Avec les multiples OPA et fusions, le monde des affaires est en ébullition. Nous avons interrogé Maurice Lippens, président du conseil d'administration de Fortis. Il dit aussi ne pas être à la recherche «à tout prix» d'un actionnaire de référence. Qu'il qualifie de «mur de sable» en cas de raid.
Après son départ forcé de la présidence du conseil d'administration de Fortis, Maurice Lippens a présenté aujourd'hui sa démission pour raisons personnelles au Conseil d'administration de Belgacom. Maurice Lippens aurait été victime d'un malaise
L'ancien président de Fortis Maurice Lippens reconnaît que des erreurs ont été commises dans la débâcle de Fortis. Mais aucune de ces erreurs n'était une faute, souligne-t-il. Leterme répond à Lippens Blessé, épuisé, harcelé...
Le milliardaire russe Suleiman Kerimov, qui a perdu 700 millions d'euros avec la chute du titre Fortis, estime qu'on lui a menti et dit avoir été trompé par Maurice Lippens.Réagissez sur notre forumNotre dossier sur la crise boursière
Maurice Lippens avait un ton grave quand il a pris la parole lors la première séance d'information organisée hier en fin d'après-midi à Amsterdam par le groupe belgo-néerlandais."Je m'attendais à plus de méfiance"Réagissez sur notre forum
Yves Leterme, alors Premier ministre, et Didier Reynders, ministre des Finances, ont exigé le départ de Maurice Lippens de la présidence de Fortis en septembre dernier. Le scénario d'une scission de Dexia à l'étudeFortis Insurance contaminé par la criseVers notre dossier spécialRéagissez sur notre forum
Vendredi soir, au début du tsunami boursier qu'a vécu la Belgique, beaucoup se sont demandé pourquoi Maurice Lippens avait été fait appel à Philippe Bodson. Selon nos confrères de la DH, il aurait été victime d'un malaise.
Jeudi dernier, Fortis rendait public son rapport annuel. A la page 109, un tableau indique les actions Fortis détenues par les administrateurs. Comme nous l'écrivions (LLB du 10 avril), ce rapport n'indique aucune action pour Maurice Lippens contre 920 000 un an auparant.
Les gouvernements et les industriels de plusieurs pays européens dénoncent des subventions anticoncurrentielles. Bruxelles s'interroge. Le débat sur le protectionnisme est relancé.
Il faut adopter une position claire contre le protectionnisme. A son tour, le Comité des Régions de l'UE (CdR) prend position. ...
Les pays du G8 se sont engagés à « résister au protectionnisme » et à « encourager l'ouverture des marchés », selon une déclaration commune. (ARGENT)
Depuis quelques temps déjà, la Belgique a ses deux codes en matière de corporate governance : le code Lippens pour les sociétés cotées et le code Buysse pour les sociétés non cotées. Reste maintenant à les appliquer. Et c'est là que l'Institut des administrateurs (IdA), issu de l'école de management Vlerick School, veut jouer un rôle.
Lancé par le démographe Emmanuel Todd en décembre, le débat sur le protectionnisme trouve un écho dans le programme de nombreux candidats à la présidentielle. Le thème est en revanche beaucoup plus controversé chez les économistes et les intellectuels.
Lundi matin, sur les ondes radio de la RTBF, Maurice Lippens, ému et un peu nerveux, a tenu des propos très proches de ceux parus dans L'Echo et le Tijd du week-end. Il a réaffirmé qu'il avait commis des erreurs, mais pas de faute et martelé qu'il n'avait pas menti. Des actions en justice tous azimutsTrois dossiers pénaux
Frédéric Antonetti, l'entraîneur de Rennes, a fustigé M.Falcone, l'arbitre de la rencontre Sochaux-Rennes (19eme journée de Ligue 1).