La Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France (SPPF) n'est pas du tout satisfaite que Free offre à ses abonnés la possibilité de partager des fichiers de grande taille sur son service de téléchargement, « dl.free.fr ».
Branle-bas de combat sur les éditeurs de logiciels de P2P ! La SPPF, Société civile des producteurs de phonogrammes en France, vient d'annoncer le lancement de poursuites à l'encontre des sociétés qui [...]
La Société des Producteurs de Phonogrammes en France (SPPF) ne veut plus subir le rythme imposé...
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La CNIL vient de donner son accord à la Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) pour traquer les internautes envoyant illégalement du contenu piraté sur les réseaux de peer to peer.
Cet accord fait suite à celui donné à la Sacem dans le but de réduire de moitié, d’ici un an, la piraterie [...]
La Société Civile des Producteurs de Phonogrammes Français critique vivement la mise à jour du service de Free "dl.free.fr". Celui-ci,…
La lutte des producteurs indépendants français, réunis pour l'essentiel à l'intérieur de la SPPF (Société civile des produc...
Très active ces derniers jours, la SPPF (société civile des producteurs phonographiques) attaque, aujourd'hui, l'éditeur américain du logiciel de partage de fichiers Limewire, devant le tribunal de grande instance de Paris pour mise à disposition du public d'?uvres protégées.
La SPPF refuse que les services de musique en ligne... Lire Limewire attaqué par les producteurs de musique
v align=center>Internet: les producteurs de musique indépendants attaquent trois sociétés de P2P
PARIS (AP) - La Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) a annoncé mardi qu'elle allait engager des poursuites contre trois sociétés qui éditent ou exploitent des logiciels de partage de fichiers en P2P (peer to peer), dans le cadre de sa lutte contre le téléchargement illégal.
La SPPF, qui regroupe 970 producteurs indépendants et dit représenter plus de 20% du chiffre d'affaires de l'industrie du disque en France, demande que les sociétés Morpheus/Streamcast, Azureus et prochainement Shareaza cessent leurs activités illicites. Elle réclame 16,6 millions d'euros de dommages et intérêts à l'encontre d'Azureus et 3,7 millions d'euros contre Morpheus.
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Représentant les producteurs français de musique indépendants, la SPPF (Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France) s'insurge contre le tout récent service de partage de fichiers mis en place par Free. Dans son communiqué de presse, la SPPF qualifie l'opération de « pure provocation ».Qu'a donc fait Free pour mériter cette volée de bois vert ? Ce fournisseur d'accès, discrètement et sans en faire de la publicité, a ouvert un service gratuit de partage de fichiers volumineux, officiellement pour que chacun puisse échanger ses photos et ses vidéos. Magnanime, F...
'Youpi, la SPPF (Société civile des producteurs de phonogrammes en France, les producteurs quoi) pourra traquer les internautes indélicats sur les réseaux P2P. La CNIL a en effet donné son accord, après celui accordé à la SACEM (on se demande à quoi elle sert, cette CNIL...). Bref, en clair, la SPPF pourra demander à un prestataire technique afin de pister les adresses IP de ceux qui s'adonnent aux charmes du P2P. Dans la théorie, ces informations pourront intenter des actions en justice (...)
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P2P
La Société des Producteurs de Phonogrammes en France (SPPF), qui représente une partie des...
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Dailymotion écarte un peu plus la menace de procès. Le site de partage de vidéos a annoncé jeudi la signature d'un accord-cadre avec la Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) pour diffuser les clips ...
Lors de sa dernière assemblée générale, la Société Civile des producteurs de phonogrammes en France n'a pu que constater la « chute dramatique » des ventes de disque : -47% entre la…
La Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF), qui gère les droits des labels indépendants, a annoncé des perceptions en hausse de 15 % à 14,53 millions d'euros en 2008. Due selon elle à "des éléments exceptionnels comme un rattrapage de perception en copie privée sonore et à une régularisation auprès de sonorisateurs professionnels pour plusieurs années de droits", la hausse aurait été sinon de 4,5%. Mais loin de s'en satisfaire, la SPPF veut demander l'équivalent de trois trimestres de chiffres d'affaires à YouTube. [Lire la suite]
C'EST une première qui fera date dans l'industrie musicale en France. La Société civile des producteurs de phonogrammes français (SPPF) assigne devant le tribunal de grande instance de Paris trois éditeurs de logiciels pirates basés aux États-Unis : Morpheus, Azureus et Shareaza...