Sony a encore des problèmes juridiques avec sa technologie Blu-ray. Après le procès sur les médias eux-mêmes, la société nippone est attaquée sur l AACS, la protection des disques Blu-ray. Un problème de brevets Certicom, une société canadienne, attaque Sony, car la société utilise selon eux des techniques brevetées avec la protection AACS. La NSA (National Security Agency) a d ailleurs payé 25 millions de dollars à Certicom en 2003, pour l utili
La bataille semble perdue pour les studios d'Hollywood. Alors que le nouveau système de protection AACS sur les Blu-Ray et HD DVD ne doit sortir officiellement que la semaine prochaine, il semble qu'il soit déjà pris en compte et craqué par les hackers...
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A travers son logiciel Anydvd HD, la société Slysoft a annoncé avoir mis à mal la protection BD+ intégrée à certains disques Blu-ray. Après avoir mis à défaut la protection AACS des HD DVD et des Blu-ray, […]
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Url de l’article : Slysoft met a mal le BD du Blu-ray.
Source : PC InpactUne personne frustrée de ne pas pouvoir regarder un film HD DVD sur son ordinateur non compatible HDCP a décidé de s'intéresser à la protection AACS. Il s'est avéré qu'il s'est rapidement aperçu que la clé de décryptage était tout simplement stockée en RAM.
En partant de ce principe, il a écrit un programme décryptant le contenu HD du disque, et a ensuite pu le voir.
Il a prouvé son exploit en le filmant et en postant la vidéo sur YouTube:
http://www.youtube.com/watch?v=_oZGYb92isE
Si techniquement, les majors pourront désactiver la clé en cause dans les prochains films, il n'en demeure pas moins que cette protection infaillible aura été bien plus facile à casser que le CSS des DVD.
Il semble que l'énergie déployée pour casser des protections soit directement proportionnelle aux désagréments des limitations qu'elles induisent.
Source : CDRinfoPour faire face au peu de tenue de sa protection sur les disques à laser bleu, l'AACS LA a mis en place son joker, la protection BD+ pour les Blu-ray. Basée sur une machine virtuelle installée dans les lecteurs et contrôlant sans cesse le disque, elle s'annonçait comme très efficace, ce qui n'est visiblement pas le cas.
Slysoft, l'éditeur du logiciel AnyDVD capable de recopier les disques HD protégés a annoncé une mise à jour mettant à mal la protection BD+. Cet éditeur basé dans un pays aux lois élastiques a été déclaré officiellement ennemi public N°1 de l'AACS LA et a une fois de plus réussi à leur montrer qu'aucune protection n'est infaillible.
L'industrie du film se retrouve donc une fois de plus dans une délicate situation en ayant perdu le contrôle de ses produits qu'elle voulait sans faille. Ils vont devoir une fois encore se remettre en question, et pourquoi pas prendre conscience que ces protections ne posent des problèmes qu'aux acquéreurs légitimes.
Il est une réalité que l'industrie culturelle ne peut ignorer. Les protections DRM dont elle estampille ses produits se font régulièrement craquer. Encore récemment, la dernière mise en place par l'AACS s'est vue
Beauvais
LA PRÉFECTURE de l'Oise, la galerie de la Tapisserie, à Beauvais, ou bien encore de nombreux Intermarchés dans l'Oise : tous ont en commun d'avoir confié la sécurité de leurs bâtiments à AACS. L'entreprise, qui comptait trois salariés lors de sa création...
Publié le 11.09.07
l'AACS LA qui définit les protections des périphériques Blu-ray avec plus ou moins, ou plutôt moins que plus de succès a annoncé l'augmentation prochaine de ses restrictions.Actuellement, il est possible de récupérer un signal HD sur les sorties analogiques d'un lecteur Blu-ray (ou d'une XBox 360) alors même qu'il n'y a aucune protection HDCP. Cette tolérance devra cesser au 31 décembre 2010 date à partir de laquelle il sera interdit de proposer des appareils dont ces sorties diffuseront des résolutions inférieures à du 480i.Les choses iront plus loin à partir du 31 décembre 2013. Il sera alors interdit de vendre un lecteur doté de sorties analogiques. Seules les sorties numériques et bien entendu ultra DRMisées seront autorisées.
