliards d'euros en France, selon les estimations de la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance). Soit une progression de 30 % par rapport à la même période en 2007.
« Le maintien de la croissance s'explique par l'arrivée de nouveaux clients : plus 3,1 millions d'acheteurs sur un an », poursuit l'organisme.
Le commerce électronique dans l'Union Européenne
Après une expérience douloureuse début 2000, Carrefour retrouve de grandes ambitions dans le e-commerce avec le lancement lundi 19 juin de Boostore, site de vente de produits non-alimentaires.
«Nous avons d’ores et déjà balisé le terrain au niveau de la législation touchant l’activité du commerce électronique à tous les niveaux. Le cadre réglementaire propice pour le développement du e-commerce a été mis au point, reste que nous n’avons pas à ce …
Carrefour Belgium joue sur tous les tableaux. Après avoir attaqué sur le front des prix, voilà que le leader de la distribution belge lance une grande offensive sur le goût. Du 17 au 21 mai, Carrefour Belgium organise pour la première fois la «Semaine du Goût» dans ses 56 hypermarchés belges.
Le commerce électronique va poursuivre son développement en Europe au cours des prochaines années, principalement en Grande-Bretagne, en Allemagne et en France, les marchés européens pionniers en la matière.
A UNE ENCABLURE
de Cultura, le poids lourd de la grande
distribution dans le Compiégnois - le magasin Carrefour - n'est guère inquiet. L'offensive tous
azimuts de Cultura en matière de rentrée des classes ne se situe pas vraiment sur son créneau.
« Chez...
Publié le 15.06.07
Après une phase d'expansion suivie d'un krach, le commerce électronique a de nouveau la cote auprès des consommateurs français. Se repose donc la question de l'impact de ce commerce sur l'efficacité économique des marchés et par conséquent, des gains que ce dernier est susceptible d'apporter aux consommateurs.
Après une phase d'expansion suivie d'un krach, le commerce électronique a de nouveau la cote auprès des consommateurs français. Se repose donc la question de l'impact de ce commerce sur l'efficacité économique des marchés et par conséquent, des gains que ce dernier est susceptible d'apporter aux consommateurs.