'Il reste deux jours à Apple pour répondre aux questions que lui a posé la Commission Européenne à propos de l'impossibilité faite aux consommateurs européens d'acheter leur musique là où ils le souhaitent. Un français pourrait fort bien avoir envie d'acheter un titre sur l'iTunes Store anglais, par exemple. Également dans la ligne de mire de la Commission, la différence de tarif entre les Stores : 0,99 euro pour un morceau chez nous, 1,19 euro en Grande-Bretagne. Trois maisons de disque (...)
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iTunes
Apple a obtenu une petite rallonge pour répondre à la Commission Européenne, grâce à Universal qui réclamé un petit temps supplémentaire, jusqu'au 29 juin (lire cette actu). Il s'agit pour nos deux larrons (et deux majors en plus) de donner des réponses à l'accusation de la Commission sur les prix des morceaux vendus dans les iTunes Store en Europe, qui ne sont pas les mêmes d'un pays à un autre. Pour le coup, Apple n'aurait pas grand chose à se reprocher, il semble que ce soit les maisons (...)
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Apple
L'Union Européenne a annoncé que Microsoft avait satisfait les demandes de la Commission énoncées dans la décision de 2004, qui avait caractérisée les pratiques de la société d'anticoncurrentiel et avait imposée une série de sanctions. L'épilogue Ce serait donc la fin de la longue série relatant les déboires entre Microsoft et la Commission Européenne.
Le dernier point de tension entre les deux camps portait sur une mesure qui impose à Microsoft
L'Union Européenne a annoncé que Microsoft avait satisfait les demandes de la Commission énoncées dans la décision de 2004, qui avait caractérisée les pratiques de la société d'anticoncurrentiel et avait imposée une série de sanctions. L'épilogue Ce serait donc la fin de la longue série relatant les déboires entre Microsoft et la Commission Européenne.
Le dernier point de tension entre les deux camps portait sur une mesure qui impose à Microsoft
Ce lundi, la Commission Européenne a indiqué avoir trouvé un arrangement avec Microsoft, suite à l'amende qui lui avait été infligée en 2004 pour abus de position dominante et pratiques anticoncurrentielles.
La Commission européenne a envoyé un sévère rappel à l'ordre à Microsoft.