L'Office polonais de la concurrence a annoncé hier avoir saisi la Commission européenne, car il soupçonne Microsoft de violer les règles de la concurrence par des accords illicites avec les fabricants d'ordinateurs...
La Commission européenne a donné jeudi quatre semaines à Microsoft pour se conformer à sa condamnation de mars 2004 pour abus de position dominante, sans quoi l'exécutif européen lui imposera de lourdes astreintes dès la fin du mois. Elles pourraient s'élever à plusieurs millions d'euros par jour.
Microsoft n'a plus qu'un jour pour se conformer aux sanctions infligées en mars 2004 par la Commission européenne.
La Commission européenne réagit à l'annonce de Microsoft de proposer en Europe son OS Windows 7 sans Internet Explorer. L'exécutif européen ne paraît pas véritablement emballé par le choix de Microsoft.
Les experts nationaux de la concurrence des 25 Etats membres sont d'accord avec les conclusions de la Commission européenne : Microsoft n'a pas fourni assez d'informations à ses concurrents pour permettre l'interopérabilité ...
La Commission européenne vient d avertir Microsoft qu elle pourrait une nouvelle fois sanctionner la firme de Redmond et imposer une amende de 4 millions de dollars par jour. La Commission reproche au père de Windows de ne pas se conformer à sa décision datant de 2004 qui impose à l éditeur de logiciel d offrir des outils abordables à ses concurrents afin qu ils développent des programmes pour Windows. Cette mesure touche principalement des logic
La Commission européenne n'est pas satisfaite des solutions que Microsoft a adoptées pour aider ses concurrents.
Il y a quelques jours Microsoft nous avait annoncé qu'il délivrerait ses codes sources des technologies serveur à la concurrence.
Or la réaction de Bruxelles ne s'est pas fait attend...
L'éditeur américain a décidé de se conformer aux exigences du régulateur de la concurrence en Corée du Sud, la Fair Trade Commission (FTC). Microsoft avait été condamné en décembre 2005 à une amende de 33 millions de dollars pour abus de position dominante.
Le conseil polonais de la concurrence et de la lutte contre les fraudes alerte la Commission européenne sur des pratiques jugées anti-concurrentielles de Microsoft dans le domaine de la vente d'ordinateurs portables.
La firme devait défendre son cas devant la Commission européenne lors d'auditions début juin. Mais l'absence de plusieurs hauts membres de l'exécutif européen a poussé Microsoft à demander un report qui lui a été refusé.
Microsoft vient d'annoncer qu'il se plierait à l'exigence de la Commission Européenne et qu'il paierait son amende. Il abandonne l'appel qu'il avait interjeté et accepte de payer les 280,5 millions d'euros de pénalité de retard. Les dossiers tombent un à un L'Union Européenne avait annoncé en début de semaine avoir finalement trouvé un terrain d'entente avec Microsoft (cf. « Microsoft et l'UE : épilogue »).
Aujourd'hui, l'éditeur de logiciel ren
Microsoft vient d'annoncer qu'il se plierait à l'exigence de la Commission Européenne et qu'il paierait son amende. Il abandonne l'appel qu'il avait interjeté et accepte de payer les 280,5 millions d'euros de pénalité de retard. Les dossiers tombent un à un L'Union Européenne avait annoncé en début de semaine avoir finalement trouvé un terrain d'entente avec Microsoft (cf. « Microsoft et l'UE : épilogue »).
Aujourd'hui, l'éditeur de logiciel ren
L'Union Européenne a annoncé que Microsoft avait satisfait les demandes de la Commission énoncées dans la décision de 2004, qui avait caractérisée les pratiques de la société d'anticoncurrentiel et avait imposée une série de sanctions. L'épilogue Ce serait donc la fin de la longue série relatant les déboires entre Microsoft et la Commission Européenne.
Le dernier point de tension entre les deux camps portait sur une mesure qui impose à Microsoft
L'Union Européenne a annoncé que Microsoft avait satisfait les demandes de la Commission énoncées dans la décision de 2004, qui avait caractérisée les pratiques de la société d'anticoncurrentiel et avait imposée une série de sanctions. L'épilogue Ce serait donc la fin de la longue série relatant les déboires entre Microsoft et la Commission Européenne.
Le dernier point de tension entre les deux camps portait sur une mesure qui impose à Microsoft