La maison de disques EMI a décidé de suspendre la mise en place de systèmes anticopie sur ses CD.
L'association UFC-Que Choisir a été déboutée par la cour d'appel de Versailles. Sa demande d'interdire l'intégration des systèmes anticopie sur les CD audio a été jugée irrecevable, dans une affaire l'opposant à la maison de disques EMI.
Les éditeurs de films DVD peuvent continuer à intégrer des mesures anticopie sur leur support. La cour d'appel de Paris vient de confirmer la légalité de ces protections, estimant que la copie privée d'une oeuvre n'est pas un droit mais «une exception».
La maison de disques reconnaît une nouvelle faille dans un système anticopie associé à certains disques. En novembre, elle avait déjà rapatrié plusieurs millions de CD pour un problème similaire.
Le tribunal de grande instance de Nanterre a condamné la maison de disques à 20 000 euros d'amende ; les juges ont estimé que la mise en vente de CD ne pouvant être lus à cause de dispositifs de protection contre la copie revenait à une « tromperie ». Cette nouvelle décision judiciaire pourrait sonner le glas de ces systèmes anticopie.
C'est au tour d'EMI d'être condamné pour avoir vendu des CD intégrant des systèmes anticopie. Le label a retiré ces références des bacs.
La maison de disques Universal Music (groupe Vivendi) s'est lancée à son tour dans la musique en ligne libérée du système anticopie (dit DRM), annonçant proposer ce mois-ci une grande partie de son catalogue sans cette technologie destinée à lutter conte le piratage.
Les systèmes anticopie sont une nouvelle fois épinglés par la justice. Ainsi, dans le cas d'un CD d'Alain Souchon édité par EMI, la cour d'appel de Versailles reconnaît qu'ils sont à l'origine de problèmes de lecture.
L'association de défense des consommateurs réclame au gouvernement une modification de la loi Dadvsi. Elle veut interdire aux maisons de disques l'utilisation des systèmes anticopie pour la musique vendue sur les plates-formes en ligne.
L'association de défense des consommateurs demande au gouvernement de modifier la loi Dadvsi pour interdire aux maisons de disques l'utilisation des systèmes anticopie dans leurs catalogues vendus sur les plates-formes en ligne.
L'éditeur va modifier ses logiciels de sécurité pour que les utilisateurs désinstallent en partie le système de protection des CD de la maison de disques.
Le site de vente de musique en ligne d'Apple, l'iTunes Music Store, a commencé mercredi à proposer des morceaux sans dispositif anticopie.
Confrontée à un recul de ses ventes, la maison de disques a décidé de suspendre l'intégration de systèmes DRM dans ses CD.
La plate-forme de musique en ligne se convertit à son tour au MP3, en programmant l'arrêt de la vente de morceaux verrouillés avec des protections anticopie (DRM) au trimestre prochain.
Le médiateur norvégien de la consommation (Ombudsman) perd patience après Apple et les protections anticopie qui équipent sa plate-forme de téléchargement, l'iTunes Store, et les baladeurs iPod.