L?Association Nationale des Webradios (France Webradios) publie le résultat d?une enquête réalisée auprès des ses membres en octobre 2006. Cette étude a pour but de fournir un référentiel...
Afin de mieux représenter leurs intérêts, une quinzaine de webradios françaises, essentiellement musicales (*), ont décidé de se regrouper au sein de l'association nationale des webradios.
Les webradios indépendantes sont sur le point de passer un accord avec les sociétés de producteurs (SCPP, SPPF), sur les droits de diffusion de la musique en ligne.
La Sacem, aux côtés de la Sdrm et Sesam, et France Webradios (Association Nationale des Webradios) annoncent la mise en place d’un contrat type destiné aux webradios associatives. annonce un communiqué qui précise ... les auteurs, compositeurs et editeurs de...
Le flou juridique français autour des webradios du pays est en passe de se dissiper grâce à un premier accord entre l'Association France Webradios (représentant des quatorze principales radios...
Les labels indépendants, via la SPPF (*), ont signé avec France Webradios un accord qui porte sur les conditions et les tarifs de diffusion de leurs oeuvres par les webradios.
Le Congrès a octroyé un nouveau délai de 60 jours aux webradios et aux ayants droits pour trouver un terrain d'entente sur l...
Les radios sur le Net vont enfin devenir légales. Un accord portant sur des contrats de diffusion a été passé entre les représentants des webradios et les majors du disque. Les auteurs, compositeurs et interprètes devraient suivre.
Musique, info, documentaire, fiction, objets sonores non identifiés : l'offre des webradios est aussi luxuriante que méconnue, et parfois difficilement accessible au « non-geek ». Éclairage à l'aune des professionnels et revue de tendances.
Les radios sur le Net vont pouvoir émettre en toute légalité. Un accord portant sur des contrats de diffusion a été passé entre les représentants des webradios et les majors du disque. Les auteurs, compositeurs et interprètes devraient suivrent.
Une quinzaine de radios françaises sur Internet créent une structure commune, pour mieux négocier avec les sociétés de perception de droits.
La plupart des webradios américaines devaient suspendre leurs services mardi, pour protester contre une hausse des redevances dont ils doivent s'acquitter. « La hausse drastique et arbitraire des tarifs […] menace l'existence ...
Les sénateurs ont refusé d'étendre aux webradios le régime qui permet aux radios classiques de s'acquitter des droits pour diffuser de la musique. Elles devront négocier directement avec les producteurs. Un système susceptible de léser les artistes.
Le couperet est tombé pour les webradios associatives. La Société civile des producteurs leur demande de se mettre en règle avec les ayants droit. Elles devront payer au moins 150 euros par mois pour continuer à diffuser de la musique sur le Net.
Day of Silence : beaucoup de webradios américaines se sont tues ce mardi pour protester contre l'augmentation des royalties qu'elles doient verser aux marques de disques et aux musiciens. Ce mouvement de protestation a été très suivi, y compris...