Il provoque le malaise jusque dans les rangs de la police. Le logiciel Ardoise sert à enregistrer des informations sur les personnes impliquées dans des enquêtes, en particulier leur orientation sexuelle, leur handicap ou leur appartenance syndicale. La Cnil est saisie.
Le ministère de la Défense modifie le logiciel controversé permettant à la police d'enregistrer des informations sur des personnes impliquées dans des enquêtes. L'orientation sexuelle ou l'appartenance à un syndicat d'une personne n'y figureront plus, sauf si cela aide à la protéger.
Le ministère de la Défense modifie le logiciel controversé permettant à la police d'enregistrer des informations sur des personnes impliquées dans des enquêtes. L'orientation sexuelle ou l'appartenance à un syndicat d'une personne n'y figureront plus, sauf si cela aide à la protéger.
Le ministère de la Défense modifie le logiciel controversé permettant à la police d'enregistrer des informations sur des personnes impliquées dans des enquêtes. L'orientation sexuelle ou l'appartenance à un syndicat d'une personne n'y figureront plus, sauf si cela aide à la protéger.
Le ministère de la Défense modifie le logiciel controversé permettant à la police d'enregistrer des informations sur des personnes impliquées dans des enquêtes. L'orientation sexuelle ou l'appartenance à un syndicat d'une personne n'y figureront plus, sauf si cela aide à la protéger.
La ministre de l'Intérieur a décidé de suspendre l'expérimentation du logiciel de police Ardoise. Ce logiciel avait été jugé discriminatoire par des associations et un syndicat de police. En effet, des données relatives à la vie privée des personnes en contact avec la police, qu'il s'agisse de victimes, de témoins ou d'auteurs d'infraction, pouvaient être renseignées dans ce logiciel. Ainsi, le logiciel pouvait indiquer des informations telles que l'orientation sexuelle, l'appartenance ethnique supposée, (...)
La Cnil interpelle la ministre de l'Intérieur et demande des précisions sur les informations stockées dans un fichier de police en test.
Vous vous souvenez de la vague de contestations lancée contre le projet de nouveau logiciel de police “Ardoise”, qui doit permettre aux policiers et aux gendarmes de saisir les informations sur les enquêtes qu'ils mènent ?
La ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a décidé d’en suspendre l’expérimentation.
En effet, elle a souhaité réfléchir à la pertinence [...]
Face à la polémique, la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, veut se donner le temps de la réflexion.
POLEMIQUE - Le Collectif contre l'homophobie saisit la Halde et la Cnil pour dénoncer un fichage abusif…
La Cnil interpelle la ministre de l'Intérieur et demande des
précisions sur les informations stockées dans un fichier de
police en test.
Après une semaine de test du logiciel Ardoise, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a décidé de suspendre son expérimentation. Le programme informatique avait été jugé discriminatoire par des associations et un syndicat de police.
Gamma 2008 - Jean-François Deroubaix
Synergie (second syndicat d'officiers de police) a indiqué le 15 avril ne pas être choqué par la mise en oeuvre d'un nouveau logiciel police/gendarmerie, baptisé Ardoise, qui suscite des critiques ...
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie préfère suspendre l'expérimentation du logiciel de police Ardoise, a indiqué aujourd'hui son entourage à l'AFP.
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie préfère suspendre l'expérimentation du logiciel de police Ardoise, a indiqué aujourd'hui son entourage à l'AFP.