La prison d'Abou Ghraib, symbole honni de l'occupation américaine, a été remise aux autorités irakiennes, alors que des attaques sanglantes font douter de leur capacité à assurer la sécurité dans le pays où les conditions sont réunies pour une guerre civile, selon le Pentagone.
Débordé par l'afflux de détenus, le gouvernement irakien a annoncé, samedi 24 janvier, qu'il rouvrirait à la mi-février la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib.
v align=center>Abou Ghraib : selon le général chargé de l'enquête, le Pentagone et Rumsfeld savaient
LEMONDE.FR | 19.06.07 | 18h07 • Mis à jour le 19.06.07 | 18h07
Cet article, publié dans le San Francisco Chronicle, a été sélectionné et traduit par Courrier International.
De hauts responsables du Pentagone, dont l'ancien ministre de la défense Donald Rumsfeld en personne, ont été directement impliqués, du moins en tant que donneurs d'ordres, dans les méthodes abusives d'interrogatoire pratiquées à la prison d'Abou Ghraib en Irak. C'est ce qu'affirme, dans un article publié le 18 juin par le magazine The New Yorker, le général deux étoiles Antonio Taguba qui a mené la première enquête sur le traitement réservé aux prisonniers irakiens dans cette prison et qui aurait été contraint, de ce fait, à prendre une retraite anticipée.
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Standard Operating Procedures, consacré au scandale des sévices commis par l'armée américaine à la prison irakienne d'Abou Ghraïb, donne la parole aux soldats impliqués, les seuls à avoir été jugés pour des crimes encouragés, selon eux, par leur hiérarchie.
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Errol Morris, auteur du documentaire oscarisé The Fog of War, se penchera cette fois sur les mystères planants autour de la prison d'Abu Ghraib en Irak.
Pour le premier documentaire de l'histoire du festival, la 58e Berlinale a projeté Standard Operating Procedure, un film choc de l'Américain Errol Morris sur les tortures infligées à la prison irakienne d'Abou Ghraib.
Le lieutenant-colonel Steven Jordan est le premier officier américain à être traduit devant une cour martiale, lundi 20 août à Fort Meade (Maryland), dans l'affaire des sévices infligés à des détenus irakiens à la prison d'Abou Ghraib, entre septembre 2003 et août 2004.
AP - Le sergent Ivan Frederick, le plus gradé des militaires américains condamnés dans le scandale d'Abou Ghraib, a été libéré sur parole lundi. Il a purgé trois ans de prison sur les huit que lui avait infligés le tribunal militaire, selon son avocat Me Gary Meyers. L'homme âgé de 40 ans était incarcéré à la prison militaire de Fort Leavenworth, au Kansas. Il avait été accusé d'avoir fait subir des sévices à des prisonniers irakiens détenus à Abou Ghraib, près de Bagdad. Il aurait placé (...)
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Actualité
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Pour le premier documentaire de l'histoire du festival, la 58e Berlinale a projeté "Standard Operating Procedure", un film choc de l'Américain Errol Morris sur les tortures infligées à la prison irakienne d'Abou Ghraib.
Ancien responsable du centre d'interrogatoires d' Abou Ghraïb, où ont été prises les photos de prisonniers humiliés et maltraités , le colonel Jordan, 51 ans, a plaidé non coupable des faits qui lui sont reprochés, à l'ouverture de son procès devant une cour martiale de Fort Meade, dans l'État du...
Des photos prises dans la prison irakienne d'Abou Ghraib montreraient des scènes de viol, selon le quotidien britannique "Daily Telegraph", qui dit s'appuyer sur les propos d'un général américain.
Alors que l'Irak a été la cible jeudi de deux attentats particulièrement meurtriers, l'armée annonce la capture du mystérieux Abou Omar al-Bagdadi, qui n'a jamais été vu et dont il n'existe aucune photo.
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