Bernard Kouncher a dit regretter les mesures de censure du web prises en Chine, mais se refuse à les condamner. Il souhaite par ailleurs demander à Pékin des explications sur le conflit avec Google. [Lire la suite]
Vous n’êtes pas sans savoir que Google a annoncé braver les conditions de censure imposé par le gouvernement de Pékin et a annoncé qu’il n’hésiterait pas à pas quitter le marché Chinois si on le laissait pas jouer avec ses propres règles (Google ne veut plus de la censure de la chine et la menace [...]
Malgré un assouplissement de la censure exercée habituellement par la Chine sur Internet, les journalistes présents à Pékin pendant les Jeux Olympiques ne pourront pas accéder librement à l’ensemble du web. En effet, les sites de partis dissidents, de certaines organisations internationales et de certains journaux étrangers restent inaccessibles.
Mais il existe une solution à la [...]
Pékin continue son filtrage du Web. Dernier incident en date : la censure de YouTube suite aux manifestations qu'a récemment connu Lhassa, capitale du Tibet.
En visite officielle à Pékin, le président américain Barack Obama s'est défini comme un partisan farouche de l'absence de censure sur Internet, et a rappelé que l'accès à l'information était un droit universel. [Lire la suite]
D’après TechChrunch, il semble que la censure se porte bien en Chine. La preuve, récemment, les autorités Chinoises ont purement et simplement décidé de bloquer l’accès aux sites suivants Twitter, Hotmail, Live.com, Blogger, Flickr et Bing.com. Ils ont été réactifs pour le dernier…
via neteco
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Tags:Censure, Chine, Sur le web
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La Chine comme [...]
A l'occasion de l'ouverture des jeux olympique de Pekin, et afin de lutter contre toutes les formes de censure, telle que celle d'internet en chine, un groupe de hackers Allemand nommé le Chaos Computer Club (CCC) à offert à tous les jo...
La Chine a fait marche arrière vendredi en levant partiellement la censure sur internet, pour les médias et au-delà sur le réseau chinois, semblant vouloir calmer l'opinion mondiale à une semaine des jeux Olympiques.
Un expert chinois appartenant à une entreprise du secteur de l'Internet a mené une enquête sur le système de censure Internet en Chine, baptisée « Chine, voyage au c'ur de la censure d'Internet » et relayée par Reporters Sans Frontières.
C'est RFI qui s'en fait l'écho : impossible d'effectuer une recherche "Tibet" sur les ordinateurs de la salle de presse des JO, ou d'accéder au site web d'Amnesty International. Bien qu'elle ait, lors de l'attribution des Jeux, promis le contraire, la Chine censure le web dans les grandes largeurs. Le CIO a fait semblant de s'en émouvoir, en promettant une enquête, mais d'ores et déjà un responsable estime que seuls les sites liés aux JO auraient un accès réellement libre, non pas ceux concernant la Chine en général. Les promesses olympiques n'engagent que ceux qui les écoutent...
C'est RFI qui s'en fait l'écho : impossible d'effectuer une recherche "Tibet" sur les ordinateurs de la salle de presse des JO, ou d'accéder au site web d'Amnesty International. Bien qu'elle ait, lors de l'attribution des Jeux, promis le contraire, la Chine censure le web dans les grandes largeurs. Le CIO a fait semblant de s'en émouvoir, en promettant une enquête, mais d'ores et déjà un responsable estime que seuls les sites liés aux JO auraient un accès réellement libre, non pas ceux concernant la Chine en général. Les promesses olympiques n'engagent que ceux qui les écoutent...
(De Pékin) Après Google, c'est Twitter qui s'en prend à la censure chinoise. Mais alors que le premier menace de quitter le pays, l'approche du second est plus radicale : passer outre le contrôle du Web, que cela plaise ou non aux autorités locales.
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Le casse-tête du relais de la flamme, feuilleton du printemps disparu des débats récents au profit de la censure d'internet en Chine, a de nouveau occupé les Olympiens réunis mardi à Pékin pour la première journée de la 120e session du Comité international olympique (CIO).
Les internautes britanniques n'ont plus accès à une page de Wikipedia reproduisant la pochette d'un album du groupe allemand Scorpions. Les fournisseurs d'accès, sur simple requête d'un organisme co-financé par l'Europe, ont bloqué l'accès à la page, démontrant les dérives et les limites d'un système de filtrage non contrôlé par l'autorité judiciaire. [Lire la suite]
Plus d'une semaine après la controverse sur Google, Pékin a haussé le ton en accusant vendredi le chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton de mettre en danger les relations sino-américaines au lendemain de son discours sur l'internet et la censure.