Un procureur américain enquête auprès des quatre majors du disque pour déterminer si elles ont fixé, d'un commun accord, les prix de gros de la musique en ligne. Warner Music confirme avoir reçu une citation à comparaître.
Le procureur général de l'Etat de New York vient de lancer une nouvelle enquête. Il veut vérifier l'existence d'un supposé accord secret entre les grandes maisons de disques sur le prix de la musique en ligne.
Avant qu'il ne soit contraint à démissionner après des révélations sur ses pratiques sexuelles, le procureur général de l'Etat de New York Eliot Spitzer était l'ennemi public numéro un de l'industrie du disque aux Etats-Unis. Très engagé dans une volonté de moraliser la vie des affaires, Spitzer avait d'abord réussi à faire condamner les majors et de grandes radios américaines pour des pratiques de corruption, avant de s'attaquer à une éventuelle entente sur les prix de la musique en ligne. Eliot Spitzer s'étonnait que l'ensemble des majors de l'industrie du disque pratique le même tarif de gros de 70 centimes par titre pour les services de téléchargement payant à la demande. A cause de ce tarif unique, toutes les plateformes de musique en ligne étaient contraintes de s'aligner au mieux sur le prix d'iTunes de 99 centimes par titre. [Lire la suite]
Le ministère américain de la Justice a confirmé à l'agence Reuters avoir ouvert une enquête sur une possible entente anticoncurrentielle entre les majors du disque sur le prix de la musique en ligne.
Une cour d'appel fédérale américaine a décidé de réactiver des poursuites pour entente illicite déposée à l'encontre de 6 majors du disque, dont EMI, Sony et Vivendi Music. Elles auraient conclu un accord pour fixer les prix de la musique en ligne.
Alors que dans le but de rentabiliser « l'industrie » musicale, la mission Création et Internet propose de faire cofinancer par l'Etat une carte musique de paiement en ligne pour les 15-24 ans ; une cour d'appel américaine vient de réactiver une plainte de 2006 déposée contre les principales majors du disque pour entente sur les prix. Parallèlement, « la fameuse HADOPI a désormais un visage » et les internautes risquent désormais de se voir réellement (...)
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Source : Generation NTLe groupe Warner Music a été cité à comparaître par le procureur de l'étât de New York. Le but de cette enquête est de savoir s'il y a entente illicite au sujet du prix des morceaux de musique en vente sur le Web.
Cette enquête aurait été déclenchée suite à des rumeurs indiquant que les 4 grandes Majors se seraient consulté afin de fixer ensemble le prix des morceaux et ainsi éviter de se retrouver à batailler.
Bien entendu le verdict de cette affaire intéressera au plus haut point Apple.
Musique en ligne : Majors 3 - Consommateurs 0 - AgoraVox le média citoyenUn article qui donne envie de télécharger sans scrupules...
Les majors ont bien du mal à se sortir du bourbier du P2P où des millions d'utilisateurs se partagent de la musique et des vidéos gratuitement. Ces mêmes majors préconisent d'acheter sa musique sur des sites de téléchargements payants. Mais pas à n'importe quel prix! Ces mêmes majors attaquent un site russe spécialisé dans la vente de musique à prix cassé. ...
Les quatre majors de la musique, Warner, Sony BMG, EMI et Universal Music, sont dans la ligne de mire d'Eliot Spitzer. Le procureur général de New-York a débuté une enquête anti-trust sur les tarifs de la musique en ligne. ...
Le syndicat des majors de la musique, la RIAA, a porté plainte contre la société Usenet.com, qui donne accès à un réseau de forums de discussion. Il l'accuse, comme les réseaux peer-to-peer, de faciliter la violation du copyright.
Google pourrait lancer dans les prochains jours Google Audio, un service de musique en ligne disposant d'accords de licences avec l'ensemble des majors de l'industrie musicale. [Lire la suite]
Alors que tout le monde s'attendait à une taxation du revenu des fournisseurs d'accès à Internet, le rapport Zelnik a pensé qu'obliger les majors du disque à ouvrir l'accès à leur catalogue via une licence de gestion collective obligatoire serait un meilleur remède à la crise de l'industrie. La faute à un mécanisme de minimums garantis que les majors ne veulent surtout pas abandonner. [Lire la suite]
Les majors américaines pourront toucher des chèques de l'État français pour localiser les tournages en France.
Les maisons de disque se mettent elles aussi à la musique en ligne gratuite