La rédaction a choisi de revisiter, à travers vos commentaires, les faits d'actualité qui vous ont abondamment fait réagir en 2004. Retour sur la polémique déclenchée par la campagne de répression des maisons de disques contre les adeptes du peer-to-peer.
Faire appel aux internautes, les faire voter, créer des pochettes, écrire des textes... C'est la nouvelle tendance Web du côté des maisons de disques. Petit tour d'horizon des dernières initiatives.
Une dizaine d'internautes français vient de faire les frais de la nouvelle entente entre fournisseurs d'accès et maisons de disques. Ils ont vus leur abonnement à Internet résilié, comme le prévoit le...
LOS ANGELES (Reuters) - Les grandes maisons de disques américaines ont décidé vendredi d'abandonner les poursuites à l'encontre des internautes...
Comme ses petites soeurs la RIAA ou le SNEP, la Fédération Internationale de l'Industrie Phonographique (IFPI) se protège toujours derrière le respect et la défense des artistes pour justifier ses actions de terreur à l'encontre des internautes, quand bien même ce sont en fait les maisons de disques qu'elles représentent. Or plus que jamais, les maisons de disques et leurs artistes ont des intérêts antagonistes. Les premières veulent continuer à vendre des albums et en revendre davantage, alors que les seconds veulent surtout que leur musique soit écoutée par le plus grand nombre, pour qu'elle draine du monde dans leurs concerts. Souvent, les associations de maisons de disques attaquent les internautes au nom des artistes, là où les artistes les auraient laissé en paix. [Lire la suite]
Les attaques des maisons de disques aux Etats-Unis ont peut-être des effets sur les modes de partage des fichiers musicaux. Selon le Pew Internet and American Life Project, il y aurait toujours autant det#8217;internautes ...
L'âge d'or des maisons de disques est bien révolu : aujourd'hui, ce sont les internautes qui découvrent, lancent, voire produisent les artistes.
Le syndicat des principales maisons de disques en France veut imposer un filtrage direct des réseaux de téléchargement sur les ordinateurs des particuliers pirates.
On pouvait s'attendre à ce qu'un groupe rock technophile comme Radiohead embrasse les opportunités offertes par Internet pour se passer des maisons de disques et proposer aux internautes une formule originale d'achat : choisissez...
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Non, l'industrie musicale ne se porte pas si mal. Non, le piratage n'est pas en train de ruiner la filière. De tous les acteurs de l'industrie, seules les maisons de disques qui vivent sur l'enregistrement de la musique souffrent de la transition technologique et de l'évolution des modèles économiques. Les majors s'adaptent et deviendront rapidement des maisons de la musique et non plus des maisons de disques...
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On trouve dans les rayons de cadeaux, par ordre alphabétique (et de manière non-exhaustive) les coffrets et les box estampillés Dakota, Happy, Ideall, Kadeos, Kouro, Smart ou encore Wonder.
Les maisons de disques faisaient déjà des long box et même les biscuits s'y mettent avec la Box Belin...
Dix ans après la création de Napster, les maisons de disques n'ont toujours pas réussi à combattre le piratage, et les perspectives de croissance du téléchargement payant sont maigres. Aux Etats-Unis, Warner Music Group a commencé à faire le tour des Universités pour proposer une trêve dans la guerre entre les internautes et les maisons de disques, à travers la mise en place d'une licence globale. [Lire la suite]
Le procureur général de l'Etat de New York vient de lancer une nouvelle enquête. Il veut vérifier l'existence d'un supposé accord secret entre les grandes maisons de disques sur le prix de la musique en ligne.
La fédération américaine des maisons de disques a annoncé vendredi qu'elle ne poursuivrait plus en justice les internautes qui téléchargent de la musique illégalement sur le Web. Elle laisse cette responsabilité aux FAI !
Mais qu'est-ce qui peut bien pousser des artistes comme Radiohead, Nine Inch Nails ou Saul Williams à préférer s'associer aux internautes pirates plutôt qu'aux maisons de disques qui ne leur veulent pourtant que fortune et célébrité ? Pour la célébrité, c'est bon. Pour la fortune, c'est moins sûr. Ou comment en direct sur Europe 1, un artiste signé chez Sony BMG raconte en larmes qu'il se retrouve au RMI après avoir vendu cette année plus de 100.000 disques...
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