Michèle Alliot-Marie veut « une nouvelle étape dans la lutte contre la cybercriminalité.
Des moyens supplémentaires vont être affectés en France à la lutte contre la cybercriminalité, qui a explosé ces dernières années et créé de nouvelles menaces, a annoncé mardi la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie au 3e forum international sur la cybercriminalité à Lille.
Législation
Doublement des effectifs et formation accrue des enquêteurs, sanctions renforcées contre les cyberescrocs, mise sous surveillance des PC de suspects, nécessité d'une plus grande coopération des FAI... La ministre de l'Intérieur a choisi la voie de la fermeté.
Branle-bas de combat contre la cybercriminalité. C'est dans les locaux de l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OLCTIC) à Nanterre (92) que Michèle Alliot-Marie a détaillé, jeudi 14 février, son plan d'action.
La troisième édition du FIC (Forum International sur la Cybercriminalité), toujours organisée à l'initiative de la Gendarmerie Nationale française, a permis de réaliser un tour d'horizon des enjeux liés à la cybercriminalité. En point d'orgue de la manifestation, un discours de Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, qui a mis en avant la future loi d'orientation sur la protection des systèmes d'information.
Doublement
du nombre d'enquêteurs
spécialisés, introduction de nouvelles
incriminations, captation à distance des
données informatiques: la ministre de l'Intérieur,
Michèle Alliot-Marie, a présenté jeudi son
plan d'action ferme et résolue pour combattre
la cybercriminalité.
Le ministère de l'Intérieur poursuit son plan d'action contre la cybercriminalité, présenté par Michèle Alliot-Marie en février 2008.
La ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, doit présenter dans les prochains jours un vaste projet de lutte contre la criminalité sur Internet. Le Figaro en a dévoilé les principales mesures.
Pour lutter contre la cybercriminalité, la ministre française de l'Intérieur prône une action ferme et résolue sans toutefois empiéter sur les libertés individuelles.
C'est par la voix de Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur et représentante de la présidence française de l'UE, et du commissaire européen Jacques Barrot, en charge des Libertés, de la Justice et de la sécurité, qu'a été annoncée le 24 octobre, à Luxembourg, la création d'une plate-forme commune pour traquer la cybercriminalité.
C'est par la voix de Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur et représentante de la présidence française de l'UE, et du commissaire européen Jacques Barrot, en charge des Libertés, de la Justice et de la sécurité, qu'a été annoncée le 24 octobre, à Luxembourg, la création d'une plate-forme commune pour traquer la cybercriminalité.
C'est par la voix de Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur et représentante de la présidence française de l'UE, et du commissaire européen Jacques Barrot, en charge des Libertés, de la Justice et de la sécurité, qu'a été annoncée le 24 octobre, à Luxembourg, la création d'une plate-forme commune pour traquer la cybercriminalité.
Doublement des effectifs et formation accrue des enquêteurs, sanctions renforcées contre les cyberescrocs, mise sous surveillance des PC de suspects, nécessité d'une plus grande coopération des FAI... La ministre de l'Intérieur a choisi la voie de la fermeté.
La France va se doter d'un nouvel arsenal de mesures destinées à lutter contre la Cybercriminalité regroupé au sein du projet d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure LOPPSI
Davantage de moyens pour les policiers, perquisitions à distance, mouchards sur les ordinateurs des suspects, filtrage de sites illicites. Michèle Alliot-Marie devrait présenter demain un plan d'envergure pour renforcer la lutte contre les cybercriminels.
Michèle Alliot-Marie a présenté son plan pour enrayer piratage et détournement de données sur Internet. Moyens techniques et humains vont être renforcés.