Valentino a ainsi mis fin à Shanghai à huit mois de disette. Sept courses sans la moindre victoire, si bien que celle là, il la savoure. A plus d’un titre. Et justement, puisque l’on parle de celui-ci, Rossi prévient ses adversaires : « J’ai enfin pu piloter comme je veux du début jusqu’à la fin. Ce qui est très important et ce qui m’a procuré beaucoup de plaisir. » Au point qu’il a embrassé sa M.1 à l’arrivée, une scène qui rappelle celle chargée...