Le Soudan est resté sourd samedi aux pressions de la communauté internationale qui réclame la comparution devant la Cour pénale internationale (CPI) d'un haut responsable et d'un chef milicien pour crimes de guerre au Darfour, région de l'ouest du pays en guerre civile.
L'ONU et les États parties de la Cour pénale internationale doivent faire pression pour que soient arrêtés deux suspects de crimes de guerre, dont un membre du gouvernement soudanais, exhorte le..
La justice internationale a lancé un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, mercredi. La Cour pénale internationale l'accuse de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour. Selon l'ONU, l'homme serait à l'origine du...
La Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a adressé une citation à comparaître à Bahr Idriss Abu Garda, qui est soupçonné d'avoir commis des crimes de guerre au Darfour (Soudan). Abu Garda devra comparaître devant la Cour pénale internationale à La Haye le lundi 18 mai 2009 à 15 h 00. La décision de la Chambre, rendue sous scellés le 7 mai 2009, a été rendue publique aujourd'hui.
La Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a adressé une citation à comparaître à Bahr Idriss Abu Garda, qui est soupçonné d'avoir commis des crimes de guerre au Darfour (Soudan). Abu Garda devra comparaître devant la Cour pénale internationale à La Haye le lundi 18 mai 2009 à 15 h 00. La décision de la Chambre, rendue sous scellés le 7 mai 2009, a été rendue publique aujourd'hui.
De quelque bord que l'on puisse être, le mandat d'arrêt prononcé par la Cour pénale internationale à l'encontre d'Omar El Béchir pour « crimes de guerre » et « crimes contre l'Humanité » au Darfour doit, avant tout, être accepté comme une réponse normale à un vaste ressentiment contre l'impunité de tous ceux qui abusent de leur puissance pour écraser les plus faibles, dans l'irrespect de leurs droits humains les plus élémentaires.
“Justice pour le Darfour” est une campagne soutenue par des organisations de défense des droits humains du monde entier, appelant la communauté internationale à assurer la prompte arrestation et la remise à la Cour pénale internationale (CPI) des personnes accusées de crimes de guerre et...
Dans son sixième rapport sur les crimes commis au Darfour présenté aux Nations unies, mercredi 5 décembre, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, demande au Conseil de sécurité d'en prendre acte.
Maintenant que la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d'arrêt à l'encontre du Président du Soudan, Omar el-Béchir, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour, les affirmations selon lesquelles la cour prend injustement pour cible les dirigeants africains atteignent un paroxysme. Mais les critiques ignorent les faits et rendent un mauvais service aux victimes de crimes haineux.
Le chef milicien congolais Germain Katanga, accusé de crimes de guerre et contre l'humanité en 2003 en Ituri (nord-est de la Républiqe démocratique du Congo), doit comparaître lundi pour la première fois devant la Cour pénale internationale lors d'une audience de procédure.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
Invité à la table ronde sur «la violence faite aux femmes en RDC» organisée à l'Université Libre de Bruxelles (Ulb) en marge du 60ème anniversaire de la Déclaration universelle de droits de l'homme, Me Alexis Deswaef, avocat au barrot et membre de la ligue belge des droits de l'homme, fustige avec énergie l'impunité comme une des causes principales des crimes commis actuellement à l'Est de la RDC, mais aussi l'absence d'une cour pénale internationale spécifique pour juger ces genres de crimes.
Les dirigeants présents au sommet de l'union africaine qui se tient à syrte, en Li bye, se sont entretenus hier d'une nouvelle disposition qui irait à l'encontre de la cour pénale internationale et offrirait en pratique l'impunité au président soudanais, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Darfour par la CPI, selon un projet de texte qui a été diffusé.
Un commandant rebelle suspecté d'avoir commis des crimes de guerre au Darfour (Soudan), Abu Garda, est arrivé aux Pays-Bas dimanche par un vol commercial pour comparaître volontairement devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye.