Les équipementiers de communication sous pression
Le segment des crédits 'mortgage' est sous pression ce soir à Wall Street, alors que Morgan Stanley a abaissé sa recommandation sectorielle, se disant...
Le titre sous pression à Wall Street
NEW YORK (Reuters) - Wall Street a terminé en net repli vendredi, la peur d'un effondrement pur et simple du marché du crédit immobilier, conjuguée aux nouveaux records des cours du pétrole,...
NEW YORK (Reuters) - Wall Street a terminé en net repli vendredi, la peur d'un effondrement pur et simple du marché du crédit immobilier, conjuguée aux nouveaux records des cours du pétrole,...
Fannie Mae et Freddie Mac fléchissent encore lourdement à Wall
Street ce lundi...
Le baril de brut pour septembre corrige encore vers les 113$ ce soir sur le Nymex américain, dans sa tendance des dernières semaines...
00h00. Les marchés boursiers sont restés ce jeudi extrêmement volatiles, tétanisés par l'accumulation d'indicateurs économiques désastreux. Wall Street a cependant réalisé une remontée spectaculaire en fin de séance, aidée par la chute du pétrole et l'assouplissement du crédit.Wall Street remonte de façon spectaculaireVent de panique sur les bourses mondialesLes cours de la bourseVers notre dossier spécialRéagissez sur notre forum
Initialement dopé par un rapport mensuel de l'emploi rassurant d'ADP pour juillet, Wall Street se montre plus hésitant désormais alors que les cours...
Le titre lourdement sanctionné
Le recul de Wall Street jeudi, et en particulier celui des financières, a plombé les marchés asiatiques vendredi.
À Tokyo, la Bourse a fini en baisse de 1,97%, entraînée par Mizuho Financial Group et les autres banques nippones qui ont connu une séance difficile. (ARGENT)
Le prix du baril de pétrole négocié sur ...
Wall Street touche un plus bas de 4 semaines ce soir. Le Dow plonge de 140 points. Wal Mart inquiéte (-3,1%), le pétrole et la consommation inquiétent. Le prix exorbitant de l'essence commence à faire sentir ses effets réels. Le...
La crise du subprime et son lot de dépréciations d'actifs forcées amputeront de 5 à 7 milliards de dollars les profits de Citigroup. Ce qui a coûté son poste au PDG du n°1 bancaire mondial. Wall Street parie déjà sur les futures victimes de ces remaniements au sommet sous la pression de résultats calamiteux.