Les deux successeurs désignés de Bill Gates reviennent sur le processus de leur nomination et détaillent la nature de leurs nouvelles fonctions. Entretiens croisés.
L'heure de la retraite a sonné. Le 27 juin, Bill Gates quittera Microsoft qu'il a cofondé en 1975. Il laisse les rênes à Steve Ballmer, Craig Mundie et Ray Ozzie. Retour sur 33 années passées à faire d'une start-up l'éditeur le plus puissant au monde.
Lors d'un récent déplacement à Paris, Craig Mundie, big chief de Microsoft Research (et pion essentiel du management après le départ annoncé de Bill Gates) est venu échanger avec quelques architectes Français. DNG a profité de l'occasion pour recueillir par le biais de Jean-Marc Prieur (qu'on ne vous présente plus) des bribes d'une conversation, plutôt surprenante...
Craig Mundie évoque des sujets de MS Research (F#, les modèles, etc ...) mais aussi des aspects plus orientés métier avec la santé et le monde du logiciel (à l'heure où on parle du dossier médical personnalisé).
Vous découvrirez aussi que "Software As a Service" devient "Sofware plus a Service".
Le père de Microsoft quitte la tête de la société pour se consacrer à sa fondation. Les rênes de la société passent aux mains de Steve Ballmer, Ray Ozzie et Craig Mundie.
Ray Ozzie, CTO de Microsoft depuis le rachat de sa société Groove Networks par Microsoft en avril dernier a ouvert son blog sur MSN Spaces hier. Blogueur depuis août 2002, il indique dans son premier billet daté du 16 novembre...
L'heure de la retraite a sonné. Le 27 juin, Bill Gates quittera Microsoft qu'il a cofondé en 1975. Il laisse les rênes à Steve Ballmer, Craig Mundi et Ray Ozzie. Retour sur 33 années passées à faire d'une start-up l'éditeur le plus puissant au monde.
L'heure de la retraite a sonné. Le 27 juin, Bill Gates quittera Microsoft qu'il a cofondé en 1975. Il laisse les rênes à Steve Ballmer, Craig Mundi et Ray Ozzie. Retour sur 33 années passées à faire d'une start-up l'éditeur le plus puissant au monde.
L'heure de la retraite a sonné. Le 27 juin, Bill Gates quittera Microsoft qu'il a cofondé en 1975. Il laisse les rênes à Steve Ballmer, Craig Mundi et Ray Ozzie. Retour sur 33 années passées à faire d'une start-up l'éditeur le plus puissant au monde.
Microsoft dévoile enfin son offre cloud computing à la conférence Professional Developper Conference de Los Angeles. C’est Ray Ozzie - directeur technique de Microsoft &...
L'éditeur prépare une panoplie de logiciels et de services pour le développement d'applications web, avec en vedette un rival du Flash d'Adobe. Une stratégie orchestrée par Ray Ozzie, successeur de Bill Gates au poste d'architecte en chef.
Le KeyNote est lancé par Ray Ozzie l'Architecte en Chef de Microsoft. Le sujet a donc commencé par un retour sur l'évolution du marché depuis la première annonce des Software as Services chez Microsoft accompagné de ...
Ray Ozzie nous présente maintenant deux technologies que sont Microsoft PinPoint et Microsoft Dallas que je vous laisse découvrir au travers de quelques captures pertinentes, comprenez ces deux technologies comme étant les Market Places (référencements) d...
Roz Ho s'en va. La patronne de la Macintosh Business Unit, la division Mac de Microsoft, va voir si l'herbe est plus verte ailleurs, après sept ans de bons et loyaux services, comme on dit. Elle ne qu...
Microsoft s'est déjà exprimé sur l'iPhone notamment via le tonitruant Steve Ballmer et de Craig Mundie. Cette fois-ci il s'agit de Chris Sorenson,
responsable smartphone pour la région Asie Pacifique qui, s'exprimant depuis
l'australie, revient sur l'inadaptation de l'iPhone au monde de
l'entreprise.
Les arguments, qui pourraient s'avérer fondés, sont: l'absence
de fonctionnalité de lecture de documents office, l'absence de synchro email
exchange et la difficulté à gérer de nombreux emails sur la machine (faute de
clavier je suppose).
Par contre Chris a tout de même les quelques mots positifs suivants
pour l'iPhone :
It's a great music phone, and I'm sure it will be fantastic and have an
interesting user interface
Le patron de l'Union Internationale des Télécommunications vient de lancer à Davos un appel pour le contrôle des activités criminelles et des menaces de guerre sur l'internet . Gentil, mais pas facile à mettre en place et potentiellement dangereux.
Constatant (à juste titre) que une cyberguerre serait pire qu'un tsunami, Hamadoun Touré a invité à la signature d'un accord international qui ressemblerait à un traité de paix avant une guerre. Il s'agirait, pour les pays signataires, de s'engager à ne pas cybertirer les premiers.
Renchérissant sur le même thème, Craig Mundie, responsable de la recherche et de la stratégie pour Microsoft, a déclaré qu'il faudrait une sorte d'Organisation Mondiale de la Santé pour l'internet. Il en a profité pour demander un permis de cyberconduire (je sais j'exagère avec l'usage du préfixe? mais c'est juste pour aujourd'hui) pour les internautes.
Trois observations:
>> La plus évidente nous vient de Bruce Sterling, auteur de science-fiction, ...