Bien entendu, et une fois de plus, les seuls qui seront pénalisés par ces mesures restrictives seront les clients légitimes et pas ceux qui auront piraté des oeuvres dépourvues alors de toute protection.
Devant la déconfiture encaissée par l'AACS LA qui a vu son système de protection infaillible piétiné en un temps record, les majors ont décidé d'utiliser la technologie BD+ prévue dès l'origine de la norme Blu-ray. Il s'agit d'une machine virtuelle, qui une fois lancée va authentifier le média et la machine et autoriser, ou pas, la lecture des vidéos. Cette protection peut-être mise à jour au besoin via de nouveaux disques.
Les premiers films utilisant cette protection, comme Fantastic Four: Rise of the Silver Surfer ou The Day After Tomorrow ont réservé des déconvenues aux propriétaires de certaines platines comme les Samsung BD-P1000 et BD-P1200 qui se sont avérées incapables de les lire. Si dans un premier temps les fabricants de ces platines et les éditeurs de disques se sont rejeté la faute, les premiers sont sur le point de proposer des mises à jour du firmware de leurs produits afin de régler le problème.
On imagine sans peine le mécontentement des clients légitimes devant ces déconvenues qui ne vont pas favoriser l'accélération de l'adoption de ces produits HD.
La plate-forme de vidéos va intégrer la technologie Signature développée par l'Institut national de l'audiovisuel. Une technologie de filtrage par « watermarking » qui bloque la mise en ligne de vidéos piratées.
La licence des DVD haute définition devrait permettre d'en effectuer une ou plusieurs copies de sauvegarde. C'est ce que propose l'organisme chargé de licencier leur système de protection AACS. Reste à convaincre les studios de cinéma.
Source : DailytechLes seuls à croire encore à l'infaillibilité de la protection AACS sont les membres du groupe AACS LA qui la défendent contre vents et marées malgré ses cuisants échecs.
Aujourd'hui beaucoup de majors s'inquiètent de la situation et attendent avec impatience le BD+.
Il s'agit d'un système de protection très évolué dédié au Blu-ray et développé par la société BD+ Technologies LL.
Le système est assez complexe. A l'insertion d'un disque dans le lecteur, une machine virtuelle va être chargée en mémoire et exécutée. Cette machine virtuelle va ensuite jouer plusieurs rôles:
- Elle va contrôler l'intégrité du firmware du lecteur et pourra bloquer la lecture dans le cas où il aurait été altéré.
- Elle va décoder ou décrypter à la volée les données vidéo contenue sur le disque qui ne seront pas lisibles par un autre biais.
Ainsi, même si l'on arrive à trouver la clé AACS du disque, il faudra également connaître les instructions de décodage de la machine virtuelle pour avoir un film lisible.
Notez que le BD+ permet aussi de pouvoir rajouter aux vidéos un Watermark. Ce ne sera certainement pas utilisable pour les films vendus dans le commerce, mais utilisé pour ceux distribués à des VIP, comme par exemple les jurys des Oscars.
Si le BD+ pourrait refroidir certains clients potentiels du Blu-ray, il va également donner à ce format un avantage indéniable vis-à-vis des majors, qui pourraient le favoriser.
Ce sera aussi un nouveau défi pour les hackers qui prendront ...
Source : CDR InfoLa principale raison du retard pris par les protagonistes du laser bleu se nomme AACS. C'est la nouvelle protection anti-copie de ces appareils et de leurs médias. Et elle ne cesse d'évoluer pour être toujours plus restrictive. La dernière nouvelle en date vient d'une nouvelle protection sur le flux analogique pouvant être délivré par les lecteurs du commerce pour les appareils dépourvus d'entrée numérique. Ce flux sera également protégé contre la copie par un procédé proposé par Macrovision.
l'AACS ne permettra dans les faits, pas grand chose de plus que de visionner un film dans des conditions très précises, et drastiques avec en particulier l'obligation d'avoir une chaîne de produits compatibles HDCP.
Reste à savoir si la mayonnaise prendra auprès des clients.
Dans un registre très similaire, on apprend que les HD-DVD auront en fin de compte une protection de zone tout comme les actuels DVD. On pensait qu'à l'heure de la mondialisation, cette protection était devenue obsolète. C'était oublier que les majors partagent le monde comme le font des joueurs de RISK.
Vous ne trouvez pas que cette carte issue du jeu ressemble fortement à celle du partage de zones ?
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