Les sociétés d'auteurs (Sacem, SDRM et Sesam), ainsi que la SPPF (société des producteurs de phonogrammes en France) sont parvenus à faire fermer Blogmusik.net.
Il y a quelques jours, nous vous annoncions que le site Blogmusik.net avait été mis en demeure par la Sacem, la SDRM, la Sesam et la SPPF. L'hébergeur du site, conformément à la loi française...
La Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), la SDRM (Société pour l'administration du droit de reproduction mécanique, des auteurs compositeurs et éditeurs), la Sesam...
La Sacem poursuit sa grande offensive contre les sites d'écoute et de téléchargement de musique sur Internet. Après avoir fait fermer les français Blogmusik et Radio.Blog.Club, la société d'auteurs sort de ses frontières ...
La Sacem, aux côtés de la Sdrm et Sesam, et France Webradios (Association Nationale des Webradios) annoncent la mise en place d’un contrat type destiné aux webradios associatives. annonce un communiqué qui précise ... les auteurs, compositeurs et editeurs de...
Le Français Blogmusik.net avait fermé en février dernier sous la pression de la Sacem. Aujourd'hui, 22 août, il renaît sous le nom de Deezer, en 16 langues. Un accord avec la Sacem et la Sesam permet à Deezer d'offrir...
BlogMusik est une startup française qui fournit un service de recherche de fichiers mp3 et permet de les écouter sur le web. Quand j’avais découvert ce site je me demandais combien de temps encore le service allait pouvoir rester en ligne et quelques mois plus tard la SACEM les mettait en demeure de fermer leur [...]
Le 18 octobre 2005, différentes sociétés de producteurs (la SACEM, la SCPP, la SDRM et la SPPF) demandaient l'autorisation à la CNIL concernant la mise en place, par des prestataires privés, de...
Branle-bas de combat sur les éditeurs de logiciels de P2P ! La SPPF, Société civile des producteurs de phonogrammes en France, vient d'annoncer le lancement de poursuites à l'encontre des sociétés qui [...]
En 2005, différentes sociétés de producteurs (la SACEM, la SCPP, la SDRM et la SPPF) demandaient l'autorisation à la CNIL concernant la mise en place, par des prestataires privés, de dispositifs...
La SACEM (Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique) et la SDRM (Société pour l?administration du Droit de Reproduction Mécanique) n'aiment toujours pas trop ces nouvelles...
La commission nationale de l'informatique et des libertés a autorisé la « société des producteurs de phonogrammes en France » a progressivement mettre en place un système de surveillance des réseaux de Peer to Peer. Cette décision n'est pas surprenante étant donné qu'un tel dispositif avait déjà fait l'objet, en décembre dernier, d'une autorisation accordée par la CNIL à des sociétés de répartition des droits d'auteurs, notamment la SACEM. Ce système de surveillance permettra donc de relever les infractions des (...)
Les défenseurs des droits d'auteurs ont marqué un point mercredi: Blogmusik.net, rebaptisé Deezer.com, a annoncé un accord avec la Sacem pour rémunérer les auteurs, une première dans le secteur porteur des sites de musique à la demande sans téléchargement.
INFO FIGARO - À la veille des conclusions de la Commission Zelnick sur les offres légales sur Internet, trois syndicats de producteurs compliquent la donne en refusant de reconduire un accord avec la Société des auteurs et compositeurs dramatiques.
v align=center>Internet: les producteurs de musique indépendants attaquent trois sociétés de P2P
PARIS (AP) - La Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) a annoncé mardi qu'elle allait engager des poursuites contre trois sociétés qui éditent ou exploitent des logiciels de partage de fichiers en P2P (peer to peer), dans le cadre de sa lutte contre le téléchargement illégal.
La SPPF, qui regroupe 970 producteurs indépendants et dit représenter plus de 20% du chiffre d'affaires de l'industrie du disque en France, demande que les sociétés Morpheus/Streamcast, Azureus et prochainement Shareaza cessent leurs activités illicites. Elle réclame 16,6 millions d'euros de dommages et intérêts à l'encontre d'Azureus et 3,7 millions d'euros contre Morpheus.
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