Pascal Lamy estime que la crise actuelle illustre le besoin d’une régulation mondiale des finances dont l’Europe peut être moteur et l’OMC, servir d’exemple
La tourmente qui règne sur les marchés financiers ne doit pas réveiller des tentations protectionnistes qui représentent une impasse, a estimé Pascal Lamy, directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), mercredi 24 septembre
Le directeur général de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC), Pascal Lamy, a estimé jeudi qu'il ne fallait pas en rester là après l'échec des négociations sur la libéralisation du commerce mondial, assurant rester au service des membres de l'OMC.
On est déçu de ne pas être arrivé, a reconnu Pascal Lamy sur France 2. Les membres sont déçus mais pas découragés, a-t-il toutefois...
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Confirmant sa réputation de bourreau de travail, Pascal Lamy, le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce s'est glissé dans son nouveau fauteuil avec deux jours d'avance. Son mandat de 4 ans démarre officiellement ...
Le Français Pascal Lamy a été formellement nommé, jeudi, à la tête de l'Organisation mondiale du commerce par les 148 pays membres réunis en Conseil général au siège de l'institution à Genève. L'ancien commissaire européen ...
Les membres de l'orghanisation mondiale du commerce ont procédé à un deuxième tour de scrutin pour élire leur directeur général, qui laisse désormais face à face le Français Pascal Lamy, ex-commissaire européen au commerce, ...
Les 153 pays membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) ont réélu jeudi par acclamation le Français Pascal Lamy à la tête de l'organisation pour un deuxième mandat de quatre ans dont la priorité sera une fois de plus la conclusion du laborieux cycle de Doha.
Pascal Lamy s'est dit globalement satisfait du respect par la Chine des engagements pris en 2001 lors de son adhésion à l'organisation. Dans une interview publiée mercredi par le China Daily, le ...
Les travaux de la 38ème édition du Forum économique mondial de Davos se sont poursuivis jeudi et hier pour être clôturés demain. Les 2 500 participants n'ont cessé durant ces trois premiers jours d'évoquer la crise financière qui menace de plonger l'Amérique dans la récession. C'est aussi une menace pour l'économie mondiale. D'où la nécessité de recourir, selon le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Pascal Lamy, à un accord sur la libéralisation. «Cet accord serait le meilleur moyen d'écarter le risque protectionniste accru par la crise financière mondiale», a estimé, hier, Pascal Lamy. «Le risque de protectionnisme serait plus élevé s'il devait y avoir une récession», a-t-il averti : «Cela accroît la valeur de votre police d'assurance contre le protectionnisme, à savoir un accord à l'OMC», a-t-il dit.
Les travaux de la 38ème édition du Forum économique mondial de Davos se sont poursuivis jeudi et hier pour être clôturés demain. Les 2 500 participants n'ont cessé durant ces trois premiers jours d'évoquer la crise financière qui menace de plonger l'Amérique dans la récession. C'est aussi une menace pour l'économie mondiale. D'où la nécessité de recourir, selon le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Pascal Lamy, à un accord sur la libéralisation. «Cet accord serait le meilleur moyen d'écarter le risque protectionniste accru par la crise financière mondiale», a estimé, hier, Pascal Lamy. «Le risque de protectionnisme serait plus élevé s'il devait y avoir une récession», a-t-il averti : «Cela accroît la valeur de votre police d'assurance contre le protectionnisme, à savoir un accord à l'OMC», a-t-il dit.
Le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), Pascal Lamy, a appelé samedi la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI) à recentrer leur attention sur l'agriculture afin d'accroître l'offre pour juguler l'inflation des produits alimentaires.
A moyen et long terme, les pays développés peuvent se servir du pouvoir qu'ils ont dans des organisations comme la...
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OMC . Le Français Pascal Lamy, ancien commissaire européen au Commerce, a été formellement nommé à la tête de l'Organisation mondiale du commerce.
Comme prévu, Robert Zoellick a été élu à l'unanimité président de la Banque mondiale. L'ancien numéro 2 du Département d'Etat remplace l'ancien numéro 2 du Pentagone, Paul Wolfowitz, débarqué pour avoir favorisé sa petite amie. Robert Zoellick s'est surtout rendu célèbre comme représentant spécial américain pour le commerce, dans les négociations de l'OMC. Il a été l'architecte du « cycle de Doha », avec son alter ego européen Pascal Lamy, les deux hommes s'entendant comme larrons en foire pour libéraliser le commerce mondial au profit des Etats-Unis et contre les principes mêmes de l'Union européenne que Pascal Lamy était censé défendre. Pascal Lamy est aujourd'hui à la tête de l'OMC... Et son ami « Bob » président de la Banque mondiale. Les deux ténors du mondialisme sans frein vont pouvoir mettre les bouchées doubles.
Les pays africains se considèrent insatisfaits des propositions du directeur général de l'OMC, Pascal Lamy, destinées à corriger le déséquilibre dans les échanges internationaux de coton. M. Lamy a présenté récemment aux 148 pays membres de l'OMC son projet de...
Le directeur de l'OMC, Pascal Lamy, a fini par jeter l'éponge vendredi et renoncer à convoquer une réunion ministérielle d'ici Noël sur la libéralisation des échanges, repoussant d'au moins un an la perspective de mettre un point final au cycle laborieux de Doha.