La 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a relaxé l'auteur du blog Monputeaux.com poursuivi en diffamation par la municipalité UMP de Puteaux.
Poursuivi par la mairie de Puteaux pour diffamation, le blogueur Christophe Grébert a été relaxé. La Ville va faire appel.
C'est la relaxe ! Relaxe pour Christophe Grébert ! Relax pour Le Parisien aussi ! Et notre justice assure un max ! Merci et bravo à tous ! A Christophes et aux juges de notre pays. Tant pis pour les...
La cour d'appel de Paris a confirmé mercredi la relaxe du journaliste-blogueur Christophe Grébert, qui était poursuivi en diffamation pour avoir mis en cause sur son site personnel en 2004 la mauvaise gestion de la municipalité UMP de Puteaux (Hauts-de-Seine).
Christophe Grébert, le blogueur devenu célèbre grâce à son site monputeaux.com, est actuellement (depuis quelques minutes)...
L'ACTU EN FLASH
NOUVEL épisode hier, dans le conflit qui oppose Christophe Grébert, le blogueur de Monputeaux.com, conseiller municipal (MoDem) et la mairie de Puteaux. Cette fois-ci, le blogueur, attaqué par trois policiers municipaux, était convoqué devant la 17 e...
Publié le 03.07.08
Ouf ! 10 jours après avoir envoyé le premier blogueur marocain en prison, la justice du Royaume vient de
rétablir son erreur initiale. La Cour d'appel d'Agadir a annulé hier jeudi 18 septembre la peine infligée en première instance au blogueur Mohamed Erraji et a [...]
Trois policiers viennent d'assigner en justice le blogueur de Puteaux , commune ayant déjà perdu deux procès contre lui.
L'Agence France Presse a diffusé ce soir une dépêche sur la nouvelle procédure engagée contre MonPuteaux par la mairie de Puteaux. Cette dépêche a notament été reprise par le site du Figaro.
Ailleurs sur le net :
- Article sur le site du Monde.fr
- Nouvel Obs.
- Le Parisien
Extrait de la dépêche :
Selon l'assignation devant le tribunal de grande instance (TGI) de Paris, dont l'AFP a reçu copie, l'avocat des policiers, Me Rodolphe Bosselut, estime que les plaignants n'ont pas donné leur consentement à la diffusion et que le blogueur ne peut se retrancher derrière le droit à l'information pour légitimer son acte.
(..)
Je ne pense pas avoir moins respecté le droit à l'image qu'un journaliste, a réagi le blogueur et opposant, selon qui les policiers municipaux n'ont pas porté plainte de leur propre initiative.
Si M. Grébert respectait parfois un peu plus les règles, il aurait moins de problèmes avec la mairie de Puteaux, a répondu le cabinet du maire, contacté par l'AFP.
De là à dire que les policiers municipaux sont téléguidés par la mairie, c'est faire peu de cas de leur conscience professionnelle, a-t-on ajouté.
Je trouve scandaleuse la déclaration du cabinet du maire : si je respectais un peu plus les règles ? Je rappelle que j'ai été relaxé par la justice, alors que la maire de Puteaux Joëlle Ceccaldi a elle été condamnée. Par conséquent si quelqu'un à Puteaux ne respecte pas les règles, ce n'est certainement pas moi !
Christophe Grébert
J'OUVRE UNE N...
Un blogueur, Christophe Grébert, est poursuivit pour diffamation par le clan Ceccaldi-Reynaud de la mairie de Puteaux, c'est la première fois en France et c'est demain à 13h30 au Palais de Justice de Paris; l'audience est publique et pour rappel, les appareils photos, camescopes, téléphones portables, bombes lacrymogénes,... sont incompatibles avec les salles d'audiences. A part ça les boiseries du Palais de Justice valent le coup d'oeil.
Accusé de ne pas respecter les droits d'auteurs sur son site, le propriétaire d'AllofMP3 vient d'être relaxé par une cour de justice moscovite.
Accusé de ne pas respecter les droits d'auteurs sur son site, le propriétaire d'AllofMP3 vient d'être relaxé par une cour de justice moscovite.
Pour la première fois, dans un jugement du 8 décembre 2005, un internaute est relaxé de la mise à disposition de fichiers en peer to peer.
Le journaliste et Le Parisien comparaissaient pour diffamation, à la suite de publications sur des malversations de la commune.
La justice a relaxé mercredi les six médecins et pharmaciens accusés d'avoir provoqué par négligence, dans les années 80, la mort d'une centaine de jeunes traités à l'hormone de croissance,...